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Le blog de Bernard SARLANDIE

Histoire illustrée d'une journée.

28 Février 2019, 22:06pm

Publié par Bernardoc

Heureusement que nous étions trois pour la monter cette cabane de jardin. Reste plus que la peinture.

Et ce n'est pas fini...

Histoire illustrée d'une journée.
Histoire illustrée d'une journée.
Histoire illustrée d'une journée.
Histoire illustrée d'une journée.
Histoire illustrée d'une journée.
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Histoire illustrée d'une journée.
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Parce qu'il ne faut rien laisser passer...

27 Février 2019, 00:27am

Publié par Bernardoc

Tiré des Décodeurs in Le Monde du 25/2/19

« Est-ce qu’il est normal qu’un migrant fraîchement débarqué puisse toucher davantage qu’un retraité modeste qui a travaillé et cotisé et toute sa vie ? Est-il normal qu’il ait accès à un logement et ait un revenu social immédiat ou des soins totalement gratuits lorsque nos compatriotes dans la difficulté sont sans emploi, sans toit, ou renoncent à des soins par manque de moyens ? » M. Le Pen

  1. on, les migrants ne touchent pas davantage que les retraités

    Lallocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA ou minimum vieillesse) est versée à ceux, âgés de plus de 65 ans, qui perçoivent des revenus inférieurs à 868 euros mensuels, pour une personne seule, ou 1 347 euros pour un couple. il faut en faire la demande.

    En dessous de 65 ans, un migrant, s’il est en situation irrégulière ou qu’il n’a pas d’attestation de demandeur d’asile (valable un mois puis à renouveler), n’a droit à rien.

Un demandeur d’asile peut bénéficier, pendant la période d’instruction de son dossier, de l’allocation au demandeur d’asile (ADA), soit 6,80 euros par jour, à quoi peuvent s’ajouter 7,40 euros si aucune place d’hébergement n’a été proposée. Soit un total maximal de 440 euros pour un mois de trente et un jours.

  1. Non, un migrant n’a pas accès automatiquement à un logement

    Un peu plus d’une personne sans domicile sur deux (53 %) est de nationalité étrangère, selon les chiffres de l’Insee en 2012. Une surreprésentation flagrante quand on sait que les étrangers représentent environ 6 % de la population.

    3. Non, un migrant n’a pas accès à un revenu social immédiat                                        Les demandeurs d’asile ne sont pas éligibles au revenu de solidarité active (RSA, environ 550 euros par mois) car il faut disposer d’un titre de séjour autorisant à travailler depuis plus de cinq ans (pour les étrangers non communautaires).

Quant aux allocations familiales, considérées comme un « gagne-pain » par les partisans d’un durcissement des politiques migratoires, les demandeurs d’asile n’y ont pas droit non plus, pas plus qu’aux aides au logement.

4. Non, un migrant n’a pas accès à des soins totalement gratuits

Tant que le demandeur d’asile n’est pas reconnu comme tel, il ne peut être pris en charge que pour une urgence, et uniquement dans les hôpitaux où des permanences d’accès aux soins de santé (PASS) ont été mises en place. Il existe en outre un dispositif accessible à partir du moment où la demande est acceptée : c’est l’aide médicale d’Etat (AME), soumise à conditions de ressources et de résidence stable en France (seuls les mineurs peuvent en bénéficier sans condition). Elle ne donne droit qu’à un panier restreint de soins et n’est pas accessible à des membres de la famille résidant à l’étranger.

Une fois sa demande d’asile enregistrée, il peut bénéficier (en cotisant s’il travaille) de la protection universelle maladie (PUMa) : frais médicaux et hospitaliers sont alors pris en charge intégralement…en théorie. Dans la réalité, tous les praticiens n’acceptent pas les patients sous ce régime (serment d'Hippocrate !).

Macron remarque : « Or, cette tradition [d'accueil] est aujourd’hui bousculée par des tensions et des doutes liés à l’immigration et aux défaillances de notre système d’intégration. » On voit bien que les sirènes de l'extrême droite l'inspirent largement, même si ce sont des infox.

Et ce n'est pas fini...

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De qui se moque-t-on ?

26 Février 2019, 16:06pm

Publié par Bernardoc

Crise au Venezuela: L'Union européenne demande d'«éviter» toute intervention militaire La presse

Alors que depuis des semaines l'UE, à la remorque des Etats-unis d'Amérique du nord, affirme reconnaître l'auteur du coup d'état s'autoproclamant président, voici que maintenant elle dit s'opposer à toute intervention militaire. Mais quel est le poids de notre vieux continent face à la trumpette Amérique ? Espère-t-on avoir plus de poids que nous n'en avions eu face à l'intervention pilotée par la CIA contre le Président Allende, qui lui aussi avait été régulièrement élu ? Est-il temps de se réveiller après avoir jeté de l'huile sur le feu en encourageant les autoproclamations présidentielles ? Est-ce cela la démocratie prônée par l'Europe, et notamment par notre méprisant de la République ?

Je voulais reprendre une info que j'avais partagée sur FB concernant les antécédents du leader de l'extrême droite vénézuélienne, mais je viens de me rendre compte qu'elle avait disparu.

Donc, un bref rappel : avant le 22 janvier de cette année, environ 20% des Vénézuéliens avaient entendu parler de cet usurpateur, qui s'est autoproclamé lorsqu'il a reçu l'ordre du vice-président étatsunien. Il faut dire qu'il était déjà connu au bataillon puisqu'il avait déjà participé à des missions pour la CIA en Europe du temps de ses années estudiantines.

Quand l'Europe, dont nous allons élire le parlement bientôt se remettra-t-elle à avoir une pensée et une action autonomes ?

Et ce n'est pas fini...

 

 

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Médicaments : des ruptures de stock en augmentation.

25 Février 2019, 11:21am

Publié par Bernardoc

  Que faut-il en penser ? Sommes nous vraiment menacés ?

En 2014, 400 ruptures de stocks de médicaments avaient été recensées. En 2017, 538 ruptures de stock ont été comptabilisées. Par ailleurs, un Français sur trois a été confronté à une pénurie de médicament durant les six derniers mois. Une situation inquiétante qui préoccupe de plus en plus les laboratoires pharmaceutiques, qui alertent aujourd’hui les pouvoirs publics.

Ces derniers déplorent la faiblesse de la chaîne d’approvisionnement des produits pharmaceutiques. Ils pointent notamment du doigt le fait que ce sont les vaccins, les médicaments anticancéreux et les antiépileptiques qui pâtissent le plus de ces galères d’approvisionnement. Actuellement, ce sont des produits tels que le Sinemet, un médicament destiné à lutter contre la maladie de Parkinson, ou encore l’amoxicilline qui sont les plus touchés.

Outre l’impact sur la santé des Français, les professionnels du secteur s’inquiètent de l’image que ce phénomène renvoie sur leur image. C’est ce que déplore notamment le Leem, l’organisation professionnelle des entreprises du médicament. Interrogé par Le Figaro, Philippe Lamoureux, le directeur du Leem, explique pourtant que l’idée selon laquelle les ruptures de stock sont de la responsabilité des laboratoires est fausse.

Pour eux, la raison du problème est ailleurs. Aujourd’hui, 60 à 80% des molécules utilisées dans les médicaments sont fabriquées en-dehors de l’Union européenne. Il y a trente ans, seulement 20% de ces molécules étaient fabriquées hors de l’UE. L’approvisionnement de ces molécules prenant plus de temps, la fabrication et la commercialisation des médicaments prend aussi du retard. Pour faire face à ce phénomène, les industriels préconisent de renforcer les obligations de sécurisation des stocks, pour les médicaments prioritaires.

JB Leroux

Et ce n'est pas fini...

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Ils n'ont rien de mieux à faire les postiers ?

24 Février 2019, 09:33am

Publié par Bernardoc

Déjà qu'ils manquent de personnel, si j'en juge par les délais pour obtenir un rendez-vous avec un conseiller financier...

Est-ce qu'on fait appel aux enseignants pour améliorer les services postaux ? Pourtant ils auraient peut-être des idées eux aussi.

Et ce n'est pas fini...

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Immigration. L’appel au secours des étrangers en rétention

23 Février 2019, 10:35am

Publié par Bernardoc

« Notre pays a toujours su accueillir ceux qui ont fui les guerres, les persécutions et ont cherché refuge sur notre sol : c’est le droit d’asile, qui ne saurait être remis en cause. Notre communauté nationale s’est aussi toujours ouverte à ceux qui, nés ailleurs, ont fait le choix de la France, à la recherche d’un avenir meilleur : c’est comme cela qu’elle s’est aussi construite. Or, cette tradition est aujourd’hui bousculée par des tensions et des doutes liés à l’immigration et aux défaillances de notre système d’intégration. »

 

Ci-dessus un extrait de la lettre du méprisant de la République.

Ci-dessous la réalité.

CHERCHEZ L'ERREUR !

 

Extrait d'un article de L'Humanité du vendredi 22 février 2019

« Trois suicides en une semaine ! »

C’est un véritable appel au secours, lancé de derrière les barbelés du centre de rétention administrative (CRA) de Coquelles (Pas-de-Calais), qu’a reçu, mardi soir, Laurent CAFFIER, militant solidaire des exilés dans le Calaisis. « Y a un Érythréen qui s’est suicidé. On ne sait pas s’il est mort ou non. C’est la troisième fois cette semaine. S’il vous plaît ! C’est un SOS ! » entend-on sur l’enregistrement audio qu’il a immédiatement fait parvenir à l’Humanité. « Il faut nous aider ! » lance une autre voix derrière celle du premier témoin.

Joint, mercredi, par téléphone, ce dernier se présente sous le prénom d’Ahmad, un immigré marocain enfermé depuis vingt-quatre jours. Il dit avoir été interpellé lors d’un contrôle d’identité. Sa situation administrative aurait basculé à la suite de son divorce d’avec sa femme française, il y a quelques années. Une véritable descente aux enfers. « J’avais une maison, un travail en CDI, raconte l’homme. À la suite de cette séparation, j’ai tout perdu. » Le voilà aujourd’hui passible d’expulsion vers un pays où il n’a plus aucune attache et retenu entre les murs de ce CRA, témoin abasourdi du sort réservé à ses semblables. « On n’a rien fait de mal ! clame-t-il. On est enfermés comme dans une prison. Mal logés, mal nourris, sans suivi médical. C’est grave ! »

Ahmad a tenté de dénoncer ce à quoi il assiste au sein du CRA en adressant un courrier à la Ligue des Droits de l'Homme.

Et ce n'est pas fini...

 

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COUPABLES !

22 Février 2019, 13:16pm

Publié par Bernardoc

D'après un article de Les Echos du 21/2/19

Eh oui, encore une fois, les malades sont considérés comme des profiteurs. Où est la solidarité nationale construite par le Conseil National de la Résistance dans la France ruinée au sortir de la deuxième guerre mondiale ? Quand on voit que l'un des rédacteurs de cette proposition est un ancien patron de caisse de Sécurité sociale, on se demande s'il connaît bien l'histoire de notre Sécu. Sûrement que le visionnement du film « La Sociale » lui ferait du bien. On utilise aussi le terme de « partenaires sociaux », inventé par Delor si je ne m'abuse ; mais en quoi le Medef peut-il être un partenaire des syndicats ? Nos revendications sont diamétralement opposées à celles des patrons pour qui seul compte le profit. Parlons d'interlocuteurs éventuellement, mais pas de partenaires ! Mais bon, ce gouvernement ne fait qu'amplifier et parachever ce qui avait déjà été initié lors du quinquennat précédent sous la conduite d'Hollande et Valls que d'aucuns considéraient comme socialistes.

 

Un jour de carence « d'ordre public », c'est-à-dire gravé dans la loi et ne pouvant pas être compensé financièrement, pour tous les salariés en arrêt-maladie. C'est la mesure la plus sensible parmi les propositions de réforme du système d'indemnités journalières formulées par la mission Bérard-Oustric-Seiller. Ce trio composé d'un DRH, d'un médecin généraliste et d'un ancien patron de caisse de Sécurité sociale a remis, ce mercredi, son rapport au Premier Ministre, après cinq mois de travaux et de consultations. Matignon veut ouvrir une concertation avec les partenaires sociaux sur la base de ce rapport et de celui de la députée LREM Charlotte LECOQ, sur la refonte de l'organisation de la santé au travail.

Ils devront « se positionner d'ici l'été », et décider ensemble de ce qu'il faut négocier.

Le jour de carence d'ordre public est présenté comme une façon de mettre les salariés du privé à égalité avec les fonctionnaires. Ces derniers n'ont pas de possibilité de voir leur premier jour d'arrêt maladie pris en charge. Alors que dans le privé, 60 % à 70 % des trois jours de carence sont compensés au salarié malade via des accords de prévoyance signés au sein des branches professionnelles.

Constatant que « l'ensemble des organisations de salariés est hostile » à la mesure, la mission « suggère que cette hypothèse ne soit envisagée que comme contrepartie à des évolutions permettant une meilleure prise en charge de certaines populations de salariés non couvertes par le complément

employeur ». Deuxième élément de justice sociale poussé par les rapporteurs : permettre à neuf millions de salariés, dont ceux qui ont moins d'un an d'ancienneté, les CDD, ou aides à domicile employées par un particulier, de bénéficier d'une compensation par l'employeur de la perte de salaire liée au congé maladie. En effet, la Sécurité sociale indemnise le salarié à hauteur de 50 % du brut à partir du quatrième jour.

Depuis 1978, les entreprises sont tenues de compléter à hauteur de 40 % pendant le premier mois… sauf exception.

Cette extension du complément employeur devrait faire l'objet de négociations préalables avec les partenaires sociaux. Alors que l'indemnité journalière est aujourd'hui proportionnel au salaire et plafonné à 0,9 SMIC, il pourrait être de 0,7 SMIC pour tous. Le complément employeur serait modulé de sorte à garantir à tous les salariés le maintien d'au moins 90 % de leur salaire, comme aujourd'hui. Mais les entreprises devraient aussi faire des efforts pour s'aligner sur la Sécurité sociale : indemnisation des salariés en CDD, 3 jours de carence au lieu de 7. « Cette mesure, neutre pour la Sécurité sociale, représenterait une économie directe pour toutes les entreprises dont le salaire moyen est inférieur au double du forfait », et « un allégement massif des coûts de gestion », vante la mission.

Et ce n'est pas fini...

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Juifs et préjugés

21 Février 2019, 14:22pm

Publié par Bernardoc

D'après un article de marianne.net du 20 février 2019

Même si une majorité de Français sont inquiets du sort réservé à leurs concitoyens juifs, les stéréotypes antisémites sont encore très présents dans l’opinion.

On pourrait y lire les prémices d’un sursaut. Un sondage exclusif de l’Ifop pour Marianne entrebâille au minimum une lucarne d’espoir. Réalisée à chaud, quarante-huit heures après l’agression antisémite subie par Alain FINKIELKRAUT, cette étude montre que deux Français interrogés sur trois (66 %) jugent que « les juifs sont injustement attaqués quand les choses vont mal ». Il faut comparer cette majorité très large, mais pas écrasante, avec les réponses obtenues à la même question en 2014 (46 %) et en 2016 (57 %) lors de précédentes enquêtes.

Avec l’augmentation de 74 % des actes antisémites en 2018 par rapport à l’année précédente, l’inquiétude est donc réelle.Marianne a repris un questionnaire déjà utilisé à deux reprises, en septembre 2014, six mois avant les attentats de Charlie et de l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes, et en février 2016, dix ans après l’assassinat d’Ilan HALIMI, et pensé de façon à fournir une sorte de « baromètre des idées antisémites ». Le constat est sans appel : les opinions préconçues et les stéréotypes, tels qu’ils se déversent sur les réseaux sociaux et dans l’espace public au travers de tags, de slogans, d’invectives ou de caricatures malsaines, restent bien présents dans l’opinion.

oba-icon-vecto-small Un peu plus d’un sondé sur quatre (27 %) pensent ainsi que les juifs « sont plus riches que la moyenne des Français » ; une personne interrogée sur cinq, qu’ils « utilisent aujourd’hui dans leur propre intérêt leur statut de victimes du génocide nazi pendant la Seconde Guerre mondiale », qu’ils « ont trop de pouvoir dans le domaine des médias » et qu’ils « ont trop de pouvoir dans le domaine de l’économie et de la finance ». Vingt-sept pour cent des Français sont d’accord avec deux affirmations antisémites. Un ratio tout de même moins important que lors des précédentes enquêtes. Cette évolution, encore une fois, interroge. « Ces opinions s’effacent-elles réellement ou sont-elles moins dicibles dans le contexte actuel ? Je ne peux pas répondre à cette question », reconnaît notre sondeur. Très représentés dans cette catégorie, les sympathisants RN sont 10 % à adhérer à cinq affirmations antisémites, le double de la moyenne nationale. « Ce qui montre un décalage entre les prises de position de Marine Le Pen et celles de son électorat », observe Dabi.

Mardi 19 février, les jeunes étaient les grands absents place de la République, à Paris comme à Bordeaux. Or, quelle que soit la question posée, ils sont au-dessus de la moyenne des répondants.

Pour les contrer, certains dans la majorité ont cru bon de proposer la pénalisation de l’antisionisme. Pourtant, il serait illusoire de chercher à départager les 39 % de Français qui pensent que le sionisme « est une idéologie qui revendique le droit des juifs d’avoir leur propre Etat sur les terres de leurs ancêtres » et les 31 % qui pensent au contraire que c’est « une idéologie qui sert à Israël à justifier sa politique d’occupation et de colonisation des territoires palestiniens ».

Les sondés ne sont que 40 % à estimer que le gouvernement agit efficacement contre l’antisémitisme. « Les agressions et les dégradations des derniers jours sont vues comme un signe intense de chienlit ou de désordre », remarque Frédéric DABI.

Et ce n'est pas fini...

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Fin de vie.

20 Février 2019, 09:20am

Publié par Bernardoc

En décembre 2017, un sondage pour La Croix indiquait que 89% des Français étaient pour l'aide active à mourir.

Nul aujourd'hui n'ignore que l'on meurt mal dans notre pays. Les souffrances existent. L'INED (Institu National d'Etudes Démographiques) a très bien mesuré cela dans un récent rapport. Aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, dans plusieurs états des Etats-unis d'Amérique du nord, en Colombie, au Canada...des lois de légalisation de l'euthanasie font que la crainte du mal mourir a disparu de l'esprit de leurs citoyens.

Ma vie m'appartenant, à moi et à moi seul, je ne veux pas que qui que ce soit se mêle de choisir pour moi comment je vais finir ma vie : ni médecin, ni famille dès lors que je n'ai pas donné de mandat de représentation, ni, bien sûr, religieux...

Une loi sur la fin de vie, respectueuse des volontés et des consciences, devra mettre en œuvre de manière effective l'accès universel aux soins palliatifs, le respect du patient et l'aide active à mourir.

La légalisation de l'aide active à mourir est une bonne réforme à apporter aux Français ; de celles qui satisfont la très grande majorité de nos concitoyens.

Et ce n' est pas fini...

 

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Comment renforcer les principes de la laïcité française, dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays?Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

19 Février 2019, 10:16am

Publié par Bernardoc

Je me contente pour cette question de reprendre le communiqué du 17 janvier 2019 du Collectif Laïque National :

 

Le Collectif récuse la formulation utilisée dans cette lettre sur plusieurs points, lourds de conséquences pour notre République:

- La laïcité est un principe constitutionnel avant d’être une valeur.
- Elle est plébiscitée et vécue très largement par la population et ne fait pas l’objet de débats en dehors de cercles restreints d’activistes.
- Ce qu’elle permet est avant tout la paix civile et l’égalité des citoyens sans avoir à prendre en compte leurs croyances ou convictions.
- Elle n’est pas une simple coexistence des convictions ou des cultes, mais la liberté de conscience de chacun et le facteur de son émancipation.
- La condition nécessaire à cette égalité est le principe juridique de séparation (intitulé de la loi du 9 décembre 1905) qui n’implique aucun autre lien avec l’État que la garantie par la République du libre exercice des cultes. Toute altération de ce principe serait un retour à la logique bonapartiste du concordat de 1801.

Pour renforcer la laïcité, le Collectif Laïque National rappelle que le meilleur moyen consiste à respecter et appliquer les principes de la loi de séparation, ainsi qu’à prévoir son extension à tout le territoire de la République.

Et ce n'est pas fini...

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