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Le blog de Bernard SARLANDIE

politique

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Sur le marché.

7 Février 2015, 23:23pm

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Publié par Bernardoc

         Ce matin, première apparition officielle des candidats sur le marché de Mérignac, sur lequel je n’étais pas venu depuis les dernières présidentielles me semble-t-il. J’y étais le premier, mais sans matériel. Peu après arrive Daniel (avec qui j’avais siégé à la MGEN), qui comme à son habitude, parlar après arrive Daniel, qui comme à son habitude vendait ait avec un jour d’avance « du journal que l'on vend le matin d'un dimanche ». Puis arriva Marie-Ange, tout aussi démunie que moi. Enfin, Claude arriva et nous l’aidâmes à distribuer l’information pour le deuxième canton, avant de travailler « pour nous ».

         Comme d’habitude, accueil assez sympa (en tout cas plus sympa qu’à St Médard) de la population. Rares étaient ceux qui refusaient notre info ; je leur rappelai alors que nous votions partout en France le  22 mars, et certains le découvraient. Un refus net, mais sans agressivité : « Moi, c’est le front national », ce qui est nouveau quand même, et inquiétant. Visiblement, il n’était pas Charlie.

         A 11h20, lorsque je suis parti, avec une poignée de tracts pour ma rue, nous étions environ une dizaine de militants à dialoguer avec la population. Et il faut croire que c’était assez chaleureux puisque malgré la température qui a varié de 0 à 3°, nous n’avions pas froid.

         Donc, demain, distribution dans les boîtes à lettres et lundi après-midi, après avoir retenu une salle au Haillan, distribution à une sortie d’école de Mérignac.

Deux photos sous le lien + celle d’une de nos futures dépendances (humour !), car l’hémicycle est dans un autre bâtiment :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6113230226240353857?authkey=CPi96_zcj-Xl1AE

Et ce n’est pas fini…    

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Une autre voie.

6 Février 2015, 09:42am

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Publié par Bernardoc

         Au Front de Gauche, nous n’acceptons pas la suppression de la clause de compétence générale, qui permet à toute collectivité de participer à la réalisation de structures qui ne sont pas de son domaine, comme les écoles primaires par exemple pour le conseil général. Si le gouvernement n’en veut plus, c’est qu’il considère qu’il s’agit d’une « entrave à la concurrence » qu’il convient d’éliminer pour se mettre en conformité avec le Grand Marché Transatlantique (TAFTA).

         Avec vous, les citoyens, nous nous mobiliserons pour promouvoir les politiques publiques de solidarité afin de faire échec à l’austérité. C’est le sens de notre combat pour L’Humain d’abord.

         Par le biais d’assemblées citoyennes et de permanences régulières sur nos deux communes, nous développerons une démocratie de proximité ajustée aux besoins et à l’expérience des citoyens. Cela sera d’autant plus facile que nous n’aurons pas d’autre(s) mandat(s) électif(s) et que notre action sera entièrement dictée par notre mandat de conseiller départemental au service de la population, à votre service !

         C’est pour cela que, malgré la déception engendrée par le reniement des promesses du candidat que nous avions largement contribué à faire élire, nous vous engageons à ne pas vous réfugier dans l’abstention, qui ne peut que faire le lit de la droite (extrême). C’est avec vous que nous pourrons faire émerger une alternative de transformation sociale et écologique à l’échelle de tout le pays, puisqu’il s’agit d’une élection nationale. Mais il ne saurait s’agir pour nous d’imposer quoi que ce soit : les initiatives doivent venir de la base et nous serons vos fidèles porte-paroles.

         Donc, n’oubliez pas l’échéance : 22 et 29 mars !

Et ce n’est pas fini…   

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A gauche : faire Front !

5 Février 2015, 08:19am

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Publié par Bernardoc

         Les départements sont un maillon essentiel des politiques publiques dans notre pays. Avec 72 milliards d’euros de dépenses chaque année, ils gèrent notamment toutes les politiques sociales : assistantes sociales, versement des allocations de solidarité (RSA, APA,…), placement et suivi des mineurs étrangers, politiques en direction de l’enfance en danger, PMI, etc…

         Mais ça, c’était avant. En effet, sous l’impulsion du gouvernement socialiste et de ses inconditionnels soutiens locaux, l’existence même des départements est menacée. Leur sort, en liaison avec la mise en place des métropoles n’est pas connu et les compétences des conseillers départementaux n’ont pas encore été clarifiées. Bordeaux et la Gironde ne sont pas les seuls concernés : depuis le 1er janvier 2015, c’est le cas de Rennes (Ille et Vilaine), Toulouse (Haute Garonne), Nantes (Loire atlantique), Brest (Finistère), Lille (Nord), Rouen (Seine maritime), Grenoble (Isère), Strasbourg (Bas-Rhin), Montpellier (Hérault).

Quant au département du Rhône il a perdu 75% de sa population, alors que la métropole du grand Lyon hérite de toutes les compétences : il n’y aura donc pas d’élections départementales pour ces citoyens.

Comme je l’ai écrit dans une précédente chronique, cette nouvelle organisation territoriale rompt avec les principes républicains d’égalité et de solidarité territoriale. Et le « choc de simplification » masque en fait une recentralisation qui n’ose dire son nom.

Assurant 70% de l’investissement public, les départements jouent un rôle indispensable en période de crise pour les populations. Comment vont-ils faire alors qu’ils sont sommés (oui, oui, vous avez bien lu) de réduire leurs dépenses et leurs effectifs ? Tant pis pour les associations, tant pis pour les politiques culturelles, tant pis pour les politiques sportives !

Est-ce bien cela que vous souhaitez ? Un seul moyen pour lutter contre cela : le vote Front de Gauche dès le 22 mars, à confirmer le 29.

Et ce n’est pas fini…

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C'est urgent !

4 Février 2015, 07:51am

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Publié par Bernardoc

         Convoité par les vautours de la finance, notre patrimoine commun, l’eau, l’air, les sols,…se transforme en marchandise. Les services publics sont démantelés avant d’être bradés au privé, éloignant toujours plus des habitants ce qui devrait être des services de proximité. Pourtant, et c’est une éminente ministre socialiste, ancienne candidate à la présidentielle qui l’affirme : « Les services publics, c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas».

         Etranglé par les restrictions des dotations de l’Etat qui ne permettent pas d’assurer l’ensemble des services qui ont été décentralisés, le conseil général en est réduit à faire appel au partenariat public-privé pour certaines réalisations, ce qui va obérer les finances départementales pendant de nombreuses années.

         Lorsque l’on place L’Humain d’abord, comme le fait le Front de Gauche, une politique alternative est nécessaire. Et elle existe : c’est une économie au service des besoins des populations ; c’est le développement des services publics ; c’est l’augmentation des salaires et la réduction du temps de travail ; c’est une planification écologique par la transformation des productions industrielles, notamment militaires en industries tournées vers la paix et le bien-être de nos concitoyens ; c’est une agriculture au service des humains et de leur santé qui maintiendra l’écosystème.

         Pour toutes ces actions, le département peut mettre en place de puissants leviers qui permettront de redonner l’espoir qui semble avoir déserté nos compatriotes au profit d’une résignation annihilante.

         N’attendons pas d’être pressurés comme les Grecs avant de réagir. Les Girondins ont toujours montré qu’ils savaient être là aux grands rendez-vous de l’histoire. Le prochain est le 22 mars. Aux urnes, Citoyens !

Et ce n’est pas fini…

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Reconstruire l'espoir.

3 Février 2015, 09:02am

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Publié par Bernardoc

         C’est sur cette phrase que se terminait ma chronique d’hier. En effet, quelles sont les conséquences de la politique libérale actuelle ?

-      Elle nous prive des services publics indispensables pour bien vivre et travailler au pays ;

-      Elle détruit des emplois ;

-      Elle entretient un chômage qui mine notre société.

A contrario, elle nous impose des projets inutiles, dispendieux et néfastes. La LGV en est un bel exemple.

Avec la métropolisation, nous allons assister à l’effacement des départements. Ceci va accentuer la crise des transports, du logement, des conditions d’existence en général, avec pour conséquences le repli sur soi, la résignation, voire le désespoir qui peut conduire à des expressions violentes mais peu constructives.

Quid des collèges ? Vont-ils être métropolisés ? Si oui, où sera l’égalité territoriale avec un petit collège rural et un (trop) gros collège de la métropole ?

Idem pour le volet vieillesse et handicap qui risque de voir apparaître une différence de traitement selon la collectivité qui gèrera cet aspect, fondamental pour nous qui prônons L’Humain d’abord.

Représentant une part importante de l’emploi dans certains secteurs, l’ESS (Economie Sociale et Solidaire) risque d’être déstabilisée.

Nous refusons l’éclatement de la France telle qu’elle est proposée par le gouvernement et ses soutiens locaux. C’est pourquoi nous vous appelons dès maintenant, en venant militer avec nous, et surtout en venant voter pour nous les 22 et 29 mars, à défendre la République.

Les Grecs l’ont fait, les Girondins peuvent le faire !

Et ce n’est pas fini…  

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Au taf !

2 Février 2015, 08:00am

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Publié par Bernardoc

         Hier matin, sur France-Inter, pendant une heure il y avait un reportage sur certaines villes gagnées par le FN aux dernières municipales. C’était assez effrayant d’entendre ces nouveaux édiles revendiquer de façon extrêmement calme et posée la mise en route de leur politique. Comme Syriza en Grèce maintenant, comme le parti travailliste néo-zélandais il y a trente ans, ils appliquent le programme sur lequel ils ont été élus, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de mauvaise surprise pour leurs électeurs. Les autres sont entrés en résistance et ils s’y attendaient.

         Quel contraste avec ce qui s’est passé au niveau national, avec des promesses à la Pasqua (qui n’engageaient que ceux qui avaient bien voulu y croire), et qui continue à s’aggraver avec la loi dite « Macron » qui casse le code du travail et essaie de faire de même avec les syndicats. Le dernier exemple de ce style dont je me souviens était celui de Madame Thatcher.

         Donc, pour la campagne des départementales, il faudra absolument aller à la rencontre des habitants, leur apporter d’autres informations que TF1 ou BFM-TV, faire connaître nos propositions, car nous croyons à l’intelligence des gens et  nous pensons qu’ils sont capables de réagir à autre chose qu’une affiche nationale d’une personnalité omniprésente dans les média parce qu’elle fait le buzz.

         Il est temps de reconstruire l’espoir : c’est une urgence démocratique, sociale et écologique.

Et ce n’est pas fini…

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Dynamique de campagne.

31 Janvier 2015, 12:20pm

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Publié par Bernardoc

         Hier soir, nous avions notre réunion habituelle de l’association des Amis du Front de Gauche du Haillan. Deux points principaux à l’ordre du jour : les élections départementales et le numéro 2 de notre bulletin.

         Quel enthousiasme lors de cette assemblée ! La parole a circulé librement et abondamment, les idées ont fusé, la volonté d’ouverture, comme nous l’avons toujours eue, a été réaffirmée.

         L’idée maîtresse, partagée par l’ensemble des adhérents de l’association - dont bien entendu les deux candidats haillanais -, était que l’on ne pouvait pas séparer ces élections départementales, mais à l’échelle nationale, de la politique néfaste qui continue de nous être infligée, le dernier avatar en étant la loi dite « Macron », superbement défendue ce matin à la radio par un député UMP. En effet, malgré la volte-face de la BCE, qui vient de se rendre compte que ce qu’elle préconisait depuis des années, ne faisait qu’étrangler les pays en difficulté et conduisait les autres dans le mur, bravement le gouvernement de la France continue sur sa (mauvaise) trajectoire.

         C’est ainsi que les collectivités locales n’ont plus les moyens de leur politique et que fatalement elles vont être obligées d’augmenter les impôts, ce qui confortera le président qui pourra dire : « Vous voyez, ce n’est pas moi, c’est eux ! ». De plus, pour ce qui nous concerne, nous ne pouvons que nourrir de grandes angoisses concernant la métropole, pour laquelle le conseiller présidentiel Feltesse s’était tellement battu. Nous craignons que la Gironde hors-métropole ne devienne qu’un département croupion, d’autant que le plus grand flou règne actuellement sur la répartition des compétences.

         Il fallait quand même se limiter dans le temps et nous pouvons annoncer la sortie de notre bulletin pour début mars. Espérons qu’il y aura assez de place pour tous les articles !

         Maintenant, place à une campagne dynamique !

Et ce n’est pas fini…      

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Candidat !

30 Janvier 2015, 12:43pm

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Publié par Bernardoc

         Ça y est ! Officiellement depuis hier soir et la présentation à la presse, je vais avoir l’honneur de représenter le Parti de Gauche, en tant que candidat titulaire sur la liste présentée par le Front de Gauche sur le canton de Mérignac 1, qui inclut la ville du Haillan qui sera représentée également par Erika VASQUEZ, du PCF.

         Lorsque j’ai connu le redécoupage des cantons, je me suis dit que ce canton me convenait parfaitement et j’ai proposé ma candidature au comité PG de la VI° circonscription, qui l’a acceptée et transmise au niveau départemental, où elle a été validée dans les discussions « au sommet » entre les différentes composantes du FdG départemental.

         Cette candidature, qui a été soutenue également au niveau local par Ensemble, s’imposait logiquement :

-      N’ayant pas de mandat électif, il ne saurait être question de cumul pour moi ;

-      Ayant été élu durant un mandat à la mairie du Haillan, je reste connu sur cette commune ;

-      Ayant dirigé le collège Paul Langevin de Mérignac pendant six ans, je peux me rendre compte, chaque fois que je vais dans cette commune, que l’on ne m’a pas oublié ;

-      Enfin, mon implication associative, à Mérignac d’abord, puis au Haillan depuis 2006, me permettent d’être au plus près des préoccupations des habitants.

Comme je le disais à Sud ouest hier soir, notre objectif est de rassembler 51% des suffrages. Les Grecs l’ont fait, pourquoi pas les Girondins ?

Les photos des candidats sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6110097942262099857?authkey=CMbwup-fvp-ULw

Et ce n’est pas fini…    

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Staline pas mort !

26 Janvier 2015, 13:01pm

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Publié par Bernardoc

         Un de mes « amis » FB a publié une photo d’une manifestation, sur laquelle on voyait, tenant la banderole, Alexis TSIPRAS avec à sa gauche Paul LAURENT du PCF, non, pardon, Pierre (l’autre, c’était son père !). Au second plan, les autres personnes étaient floutées. En commentaire j’ai demandé si ce n’était pas Raquel GARRIDO, secrétaire nationale du PG aux relations internationales. Quelques commentaires plus bas, est apparue la photo originale, non recadrée, non floutée. Et c’est là qu’apparaissent en clair Raquel, mais au bras droit de Tsipras, Jean-Luc MELENCHON !

         Difficile de faire mieux comme manipulation ! Cela nous ramène aux photos retouchées du régime soviétique lorsque les dirigeants tombés en disgrâce étaient effacés de la photo.

         Nous, au Parti de gauche, nous continuerons à nous battre pour faire vivre la diversité dans l’union au sein du Front de Gauche. Ce qui se passe au Haillan nous montre la voie : si partout en France les camarades fonctionnaient de la même façon, nous serions capables d’accomplir ce que vient de réussir ƩYΓIZA en Grèce et ce que fera, nous l’espérons Podemos en Espagne d’ici quelques mois.

         Ce sera notre axe de campagne pour les élections départementales.

Et ce n’est pas fini…

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Les experts économiques sont-ils tous nuls ?

22 Janvier 2015, 13:26pm

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Publié par Bernardoc

Dans son livre "Le Bal des Aveugles", aux éditions Albin Michel, le journaliste Michel Turin analyse la manière dont les experts économiques n'ont pas vu venir les différentes crises du 20ème et du 21ème siècle. Pour l'auteur, la course à la notoriété et la modélisation des comportements ont eu raison de la crédibilité de ces "futurologues" de l'économie.

« Ils sont là pour nous aider à comprendre comment fonctionne l’économie, quels sont les enjeux, émettre des hypothèses…pour permettre aux décideurs, dans l’entreprise ou dans l’administration, de choisir ou d’ajuster leurs choix stratégiques ou politiques. Mais force est de constater que l'on peut aussi leur reprocher de se tromper souvent. Beaucoup d’entre eux sont des récidivistes de l’erreur. La plupart du temps, ils la nient. C’est chacun d’entre nous qui demande aux économistes des prévisions, car on a peur de l’avenir, on a besoin de repères…

Ils se trompent car beaucoup d’entre eux manquent d’humilité. Ils sont aveuglés, ils émettent des prévisions beaucoup trop radicales afin d'être repris, pour des raisons de notoriété. Parce qu’on retient plus facilement des prévisions en emporte-pièce que des propos émis timidement. Ceux qui sont au hit-parade des récidivistes de l’erreur sont les plus médiatisés…La plupart du temps, ils sous estiment l’importance du facteur humain et du progrès technologique. »

Ce n’est pas un économiste atterré ou un journaliste d’Alter-éco qui prononce ces paroles. Non, il a officié longtemps au journal Les Echos, qui n’est pas à ma connaissance un parangon de l’économie socialiste. Il serait quand même temps qu’on se débarrasse de ces donneurs de leçons, voire de grands examinateurs qui se permettent de classer régimes ou entreprises. D’ailleurs, apparemment, la BCE vient de se rendre compte qu’elle conduisait les pays dans le mur puisqu’elle est en train d’amorcer un virage à 180°. Merde alors, et notre gouvernement qui était aux ordres, va-t-il modifier sa politique austéritaire ?

Et ce n’est pas fini…       

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