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Le blog de Bernard SARLANDIE

A quelque chose malheur est bon.

30 Avril 2020, 14:09pm

Publié par Bernardoc

Article du monde.fr du 30 avril 2020

Afin d’éviter que le déconfinement soit synonyme d’une hausse massive de la pollution de l’air, le vélo est promu. Le ministère de la transition écologique et solidaire a notamment annoncé, mercredi 29 avril, un plan doté de 20 millions d’euros pour faciliter la pratique de la bicyclette et éviter que les Français privilégient trop leur voiture lorsqu’ils seront autorisés à se déplacer à nouveau, notamment pour se rendre au travail.

« Nous voulons que cette période fasse franchir une étape dans la culture vélo, et que la bicyclette soit la petite reine du déconfinement en quelque sorte », a ainsi assuré Elisabeth BORNE.

La pratique du vélo pour se déplacer au quotidien est en retard en France par rapport à d’autres pays, quand 60 % des « trajets effectués dans l’Hexagone en temps normal font moins de 5 kilomètres », observe le ministère.

Le fond de 20 millions d’euros permettra de prendre « en charge des réparations, l’installation de places de stationnement ou encore des formations », précise la ministre.

Le plan, mis en place en partenariat avec la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB), comprend un forfait de 50 euros pour la remise en état d’un vélo (changement de chaîne, frein, pneu, dérailleur…) au sein d’un réseau référencé de réparateurs, qui seront répertoriés sur le site Internet de la FUB et sur une plateforme dédiée. Il y aurait 30 millions de vélos d’occasion en France.

La création de places de stationnement temporaires pour les bicyclettes sera également financée, ainsi que des « formations à la reprise d’un vélo en confiance, assurées gratuitement ».

Le décret d’application dans le secteur privé pour la mise en place du forfait mobilités durables, qui peut monter à 400 euros, sera pris « le plus rapidement possible ».

Des villes et des départements prévoient aussi de mettre en place des pistes cyclables et des aménagements piétons temporaires. Pour encourager les collectivités dans cette démarche, le ministère leur propose un soutien technique et la dispense d’autorisations préalables, « notamment des Architectes des bâtiments de France ». « Le fonds de dotation de soutien à l’investissement local (DSIL) est mobilisé par les préfets pour cofinancer des pistes cyclables temporaires au cas par cas avec les collectivités territoriales qui ne disposeraient pas de ressources suffisantes », précise le ministère.

Le gouvernement invite aussi à maintenir « les voies vertes accessibles lorsque les conditions d’ouverture pour les cyclistes y sont remplies ». Et il rappelle que la vente et la réparation de vélos sont autorisées pendant le confinement.

Et ce n'est pas fini...

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Eloge du mensonge.

29 Avril 2020, 14:23pm

Publié par Bernardoc

Malgré tous les efforts de ce gouvernement de droite extrême, je n'arrive pas à m'y faire. C'est contraire à tout ce que mes parents et l'école de la République m'ont inculqué. Je ne suis pas capable d'utiliser ce mode de fonctionnement que je réprouve de toutes mes forces.

Il y a belle lurette que je ne crois plus aux « promesses » électorales. Mais une fois qu'ils ont été légitimement élus (pas forcément par moi) on pourrait espérer que nos dirigeants expliquent clairement ce qu'ils sont en train de mettre en place.

Pour cela, il existe un(e) porte-parole du gouvernement et Sibeth N'DIAYE n'a rien à envier à celle qui officiait sous le gouvernement Ayrault pour manier la langue de bois et expliquer l'inexplicable. Il faut dire que les ministres (ou anciens ministres) ne sont pas en reste et font tout pour l'aider dans cette tâche d'enfumage.

Au mois de janvier, il y a donc une éternité, la ministre affirmait que le coronavirus avait fort peu de chance d'arriver jusque chez nous.

Février : fermer des écoles ? Vous n'y pensez pas, il n'en est pas question !

Au mois de mars on nous enjoignait d'aller voter (ce que nous nous sommes bien gardés de faire), c'était sans aucun risque, deux jours après il était interdit de sortir de chez nous. La contamination avait frappé à la vitesse de la foudre, prenant le gouvernement (c'est comme ça qu'il faut l'appeler) de court.

Début avril les masques étaient inutiles, d'ailleurs c'est un geste trop technique pour être maîtrisé par le citoyen lambda (dixit l'autre citée ci-dessus).

Fin avril, il est conseillé.

Le 11 mai, il sera obligatoire.

Ne parlons pas des tests que nous n'avons pas et pour lesquels il faut trouver des excuses.

Les écoles rouvriront, peut-être, si les parents y envoient leurs enfants (facultatif). Les normes seraient de 4m² par élève, mais comme les classes sont trop petites, on propose de ramener cette aire de sécurité à 3m² ; envoyer moins d'élèves à la fois ne semble pas avoir effleuré les esprits. Les lycées ne rouvriront peut-être pas au mois de juin...

Ce ne sont pas des mensonges ? Vous avez sans doute raison. Ceux qui nous gouvernent sont toujours de bonne foi, ils sont juste incompétents !

Et ce n'est pas fini...

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J'ai (encore) écrit à mon député.

28 Avril 2020, 09:55am

Publié par Bernardoc

LIGUE                                                                                                                                       

DES                                                                                                                        

DROITS DE L'HOMME

Bernard P. SARLANDIE

Section de Mérignac

Lettre ouverte

  Le Haillan, le 27 avril 2020

 

Objet : Vote sur la mise en œuvre de l’application StopCovid

Monsieur le député,

En principe, demain à l’Assemblée nationale, vous serez appelé à un débat suivi d’un vote sur l’éventuelle mise en œuvre de l’application de suivi de contacts StopCovid, destinée à lutter contre la pandémie Covid-19 et présentée comme une application de déconfinement.

Installée sur les intelliphones, cette application serait capable d’alerter son propriétaire s’il a « croisé », dans les jours qui précèdent, une personne atteinte de la maladie afin qu’il prenne les précautions d’usage pour arrêter la propagation de la maladie. Un service d’attribution de pseudonymes permettrait à StopCovid de ne pas révéler l’identité de la personne infectée croisée, et le Bluetooth ne permettrait pas la géolocalisation.

Annoncée comme conforme, notamment aux principes du Règlement général sur la protection des données (RGPD), elle respecterait la vie privée dans la mesure où l’anonymat des alertes serait garanti, et où l’utilisation du Bluetooth ne permettrait pas de géolocaliser les personnes, elle ne serait installée que sur la base du volontariat.

Présentée comme étant d’une grande simplicité, StopCovid comporte pourtant de nombreux paramètres qui posent problème, qu’ils soient d’ordre technologiques, médicaux, scientifiques ou éthiques.

Si le Bluetooth ne permet pas de géolocaliser les personnes, il ne permet pas non plus d’évaluer avec précision la distance entre celles-ci, ni même de détecter si elles étaient séparées par un plexiglas, une vitre ou un mur.

Comme il permet d’accéder aux données du téléphone, y compris contre la volonté de son propriétaire, son activation est généralement déconseillée et doit donc être volontaire mais il peut être désactivé par certaines fonctions du téléphone, comme la lecture de sa messagerie ou autre, ce qui rendra StopCovid inopérant.

Entre les deux principaux systèmes opérationnels sur les intelliphones, (IoS pour les Iphones d’Apple et Android de Google pour la plupart des autres marques) les connexions Bluetooth passent mal, c’est pourquoi les deux entreprises proposent exceptionnellement un protocole de communication entre leurs deux systèmes, protocole dont on peut craindre qu’il permette aux deux « géants » d’avoir accès à quelques données du téléphone. C’est aussi la raison pour laquelle le secrétaire d’Etat au numérique a demandé à Apple de modifier cette désactivation du Bluetooth par défaut, allant ainsi à l’encontre des principes du RGPD alors qu’il devrait en être l’un des garants.

Par ailleurs quelles que soient les promesses d’anonymat, il n’est techniquement pas possible de le garantir, même si l’on nous affirme qu’un serveur central qui distribuerait des pseudonymes sera « honnête et sécurisé ».

Les connaissances sur les modes de transmission du virus sont encore incertaines, et comme le Bluetooth ne permet pas de mesurer la distance entre les personnes ni la durée du « contact », les alertes de l’application pourraient signaler de nombreux « faux positifs ». D’un autre côté, se déclarer atteint du Covid-19 (ou être déclaré par une autorité non encore définie) nécessite d’avoir été testé, or les tests manquent et sont pratiqués avec parcimonie. Par ailleurs, selon les projections mathématiques, il serait nécessaire pour que StopCovid soit efficace qu’au moins 60 % de la population l’installe, or même dans un Etat comme Singapour, pourtant donné en exemple, moins de 20 % de la population a installé l’application équivalente (et le confinement a dû être rétabli).

Le choix d’utiliser les intelliphones est un facteur de discrimination qui mettra toute une partie de la population à l’écart. En effet seulement 44 % des « plus de 70 ans » possèdent un téléphone mobile tandis qu’au moins 14 % des Français ne sont pas à l’aise avec les manipulations comme l’activation du Bluetooth ou l’installation d’une application, pourtant ce sont souvent les populations considérées comme les plus « à risques ».

Les problèmes techniques relevés pourraient, a contrario, mettre en danger les individus trop confiants dans l’application qui ne pourra pas signaler qu’un malade qu’ils n’ont jamais croisé a touché la poignée de porte de leur boutique préférée.

L’installation de StopCovid sur la base du volontariat traduirait le consentement des individus, mais le caractère libre et éclairé de celui-ci n’est pas avéré. En effet la pression sociale et patronale, l’éventuel refus d’accès à certains services, la stigmatisation des « réfractaires » risque d’obliger un grand nombre de personnes à l’installer.

Enfin la solution technologique que l’on vous propose de voter pour mettre fin à la pandémie porte en elle le risque d’une habituation à une surveillance généralisée, banalisée et pérenne. La fin de la pandémie étant tout à fait incertaine, la suppression de l’application, que l’on nous promet à la fin de la crise sanitaire, risque de ne jamais intervenir, d’autant plus qu’elle pourrait bien servir pour prévenir d’autres risques à venir.

Les risques d’atteinte au respect de la vie privée et au secret médical, les risques de surveillance généralisée au regard d’une efficacité tout à fait incertaine conduisent la Ligue des Droits de l’Homme (LDH) à vous demander instamment de vous opposer au projet StopCovid.

Vous comprendrez que cette démarche soit rendue publique.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le député, l’expression de mes salutations laïques et républicaines. 

B.Sarlandie

 

 

 


 

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Conseil scientifique ?

27 Avril 2020, 11:20am

Publié par Bernardoc

On voit régulièrement s'exprimer le président de ce conseil dont on ignore la composition. Je suppose qu'en font partie Mesdames Buzyn (qui n'a plus rien d'autre à faire en ce moment, à moins qu'elle soit retournée à l'hôpital) et N'Diaye dont les conseils avisés nous sont indispensables pour continuer à supporter notre confinement.

Le gouvernement s'appuie sur les avis de ce conseil pour prendre les décisions démocratiques contrôlées par le parlement...Ah bon, j'ai dit une connerie ?

Une des décisions fut de maintenir le premier tour des élections municipales. Nous nous sommes abstenus, étant personnes à risque puisque vieux pour l'un et malade pour l'autre. Ce n'était pas un boycott mais une décision sanitaire qui aurait évité, si tout le monde l'avait suivie, un certain nombre de contaminations parfois fatales chez les citoyens qui ont fréquenté ces lieux confinés. Notre décision était la bonne puisque le gouvernement a décidé de reporter le deuxième tour, voire réorganiser le premier, aux calendes grecques.

Le conseil scientifique proposait de ne pas reprendre l'école avant l'été. Mais le gouvernement (poussé par le Medef ? ) a jugé qu'il était important que les parents puissent être libérés pour retourner au boulot (dans quelles conditions?) et donc que l'école devrait impérativement rouvrir. Des parents d'élèves, responsables, n'enverront pas leurs enfants au contact du virus. Des collègues enseignants refuseront de reprendre si un minimum de précautions sanitaires ne sont pas prises. Il faudra qu'ils apprennent le geste technique de pose de masque avant de pouvoir quitter les champs de fraises où ils se trouvaient depuis des semaines. Sinon, ils exerceront leur droit de retrait, notamment en l'absence de tests.

Le conseil scientifique a donc battu en retraite ; s'il avait un peu de dignité, il devrait démissionner en bloc et laisser le gouvernement continuer de dire et faire ce qu'il fait depuis le début, c'est à dire n'importe quoi.

Et ce n'est pas fini...

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Sud-Ouest Parano.

26 Avril 2020, 14:26pm

Publié par Bernardoc

Encore un roman « rouge nuit » publié en 2006 chez Peine page éditeur. L'auteur en est Didier HARRIBEY.

Le polar, qui s'étale du 12 au 23 mai d'une année indéterminée, se présente à la façon d'un menu, en commençant par « La mise en bouche », puis « Le hors d'oeuvre » et ainsi de suite jusqu'à « La cerise sur le gâteau ». Le lieu est définitivement le Sud-Ouest stylisé : on y parle de Craignosse dans le département des Glandes, des Pantoufles maritimes,...Et l'auteur a débordé d'imagination calembouresque pour trouver les noms de ses personnages : Kelly DIAULT, Aubin MERDALORS, Lenny de Pool,...pour vous en donner un aperçu.

Sinon, c'est encore l'histoire d'un détective privé, embauché pour mener une enquête et qui va déraper sur une tout autre histoire, qu'il résoudra en s'alliant avec la police officielle.

On rigole bien tout au long de l'histoire avec un nombre de meurtres conséquent et qui va bien (?) se terminer grâce à l'aide de la foudre et d'un autocar.

Bon bouquin de confinement !

Et ce n'est pas fini...

 

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Toulon-sur-Seyne.

25 Avril 2020, 11:50am

Publié par Bernardoc

Retour sur la côte méditerranéenne, mais pas encore sur la Côte d'Azur qui commence, comme chacun le sait bien avec le tombolo est qui joint le continent à la presqu'île de Giens (ouais, bon, ça va, je suis un peu chauvin). L'auteur, Eric DUMONT, est un officier de marine formé à Santé navale à Bordeaux, école qui a fermé ses portes il y a déjà quelques années.

Toulon, qui rivalise avec Brest comme premier port militaire de France, est donc bien connu de l'auteur, et rien d'étonnant que l'intrigue implique plusieurs acteurs de « la Royale », mais pas que. La sûreté urbaine y tient aussi une grande part, car la drogue, et tout ce qui tourne autour, est aussi le sujet central de ce bouquin paru en 2006.

C'est un polar réussi dans la mesure ou à la fin du premier quart du livre je pensais avoir tout élucidé, alors que tout se dévoile dans les dix dernières pages. Bravo à l'auteur qui m'a bien eu !

Pour les amateurs, il y a suffisamment de morts violentes. Allez, pour vous mettre l'eau à la bouche, la première c'est par crémation dans le coffre d'une voiture. Elles seront toutes différentes. A vous de les découvrir !

Et ce n'est pas fini...

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A marée basse.

24 Avril 2020, 10:48am

Publié par Bernardoc

C'est en 2008 que Sophie BOIZARD nous a livré son premier roman publié dans la collection « Rouge nuit », comme Bordeaux blues de Cétois (je ne me souviens pas si j'en avais parlé il y a plusieurs années) et Sud-Ouest Parano dont je parlerai dans les jours à venir.

Curieux et intéressant roman écrit à la première personne, donc avec un seul point de vue et qui se déroule de façon linéaire. Rien à priori ne laisse présager que le héros va se laisser entraîner malgré lui dans une intrigue qu'il était loin d'imaginer. Tout cela à partir d'une statuette trouvée dans le sable d'une plage.

Peu de caractères dans ce roman, certains ne faisant qu'une rapide apparition mais dont quelques traits suffisent à le camper. Cela dure pendant 75 pages.

Puis, c'est une deuxième partie, d'une vingtaine de pages, toujours à la première personne, mais c'est un autre personnage qui parle...

Vous n'imaginez pas que je vais vous en dire plus ? Il s'agit d'un polar, donc inutile de divulgâcher !

Et ce n'est pas fini...

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Venin, place du Maucaillou.

23 Avril 2020, 11:14am

Publié par Bernardoc

Après Nice, nous voici à Bordeaux, quartier St Michel, entre la basilique et les Capus. La place du Maucaillou m'a été très familière pendant mes six derniers mois de prof au LP des Menuts, qui se trouvait à l'époque dans la rue du même nom, voisine de la place. C'est un livre que j'ai acquis pour 1 € lors d'un désherbage de la BDP (Bibliothèque départementale de Prêt). Publié en 2004 chez Autrement, dans la collection « Noir urbain », la particularité est que chaque livre de cette collection rassemble pour une fiction un lieu, un auteur et un(e) photographe.

L'histoire commence dans un appartement avec une mourante dans la chambre et son compagnon hébété dans la pièce d'à côté. Et tout au long des cent pages, ce sera une étude psychologique alternant interrogatoires policiers et flashbacks afin de déterminer comment l'assassin a pu en arriver là. Pas de suspens donc, mais une réflexion sociale bien ancrée dans le quartier.

A lire pour retrouver l'ambiance du quartier, mais l'étude des personnages contentera bien ceux qui ne sont pas bordelais.

Ah oui, l'auteur est Eric TARRADE qui écrit des polars depuis une vingtaine d'années.

Et ce n'est pas fini...

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Crim' sur la Prom'.

22 Avril 2020, 11:36am

Publié par Bernardoc

« La Prom' », c'est la Promenade des Anglais, à Nice, que j'ai parcourue à pied, en stop ou en Solex lorsque j'étais étudiant et résident à la Lanterne, la cité U à l'ouest de Nice qui venait d'ouvrir. C'est donc le titre qui m'a attiré et non l'auteur, Bernard DELOUPY, dont je n'avais jamais entendu parler. Internet me dit qu'il est rédac-chef du Fig-mag PACA et de l'Express-Méditerranée ; ceci explique vraisemblablement mon ignorance. Mais comme je l'ai dit dans un billet précédent, c'est le lieu qui m'attirait, et l'auteur, Niçois d'adoption le connaît bien. Même si cela avait changé en 40 ans (le livre a été publié en 2007), j'ai bien ressenti l'ambiance que j'avais connue.

Mais le polar, me direz-vous ? Dès le début, on sait que cela ne va pas se limiter aux Alpes maritimes, ni même à la région PACA. En effet la (première) victime, sur la Prom' donc, est un milliardaire russe. Nous abordons bien vite une piste écologique, en fait un scandale international qui tourne autour du retraitement des déchets nucléaires. Toute l'histoire est bien cadrée et se déroule entre le 5 juillet, 22h55 et le 18 juillet, 19h42. C'est un maelstrom entre le héros, Garri CASIGLIA, un détective privé, la police officielle, différents services ministériels, des militants écologistes et bien entendu différentes mafias à l'affût du gain.

Un lexique de deux pages à la fin apporte des explications quant aux différents sigles utilisés et une traduction pour ceux qui auraient du mal avec le provençal niçois, dont certaines expressions émaillent le roman.

Je ne suis pas sûr d'avoir compris tous les différents enjeux mis en scène, le livre étant bien touffu, mais c'est sans doute la vraie vie que l'auteur semble bien connaître. J'ai quand même passé un bon moment de confinement.

Et ce n'est pas fini...

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Anniversaire.

21 Avril 2020, 11:23am

Publié par Bernardoc

Le rangement durant le confinement permet de faire ressurgir des souvenirs.

Ainsi, il y a dix ans jour pour jour, paraissait le dernier numéro de SINE HEBDO, avec une couverture assez saisissante.

Saisissante, voire ? Si l'on en croit certains commentateurs bien en cours, ce serait une solution qui ne leur déplairait pas. Jugez plutôt.

Heureusement, tel le phénix, la publication s'est relevée sous un autre format : SINE MENSUEL.

Et ce n'est pas fini...

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