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Le blog de Bernard SARLANDIE

Vaccination : devoir d'alerte des six académies

30 Juin 2018, 08:48am

Publié par Bernardoc

L'association Nile s'associe à l'Académie des Sciences, l'Académie d'Agriculture de France, l'Académie nationale de Chirurgie-dentaire, l'Académie nationale de Médecine, l'Académie nationale de Pharmacie et l'Académie Vétérinaire de France en relayant leur communiqué du 28 juin 2018.

Dans leur devoir de protection de la santé des populations, elles y déclarent solennellement que la liberté d'expression a des limites et qu'elle n'excuse en rien les allégations irresponsables de certains professionnels  de santé. 
Elles s'insurgent contre les propos d'Henri Joyeux qui, se prévalant de la levée de sa radiation du Conseil national de l'ordre des médecins, prétend "qu'il a raison" concernant ses positions sur la vaccination.

Ces positions sont d'autant plus scandaleuses que les couvertures vaccinales restant insuffisantes en France, des risques épidémiques perdurent. 
L'actualité rappelle que la rougeole peut tuer !

Et ce n'est pas fini...

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Décidément, les cheminots ont raison !

29 Juin 2018, 18:12pm

Publié par Bernardoc

L'an dernier j'avais manifesté contre la suppression des guichets de ma gare de proximité (7,5 km), celle de Mérignac-Caudéran. Mais l'obsession macroniste de destruction des services publics est passée outre. Seulement voilà : non seulement ils ont fermé les trois guichets, mais ils ont également supprimé l'automate. Je me demande pendant combien de temps les trains vont continuer de s'arrêter. C'est vrai qu'une gare qui desservait le quadrant nord-ouest de la métropole, soit plus de 100 000 habitants ne servait bien évidemment à rien.

Il a donc fallu que j'aille retirer ma carte de vieux à la gare St Jean, celle ou aboutissent tous les trains de grandes lignes. Le trajet est simplement deux fois plus long et le stationnement est payant. Voilà, tout s'explique !

Alors oui, honneur à tous ces gens du rail qui ont accepté de perdre plusieurs milliers d'euros pour tenter de défendre ce grand service public, qui avait pris tant d'extension lors de la création des congés payés.

Mais quand on prend un avion de la République pour faire 110 kilomètres, comment peut-on comprendre cela ? N'oublions pas que ce sont « ceux qui ne sont rien » qui, eux, prennent le train.

Et ce n'est pas fini...

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Contre la fermeture de l’usine Ford,

28 Juin 2018, 17:27pm

Publié par Bernardoc

Appel unitaire pour une mobilisation d’ensemble, contre les licenciements partout.
Nous refusons catégoriquement la fermeture de l’usine Ford comme nous refusons les
licenciements qui sévissent un peu partout. A ce titre, nous dénonçons la liquidation récente de l’usine Metal-Aquitaine à Fumel comme celle quasiment programmée de l’usine GM&S à La
Souterraine.
Ce qui se passe à l’usine Ford de Blanquefort est un scandale, un scandale ordinaire certes
mais un scandale auquel il ne faut surtout pas s’habituer. C’est le scandale de ces
multinationales qui détruisent l’emploi et le social sans même aucune justification
économique et ouvertement au nom de la course aux profits et aux dividendes.
La fermeture est injustifiable et inacceptable. Mais tout est organisé pour faire comme si c’était
inéluctable, comme s’il n’y avait rien à y faire.
D’ailleurs l’Etat comme les pouvoirs publics s’y résignent lamentablement, se disent
impuissants et sans solution. Et ce même après avoir donné des dizaines de millions d’euros
de subventions publiques, pendant des années, et après avoir donné des centaines de
millions d’euros ou de francs (combien exactement ?) durant toutes ces années de présence
de la multinationale à Blanquefort.
Ford fait des profits de plusieurs milliards de dollars, encaisse l’argent public et puis s’en va
ailleurs, ferme, licencie des centaines d’emplois, provoque la disparitions de milliers d’emplois
induits, sans rendre de comptes, sans avoir d’obligation à respecter à l’égard des salarié.e.s
comme à l’égard de la collectivité et de la population.
Cela ne doit pas se passer ainsi, sans bruit, sans riposte. La suppression des 900 emplois
directs et des 3000 emplois induits dans la région représente une catastrophe sociale,
s’ajoutant à une situation de chômage et de précarité déjà difficile et insupportable.
Nous devons nous y opposer. Et cela ne concerne pas seulement les salariés Ford, c’est vraiment l’affaire de tout le monde, de l’ensemble de la population, de l’ensemble du mouvement social.
Cette usine ne peut pas, ne doit pas fermer.
Nous avons une bataille à mener unitairement contre la fermeture, contre les licenciements
directs et indirects et aussi contre les liquidations et licenciements partout ailleurs.
Nous savons que c’est ensemble, par une mobilisation large que nous pouvons refuser la
fatalité, changer le rapport de force et reprendre la confiance en nous, retrouver l’espoir de
changer le cours de choses.
Nous appelons donc à la mobilisation générale, à commencer par une manifestation : le

samedi 30 juin à 14h, place Pey-Berland à Bordeaux

Et ce n'est pas fini...

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Document confidentiel Enedis

27 Juin 2018, 14:24pm

Publié par Bernardoc

Rendu public par http://refus.linky.gazpar.free.fr

Enedis - Nouvelle campagne publicitaire autour du compteur Linky

Enedis intensifie sa communication autour du compteur Linky afin de renforcer son acceptabilité et faciliter son déploiement partout en France. Pour optimiser la prise de parole sur Linky, l’équipe du Programme Linky et la Dircom ont construit une stratégie s’adossant aux deux grands évènements sportifs, populaires et fédérateurs qui vont générer une très forte audience sur les médias dans les prochaines semaines : la Coupe du Monde de Football et le Tour de France.

Partis pris et positionnement de communication

·Faire de la pédagogie :

▪️ marteler les bénéfices de Linky pour les particuliers, les collectivités, et la France.
▪️ des experts et des alliés pour porter la parole Linky.

·Créer de la proximité :

▪️ inspirer de la sympathie et de la chaleur autour de Linky. Le faire entrer dans les familles et les foyers.

▪️ bénéficier du contexte de la Coupe du monde de Football et du Tour de France, deux événements populaires et mondiaux pour donner une nouvelle vie au compteur Linky.

Parler vrai :

▪️ incarner les bénéfices de Linky. Combattre les contre-vérités avec des mots simples et justes.

▪️ des clients pour remettre Linky à sa juste place.

*) Dans la presse quotidienne régionale (PQR)

Le plan média a été élaboré pour une prise de parole autour des bénéfices concrets et immédiats du compteur Linky pour nos clients :

· les services à distance

· le dépannage facilité

· la possibilité d’agir sur sa consommation

Un renforcement avec des formats digitaux sur les sites Internet de la PQR et sur les réseaux sociaux.

*) A la radio : RMC

*) A la télévision (France télévisions)

Enedis et Linky seront également à l'honneur sur les sites Internet de France Télévision Sport.

Et ce n'est pas fini...

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Extrémistes de la laïcité ?

26 Juin 2018, 16:19pm

Publié par Bernardoc

J'ai entendu ce terme ce matin à la radio, dans la bouche de Dominique SCHNAPPER (née Aron), présidente du Conseil des sages de la laïcité, nommée par le ministre de l’Éducation nationale.

La juxtaposition de ces deux mots laisse bien mal augurer de l'avenir. Je ne suis pas « Charlie » (plutôt Siné), mais sûrement les enseignants qui ont témoigné dans le dernier numéro spécial : Profs : les sacrifiés de la laïcité vont devoir chercher ailleurs le soutien qu'ils seraient en droit d'attendre de leur hiérarchie.

J'appartiens à une association qui « attache une importance fondamentale à la laïcité », et il ne manquerait plus que je soit qualifié d'extrémiste ! C'est pourtant simple, si j'en crois le grand Robert (édition 1974, ce qui ne nous rajeunit pas ! ) : « Conception politique impliquant la séparation de la société civile et de la société religieuse, l’État n'exerçant aucun pouvoir religieux et les Églises aucun pouvoir politique ». Ceci a été très clairement défini par la loi de séparation de 1905, et il n'existe absolument aucun lien à retisser ! Est-on extrémiste si l'on demande simplement l'application de la loi de notre République ?

C'est cette loi d'apaisement qui assure la liberté absolue de conscience, qui permet le « vivre ensemble » et oblige à la neutralité du politique.

Et c'est un bon exemple : ainsi, après plus de 40 ans de dictature soutenue par l'église catholique au Portugal, la constitution de 1976, sous l'impulsion de Mario SOARES, affirme la laïcité. Et ce n'est pas ce qui a fait baisser le nombre de pèlerins à Fatima ! Reste maintenant à convaincre les autres pays d'Europe.

Et ce n'est pas fini...

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Le cri d'alerte de 175 médecins à Edouard PHILIPPE.

25 Juin 2018, 15:47pm

Publié par Bernardoc

Ce gouvernement brade aussi notre santé. Les jours heureux, vous vous souvenez ?

Ils affirment ne plus pouvoir remplir leur "mission de service public" par manque de moyens, et alertent sur "une mise en danger de la vie d'autrui".

Les signataires, médecins hospitaliers ou libéraux de différentes régions de France, demandent à être reçus par le Premier ministre, parce qu'une précédente requête à l'attention de la ministre de la Santé Agnès BUZYN est « restée sans réponse depuis septembre 2017".

Les signataires disent représenter les "plus de 1.350 confrères et consoeurs de différentes spécialités et disciplines" qui avaient signé une précédente lettre ouverte à Agnès BUZYN. Celle-ci était née à l'initiative de médecins hospitaliers d'Auvergne-Rhône-Alpes.

"Si nous faisons appel à vous de façon pressante, c'est parce que nous ne pouvons plus actuellement remplir notre mission de service public", écrivent les médecins à Edouard PHILIPPE. ils ajoutent :

"Nous vous alertons sur une mise en danger de la vie d'autrui et non-assistance à personne en danger. Mise en danger de la population qui s'adresse à nous, et mise en danger des professionnels qui doivent remplir cette tâche sans en avoir les moyens."

"Les décès médiatisés survenus récemment" ne sont pas de "faits isolés", mais des "signes patents de la dégradation nationale des services hospitaliers", estiment-ils, appelant à "réinjecter au plus vite dans le système de santé les moyens indispensables".

"Il s'agit de stopper immédiatement toute fermeture de lit, suppression de poste soignant et d'embaucher du personnel formé ou à former au plus vite. Il coûtera certainement très cher, trop cher de laisser poursuivre la dégradation exponentielle du service public hospitalier, aussi bien en tant que souffrance physique et psychique que financièrement", concluent-ils.

Et ce n'est pas fini...

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Après notre spectacle.

24 Juin 2018, 12:04pm

Publié par Bernardoc

Trouvé sur FB :

Le Haillan théâtre. " Rien ne va plus au conseil municipal " Très agréable soirée offerte par la troupe.

Bravo à tous !

 

Je confirme bonne soirée bonne détente.

 

UN GRAND BRAVO A TOUTE L'EQUIPE THÉÂTRE DU CTL. SOIRÉE DÉLIRANTE

 

Monsieur Sarlandie,
                               J'ai passé un très bon moment samedi soir en assistant à la pièce de théâtre. La troupe est vraiment pleine d'enthousiasme.
 

Je ne rajoute rien sinon que nous étions contents de notre prestation. Photos de Denis LALANNE.

Et ce n'est pas fini...

Après notre spectacle.

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Futurs retraités, voici ce qui vous attend.

23 Juin 2018, 08:19am

Publié par Bernardoc

Jean-Paul DELEVOYE, haut-commissaire à la réforme des retraites, a avancé, dans une interview au journal Le Parisien du 31 mai, que les salariés du public et du privé, s’ils gagent la même chose, auraient « la même retraite ».

Mais que veut dire « avoir la même retraite » ? Rien, si on ne précise pas le montant de la pension auquel pourra prétendre le salarié.

Le système actuel est un système à prestations définies. A l’heure actuelle, un fonctionnaire qui relève du Code des pensions, entre autres grâce au calcul de sa pension sur les six derniers mois d’activité, peut parfaitement anticiper et connaître le montant de celle-ci lorsqu’il fera valoir ses droits à la retraite.

Avec la bascule vers un système par point, sa seule certitude sera son niveau de cotisation pour acquérir des points. Le montant de sa pension, lui, ne sera connu qu’au moment de son départ à la retraite en découvrant la valeur en cours de ses points selon les données économiques et démographiques du moment.

Ce que propose le haut-commissaire, c’est la prise en compte de toute la carrière pour calculer la retraite avec un système par points « qui s’appuiera uniquement sur la durée totale de carrière ». Aujourd’hui, pour un fonctionnaire, les calculs prennent en compte la durée de carrière et le traitement des 6 derniers mois. En ne retenant que le seul critère de durée de carrière pour le calcul, les fonctionnaires seraient perdants. D’autant que le haut-commissaire a bien précisé, toujours dans la même interview, qu’ « il n’y aura pas de dérapage budgétaire. Cette réforme se fera à enveloppe constante ».

Le haut-commissaire a également produit un autre argument : « pour les fonctionnaires, on intègre les primes dans le calcul de la retraite ». Ainsi, il feint de répondre positivement à l’une des revendications des fédérations de fonctionnaires, notamment la CGT, en matière de retraite. Mais, il ne s’agit que d’un mirage. En effet, l’élargissement de l’assiette de la cotisation uniquement pour l’acquisition de points dont on ne connaîtra la valeur qu’au dernier moment n’est en rien une garantie d’augmentation du montant de la pension.

S’agissant des femmes, leurs retraites sont inférieures de 20 % de celles des hommes (l’écart étant moindre dans la fonction publique d’état). Les femmes, à l’heure actuelle, bénéficient, dans le privé, d’une majoration de deux ans, par enfant, de la durée d’assurance. Six mois pour une femme fonctionnaire depuis 2003. Loin de régler cette inégalité, qui ne semble pas le gêner, le haut-commissaire a déclaré que, pour compenser, il faudra faire appel à la solidarité en fonction de la politique familiale. Ainsi, le droit à la retraite pour les femmes ayant eu des enfants disparaîtrait.

Autre sujet et non des moindres, quid des périodes de maladie et/ou de chômage pour celles et ceux qui ont travaillé dans le privé avant d’entrer à la fonction publique ? En effet, ces périodes qui ne sont pas cotisées seront prises en compte puisque encore une fois, le système par points s’applique sur tout le parcours professionnel. Dans un tel système, la notion de durée disparaît et celui qui aura été au chômage ou en maladie devra travailler plus longtemps. De plus, la revendication de prise en compte de la période des études, par définition, non cotisées, ne pourra pas être satisfaite. Jean-Paul DELEVOYE a bien précisé dans la même interview : « il n’y aura pas de points gratuits ».

La CGT, pour sa part, se prononce contre le système de retraite par points et pour le maintien du code des pensions et du calcul des pensions sur la base des six derniers mois !

Et ce n'est pas fini...

 

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Réflexions sur la culture.

22 Juin 2018, 09:30am

Publié par Bernardoc

Hier, c'était la Fête de la musique. J'ai cherché ce qui se passait sur ma commune ; le triste constat fut vite fait : RIEN. Même s'il est vrai qu'il y a de nombreuses occurrences musicales sur le territoire, je trouve quand même déplorable que l'on reste en dehors de cet événement initié en son temps par Jack LANG, un des deux grands ministres de la culture avec André MALRAUX, et qui a maintenant pris une dimension mondiale.

Il en est de même pour un autre événement devenu invisible depuis que je suis à la retraite : Le printemps des poètes, qui a pourtant marqué trois cohortes d'élèves de Zola. La poésie est pourtant un des moyens de mobiliser vers la culture et l'ouverture aux autres. Bien avant l'existence de cette quinzaine, je consacrais une semaine chaque année à la poésie, avec des élèves de l'enseignement professionnel qui eux aussi avaient droit au beau.

Ne parlons pas des associations culturelles haillanaises, trop souvent ignorées par les élus, ce qui peut parfois faire penser au mépris macronien pour ceux « qui ne sont rien », même s'il y a des prêts de salles qui conviennent plus ou moins et une subvention en baisse depuis la politique hollando-vallso-macronienne). Ceci n'est pas nouveau : cette situation existait déjà lors du mandat précédent et j'en ai beaucoup souffert à l'époque, à la fois en tant qu'élu et acteur culturel. En effet, la culture et l'éducation populaires sont pourtant une partie importante dans la formation de tout citoyen. Mais j'ai parfois l'impression que les « administratifs » ont pris le pas sur les politiques, ce qui aussi n'est pas nouveau ; je me souviens des colères que je piquais lorsque ma dotation budgétaire arrivait signée, non pas du président ou d'un vice-président du conseil général, mais par un fonctionnaire.

Demain soir, nous allons jouer à L'Entrepôt pour la dernière fois. L'an prochain, si nous maintenons notre troupe au CTL, il faudra nous tourner vers une commune proche pour être accueillis et pouvoir jouer dans des conditions acceptables pour donner un spectacle réussi. En effet, la mairie ne nous accordera pas un week-end à taux de location réduit dans la salle municipale, pourtant nécessaire pour que l'ensemble des groupes théâtraux du Haillan puisse montrer le résultat de toute une année d'efforts.

Décidément, Rien ne va plus au conseil municipal !

Et ce n'est pas fini...

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Questions au gouvernement.

21 Juin 2018, 08:11am

Publié par Bernardoc

Hier j'ai regardé les questions au gouvernement ; ce qui m'intéresse, ce sont les vraies questions, qui proviennent en règle générale des groupes FI, communiste ou socialiste. Malheureusement ils n'ont droit qu'à une seule question à chaque session, et c'est bien dommage. Car pour ce qui est des questions marcheuses, il s'agit avant tout de passer de la pommade au gouvernement de façon scandaleusement éhontée, préludes à des applaudissements debout à la fin de la réponse du ministre.

Mais ce qui m'a étonné hier, ce sont les réactions ministérielles, que j'ai trouvé particulièrement mauvaises...Et pourtant Castaner n'est pas intervenu ! Il y avait vraiment des éléments de langage qui se recoupaient, et notamment la volonté, dans chaque réponse, de citer le nom du plus grand nombre de ministres. S'agissait-il d'un concours ? Ou bien était-ce une figure imposée pour que les citoyens puissent s'habituer à entendre le nom de ces ministres de droite, inconnus pour la plupart jusqu'alors ? Je pense que les deux hypothèses sont plausibles et servent peut-être à tenter de masquer le mépris présidentiel pour ceux « qui ne sont rien ».

Autre tic, pourtant fréquent mais que je n'ai pas entendu hier : « Je vous remercie de cette question qui va me permettre d'éclairer l'action que je mène avec le gouvernement, et qui figurait dans le programme présidentiel. »

C'est un spectacle que j'essaie de louper le moins souvent possible, mais j'ai l'impression que les bancs sont de plus en plus désertés, alors que les députés se pressaient pour être cadrés au début de leur mandat. Épuisement professionnel ? Les pauvres !

Et ce n'est pas fini...

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