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Le blog de Bernard SARLANDIE

Jean JAURES, 10 novembre 2017.

10 Novembre 2017, 19:48pm

Publié par Bernardoc

Je vais commencer par une citation d'un futur condamné à mort qui mourut dans son lit :

“Pour maintenir l’esprit d’obéissance et la discipline parmi les troupes, une première impression de terreur est indispensable. » C'est ce qu'a dit le Général Philippe Pétain en 1915.

De fait, les 2/3 des fusillés pour l'exemple l'ont été entre septembre 1914 et décembre 1915, dont 197 pour les cinq premiers mois de la boucherie. Fusillés "pour l'exemple ", tu parles ! Comme si la peine de mort, car c'est bien de cela qu'il s'agit, avait un effet dissuasif ! L'armée est décidément bien l'école du crime, puisque, non contente de faire la guerre ("un massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas", comme l'a si bien dit le poète Paul VALERY ), elle assassine impunément ceux qu'elle a enrôlés de force.

C'est en résistance à celà que 36 anarchistes publièrent à Londres, en anglais, allemand et français, le 12 février 1915 un manifeste contre la guerre dans lequel on pouvait lire : “Il faut faire que le son de la musique guerrière et la vue des uniformes, au lieu de réveiller dans la foule ses instincts sauvages, l'emplissent de terreur et de dégoût. Il faut faire que le militaire professionnel, au lieu de rester un objet d'envie et d'admiration, devienne un objet de mépris, que le soldat arrive à haïr et mépriser lui-même le triste métier qu'on lui fait exercer.”

N'ayons pas peur des mots : ce crime contre l'humanité, c'est à dire contre nos frères humains, n'a jamais été condamné, pis même, reconnu. Sinon pourquoi alors depuis un siècle ce refus du plus élémentaire acte de justice post - mortem : la réhabilitation ? La dernière proposition de loi en ce sens, présentée par le groupe communiste au Sénat, fut rejetée le 19 juin 2014.

Depuis cent ans, les gouvernements se sont succédés, de droite ou de gauche, sans que cette demande de justice pour les victimes de ces assassinats de masse n'ait avancé. Il y a quelques années que le dernier poilu, Lazare PONTICELLI, a disparu. Il était parti la fleur au fusil, et il était revenu (la chance avait été avec lui) profondément antimilitariste.

Vous savez que j'aime toujours faire référence à des chanteurs lors de mes interventions, alors aujourd'hui c'est Francis LEMARQUE qui va illustrer mon propos avec la fin d'une chanson qui date de 1952 :

Quand un soldat s'en va - t - en guerre il a

Des tas d'chansons et des fleurs sous ses pas

Quand un soldat revient de guerre il a

Simplement eu d'la veine et puis voilà.

Pour tous ceux qui n'ont pas eu de veine, non pas face à ceux qu'on appelait "ennemis ", mais face à leurs copains vêtus du même uniforme, nous reviendrons à nouveau réclamer justice l'an prochain. Vous voyez que je n'attends pas grand chose de ce gouvernement ni du chef des armées et de sa ministre Darrieusecq, qui n'a pas répondu aux questions communiste ou de la France Insoumise. En six mois on a déjà tout compris !

Vivent les martyrs de toutes les guerres ! A bas toutes les armées ! Vivent la paix et la concorde universelles !

Et ce n'est pas fini...

Jean JAURES, 10 novembre 2017.Jean JAURES, 10 novembre 2017.Jean JAURES, 10 novembre 2017.

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Propos de ministre.

9 Novembre 2017, 07:18am

Publié par Bernardoc

Toujours dans Marianne du 3 novembre.

« L'école est un milieu spécifique qui ne doit être ni trop ouvert pour protéger, ni totalement fermé pour ouvrir au monde. » Lorsque j'étais principal-adjoint, c'est ce que j'appliquais : et j'appelais ça un « sanctuaire » (d'après une définition du Littré) : donc, rien de nouveau sous le soleil.

« Les chefs d'établissement doivent sentir qu'ils sont, comme nos inspecteurs, des cadres fondamentaux du système.» Je le pensais lorsque j'ai passé le concours. Mais mes trois dernières années de carrière m'ont convaincu que nous étions vraiment des cadres subalternes : un inspecteur dont le jugement à mon encontre se fonde sur ma tenue (chemise à fleurs et tropéziennes en été), sur la police utilisée dans ma correspondance et sur la couleur de ma signature, m'a bien remis à ma place (et après 37 ans de bonnes appréciations cela fait un choc). Et voir un obscur scribouillard du rectorat trafiquer les appréciations que j'avais écrites sur un logiciel de promotions sans me prévenir ni me demander mon avis m'a décidément convaincu qu'il était temps que je m'arrête, après avoir cotisé pendant deux ans pour les autres (puisque, étant au-delà de la limite, je n'avais plus le droit de cotiser pour ma propre retraite, que je ne pouvais cependant pas prendre n'ayant pas atteint 60 ans).

« La différence entre les établissements ne me fait pas peur si l'on veille à soutenir les établissements les plus défavorisés par la richesse des enseignements. » C'est justement parce que cela n'était pas appliqué que j'avais demandé la fermeture du Collège Paul Langevin de Mérignac au nom de l'égalité républicaine, non sans avoir suggéré au vice-président du conseil général de calculer la dotation de fonctionnement en fonction du nombre d'élèves qui auraient dû être au collège et non en fonction de ceux qui y étaient vraiment ; un moyen d'amener les collègues à travailler de concert et d'éviter la fuite des élèves vers les collèges mieux dotés en dépit de la carte scolaire.

Et ce n'est pas fini...

 

 

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Un mardi bien rempli.

8 Novembre 2017, 09:27am

Publié par Bernardoc

J'étais invité par le président de la Métropole au vernissage de l'exposition sur les 256 fusillés de Souge dans les locaux d'icelle. Ayant déjà vu cette exposition à Mérignac, j'aurais pu m'excuser, mais il se trouve que je n'étais jamais entré dans ce bâtiment, et donc c'était l'occasion. Je me doutais que c'était une occasion dans laquelle j'aurais l'occasion de rencontrer des camarades, et ce fut évidemment le cas. Mais j'eus l'agréable surprise d'y rencontrer également la toute nouvelle secrétaire du PG33 (à qui je venais d'écrire), qui est par ailleurs membre du bureau de l'association. C'était un jour de conseil métropolitain et j'ai été vraiment surpris de voir qu'aucun élu ne s'intéressait à cette exposition. Comme je suis optimiste, je veux croire qu'ils avaient pris le temps de regarder le témoignage de cette tragédie avant le début du conseil. Donc personne n'était là pour gêner le président Juppé et le préfet lorsque Jean LAVIE leur en a fait la présentation. Un buffet léger arrosé de Lillet me permis de repartir rassasié vers la séance récréative pour les vieux du Haillan.

Comme d'habitude, cela commence par une conférence illustrée, et cette année la conférencière de l'office du tourisme nous a parlé des Landes à travers une collection des photographies de Félix ARNAUDIN qui nous dépeignait la vie à la fin du XIX°, début du XX° siècles. C'était intéressant non seulement à travers les scènes fixées sur la pellicule, mais aussi grâce à l'art du photographe ; ces vues furent aussi accompagnées par des lectures de Mauriac, notre auteur bordelais qui connaissait fort bien sa région.

Puis le film choisi cette année, La vache, ne me disait rien. Mais la lecture du synopsis (un paysan algérien quitte le bled et traverse la France à pied avec sa vache Jacqueline pour concourir au salon de l'agriculture) laissait entrevoir de bons moments. Et nous ne fûmes pas déçus ! La vache m'a sans cesse fait penser au Cochon de Gaza, avec en plus la dimension « road movie » (pardon pour le terme). Ce n'est donc pas étonnant que le film ait remporté les Grand prix, Prix du public et Prix Michel Galabru d'interprétation pour Fatsah Bouyahmed (le co-héros avec Jacqueline) au festival international de comédie de l'Alpe d'Huez l'an dernier.

Une interrogation : cette après-midi gratuite n'a pas réussi à faire le plein de L'Entrepôt ? Faut-il en conclure que Le Haillan est une ville jeune et que les vieux sont si peu nombreux ?

Tout ne finit pas par des chansons (cela devient de plus en plus rare) mais par une abondante collation.

Et ce n'est pas fini...

Un mardi bien rempli.
Un mardi bien rempli.
Un mardi bien rempli.
Un mardi bien rempli.
Un mardi bien rempli.
Un mardi bien rempli.
Un mardi bien rempli.
Un mardi bien rempli.
Un mardi bien rempli.

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Encore l'éducation.

7 Novembre 2017, 09:11am

Publié par Bernardoc

C'est dans Marianne de cette semaine, une phrase du ministre de l'Education nationale : « Certains ont défendu le principe de plaisir, de bienveillance, contre le principe d'effort ou d'exigence. Les deux vont de pair. »

J'aurais envie de clamer : « Des noms ! Des noms ! » En effet, au cours de la quarantaine d'années que j'ai passées au service de l'éducation, je ne me souviens pas avoir croisé des collègues qui rejetaient « le principe d'effort ou d'exigence ». En revanche, ceux qui pour appliquer ce principe disaient que les élèves devaient en baver pour y arriver, que l'école n'était pas une partie de plaisir,...représentaient un nombre non négligeable de collègues.

Et lorsque j'étais élève-professeur à l'ENNA de Nantes, le seul qui a tenté de nous fourvoyer était le prof de psycho-pédagogie qui nous a sorti que normalement un prof « traditionnel » faisait 80% du travail et l'élève 20% alors qu'en pédagogie Freinet c'était le contraire. Bronca de ma part en affirmant que tous les deux faisaient 80% des efforts, ce qui ne pouvait que donner des résultats bien meilleurs.

C'est un peu ce que j'ai mis en pratique lorsque, Principal-adjoint, je fabriquais les emplois du temps (et à l'époque, c'était à la main !). J'essayais de faire des emplois du temps qui plaisaient à la fois aux enseignants et aux élèves : moins l'emploi du temps était aberrant, meilleures étaient les conditions de travail qui entraînaient en conséquence de meilleurs résultats.

Je suis donc d'accord avec la deuxième phrase du ministre, en regrettant que la première soit très orientée (et inexacte) contre ceux qu'on appelait les pédagogues.

Et ce n'est pas fini...

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Invitation.

6 Novembre 2017, 11:36am

Publié par Bernardoc

L’ARAC 33 (Association Républicaine des Anciens Combattants), la Fédération de la Gironde de la Libre Pensée, la LDH (Ligue des Droits de l’Homme), et l’UPF (Union Pacifiste de France), organisent un

Rassemblement pacifiste

Place Jean Jaurès à Bordeaux,

le 10 novembre 2017 à 16h,

avec toutes les organisations qui voudront y prendre part.

Il s’agit d’obtenir que justice soit rendue aux hommes dont le comportement pacifiste pendant la guerre de 1914-18 a entraîné leur mort, qu’ils aient été fusillés pour l’exemple ou transportés en groupe dans le no man’s land et massacrés par l’artillerie des deux camps, et en particulier pour exiger la réhabilitation des 639 fusillés pour l’exemple. La France est le seul pays d’Europe à ne pas avoir fait cette démarche.

Depuis plusieurs années, dans tout le pays, avec la Libre Pensée, l’A.R.A.C., le Mouvement de la Paix, l’Union Pacifiste, de nombreuses sections de la LDH, parfois de la Ligue de l’Enseignement, et de plus en plus fréquemment les syndicats C.G.T. et C.G.T.F.O., des milliers de citoyens se sont ainsi regroupés pour dire non à la guerre.

Lors d’une conférence l’an dernier à Mérignac nous nous sommes également retrouvés pour honorer les Fusillés pour l’exemple, mais aussi les déserteurs, les insoumis, les révoltés, tous ceux et celles pour qui l’Humanité ne peut se conjuguer avec tuerie et barbarie, en particulier à l’heure des politiques nationalistes et guerrières – souvent accompagnées de violences contre ceux qui contestent le pouvoir – qui ont toujours des résultats catastrophiques pour les peuples. À commencer par les sommes énormes consacrées aux armements de toutes sortes… Sans oublier la présence de troupes françaises dans plusieurs pays pour y défendre des intérêts mercantiles, ou soutenir des dictatures.

Ce sont 120 rassemblements qui ont été organisés en France en 2016 autour du 11 novembre pour la réhabilitation collective des Fusillés pour l’exemple : malgré le déploiement médiatique lors des cérémonies officielles de commémoration, malgré la volonté de l’État et de certains historiens autorisés, qui pensaient avoir « réglé » la question en 2013, en réunissant fusillés et fusilleurs dans le Musée des Armées aux Invalides, le problème de la réhabilitation est resté présent et n’a pu être occulté.

Les fusillés pour l’exemple avaient le droit de dire

NON à la guerre et aux massacres !

Ils doivent être réhabilités !

Et ce n'est pas fini...


 

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Mourir dans la Dignité.

5 Novembre 2017, 09:20am

Publié par Bernardoc

Le 2 novembre, le jour des morts, est aussi la journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité. Mais la délégation girondine avait opté pour le samedi 4, ce qui nous a permis d'y participer, puisque nos tombes périgourdines étaient déjà fleuries.

La manifestation était prévue de 15h30 à 17 heures sur les marches du Grand théâtre. Mais nous étions deux bonnes douzaines à nous restaurer d'abord à La table bordelaise, où nous avons fort bien déjeuné.

Puis, nous sommes allés, hélas sous la pluie, nous déployer sur le lieu de rendez-vous où nous fûmes rejoints par d'autres militants. Nos pancartes étaient parlantes et comme le tram passait à vitesse lente sur la place de la comédie, les voyageurs avaient tout loisir de voir qu'il se passait quelque chose. Quant aux nombreux piétons, ils étaient abordés et ceux qui les acceptaient recevaient un livret de plusieurs pages qui développait les points suivants :

    • A qui appartient mon corps ?

    • Nous allons tous mourir un jour, c'est une évidence que nous devons accepter.

    • Les soins palliatifs ne peuvent pas être la seule réponse à la gestion de la fin de vie.

    • Toutes les douleurs ne peuvent pas être soulagées.

    • La société française permet déjà d'aider un patient à mourir, mais dans quelles conditions...

    • L'aide active à mourir ne sera évidemment jamais une obligation.

    • Et enfin, bien entendu une présentation de l'association et une invitation à y adhérer.

L'accueil était bon, y compris chez les jeunes qui nous ont cependant suggéré de proposer une animation moins statique et plus vocale ; à réfléchir pour l'année prochaine. Seule une infirmière réfractaire est venue plaider pour la sédation profonde qui prolonge l'agonie de plusieurs jours, voire de plusieurs semaines.

Profitant d'une accalmie pluviale, nous sommes partis environ une demi-heure avant la fin de la manifestation.

Et ce n'est pas fini...

 

Mourir dans la Dignité.
Mourir dans la Dignité.
Mourir dans la Dignité.
Mourir dans la Dignité.
Mourir dans la Dignité.
Mourir dans la Dignité.
Mourir dans la Dignité.
Mourir dans la Dignité.
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Un scandale qui perdure.

4 Novembre 2017, 09:13am

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie de médecine, vénérable institution fondée en 1820, donc largement antérieure à l'ordre pétainiste des médecins.

Mais de quoi donc se mêle cette partie de l'Institut de France ? Eh bien elle lance un cri d'alarme sur l'insuffisance criante des médecins scolaires, qui sont actuellement moins de 1 000 pour assurer la prévention de 800 000 élèves de l'enseignement scolaire. Et en plus, tous les postes ne sont pas pourvus.

Comment assurer les visites (obligatoires !) des élèves et déceler à temps les affections qui pourraient influer sur le manque de réussite des élèves ? On sait bien qu'une maladie diagnostiquée et prise en charge à temps coûtera beaucoup moins cher à la collectivité que si on attend qu'elle se développe et impacte alors gravement le développement cognitif des jeunes.

Que peut-on faire alors ? D'abord, revoir le numerus clausus et augmenter le recrutement des médecins ; ensuite, assurer aux médecins fonctionnaires (au service du public) un traitement (salaire) à hauteur de leurs compétences et de leur engagement ; et enfin, ouvrir un nombre de postes suffisant pour que leur mission puisse être accomplie avec sérénité.

En me relisant, je me rends compte que j'ai tout faux et que ce gouvernement de droite réactionnaire prend l'exact chemin inverse.

Alors, encore une fois, on fait quoi ?

Et ce n'est pas fini...

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ADMD

3 Novembre 2017, 11:45am

Publié par Bernardoc

A demain !

Et ce n'est pas fini...

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On vous attend jeudi prochain !

2 Novembre 2017, 17:23pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Mundolingua.

1 Novembre 2017, 08:13am

Publié par Bernardoc

Dans le quartier de St Sulpice, musée récent (5 ans) consacré aux langues et à la communication. J'avais prévu une heure de visite et j'y suis resté pratiquement deux, en le regrettant et en pensant qu'il faudrait y revenir pour une journée entière !

Ce petit musée, très interactif, s'étend sur deux étages qui illustrent cinq « continents » : le langage, l'apprentissage, les langues, jouer avec la langue et les nouvelles technologies.

De nombreux ordinateurs sont mis à la disposition des visiteurs, ainsi que des écouteurs, ce qui permet d'écouter toutes sortes de langues, que l'on peut s'amuser à découvrir, voire même en fonctions des différents accents. Des questionnaires permettent de tester son oreille ou sa connaissance, et des explications écrites sont également disponibles.

En entrant, j'ai posé ma question piège : « Est-il quelque part question de l'espéranto ? ». Mais bien sûr me fut-il répondu. Et effectivement.

Beaucoup d'instruments de différentes époques montrent les moyens mis en œuvre pour communiquer ou conserver les traces des langages (on en est rendus aux clés USB).

Musée très vivant donc, à visiter absolument et longuement pour quiconque s'intéresse aux langues.

Sur les portes des toilettes il est indiqué la traduction de ce mot en beaucoup de langues ; en partant j'ai indiqué comment désigner ce mot en espéranto : « necesejo ». Ce serait bien si de futurs visiteurs pouvaient me dire si ce vocable a été rajouté.

Musée remarquable à ne manquer sous aucun prétexte, d'autant que le fouillis apparent illustre bien le foisonnement de tous ces langages de communication.

Et ce n'est pas fini...

Mundolingua.
Mundolingua.
Mundolingua.
Mundolingua.
Mundolingua.
Mundolingua.
Mundolingua.
Mundolingua.
Mundolingua.
Mundolingua.
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