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Le blog de Bernard SARLANDIE

Une solution ?

28 Février 2021, 14:14pm

Publié par Bernardoc

« Un an avant la présidentielle, un nombre grandissant d’électeurs de gauche l’affirment : même au second tour, ils n’iront pas voter pour le chef de l’Etat, de plus en plus ancré à droite. » In Alerte Libé le 27 février 2021

Ce qui est surprenant, c'est que des électeurs qui se disent « de gauche » remarquent maintenant que le chef de l'Etat est « de plus en plus ancré à droite ». Mais ils ne s'intéressaient pas à la politique avant ? Ils n'avaient pas remarqué qu'il avait été ministre de Hollande sous le gouvernement Valls ? La politique qu'ils menaient était-elle une politique de gauche ? Pour moi, clairement, c'était non !

Alors quelle solution ? Si Macron se représente et arrive au second tour, c'est l'autre qui passera. On ne peut guère s'attendre à ce qu'elle abroge la loi « Sécurité globale » ou qu'elle fasse passer le Smic à 1 800 €.

Deux possibilités : soit le sortant prend la même décision que son prédécesseur (qui l'a mis en selle, rappelons-le encore), soit un candidat de gauche arrive au second tour. Mais lequel ou laquelle, il y a pléthore : Fabien ROUSSEL ? Jean-Luc MELENCHON ? Yannick JADOT ? Anne HIDALGO ? Nathalie ARTHAUD ? Arnaud MONTEBOURG ? Vu le nombre, sans aucun doute, la gauche a envie de gagner ! Alors, préparez vos mouchoirs.

Et ce n'est pas fini...

 

 

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Rien n'arrêtera la connerie !

27 Février 2021, 10:26am

Publié par Bernardoc

Cette image, qui se veut politiquement correcte et inclusive, montre que le syndicat dans lequel j'ai milité jadis est tombé bien bas dans sa connaissance à la fois physiologique et grammaticale. Eh bien non, moi Bernard, je ne réclame pas de protections périodiques, je laisse cela à l'autre moitié de l'humanité.

Et ce n'est pas fini...

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Train de nuit

26 Février 2021, 10:58am

Publié par Bernardoc

Jean-Baptiste Le Roux - publié le 25/02/2021 in radins.com

La SNCF relance le mythique train de nuit Paris-Nice. Les billets ont été mis en vente par la compagnie ferroviaire, pour une période allant des vacances d’avril à début mai.

Vous êtes prêts à voyager sur une ligne ferroviaire historique française, le tout à petit prix ? Vous allez adorer le retour du Paris-Nice. La SNCF a décidé de relancer cette ligne mythique du réseau ferroviaire français. La ligne sera réamorcée à partir du 16 avril prochain. La compagnie ferroviaire a mis en vente les billets. Et ils risquent de se vendre plutôt bien, ce qui ne fera pas de mal à la santé financière de la SNCF.

Les billets mis en vente portent sur la période allant du début des vacances d’avril au début du mois de mai. Les prix vont de 19 à 39 €. Vous ne rêvez pas ! On n’a pas vu de prix aussi bas à la SNCF depuis un moment. Mais cela s’explique par une raison principale : il s’agit d’un train de nuit. Le train partira tous les jours de la gare d’Austerlitz à 20h52 pour une arrivée à 09h06 à Nice. Dans l’autre sens, le départ se fera à 19h16 pour une arrivée à 06h55.

Le train desservira plusieurs gares tout au long de la nuit : Marseille Blancarde, Toulon, les Arcs, Saint-Raphaël, Cannes, Antibes et enfin Nice. Côté couchette, il faudra composer avec un siège incliné si vous optez pour le billet à 19 €, une couchette de seconde classe pour un billet à 29 € et une couchette de première classe pour celui à 39 €.

Pour rappel, la liaison de nuit Paris-Nice avait été supprimée en décembre 2017. Elle a été relancée avec l’aide du gouvernement, dans le cadre du plan de relance. Un autre train de nuit, le Paris-Tarbes, doit également être remis en route d’ici la fin de l’année. Quelque 100 millions d’euros ont été consacrés par les pouvoirs publics à la réfection des rames en question.

Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il s'agit d'un train mythique (rien à voir avec le Trans-Europe Express par exemple), mais c'est le train qui occasionna un des changements de ma vie : quitter Paris pour le Var, c'était autre chose que le train pour aller jusqu'à Limoges et la micheline jusqu'à St Yrieix. Il me semble qu'à l'époque nous étions partis de la gare de Lyon et le débarquement à Toulon, la balade sur le marché du cours Lafayette (« Goûtez le poisson, le monde ! »), une nouvelle vie commençait vraiment pour moi. Maintenant reste à remettre en route le Bordeaux-Nice de nuit qui était aussi bien utile.

Et ce n'est pas fini...

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Ce fut un des fleurons du service public.

25 Février 2021, 18:14pm

Publié par Bernardoc

Extrait d'un entretien avec Nicolas JOUNIN (sociologue, auteur d'un livre « Le Caché de la Poste »)dans Libération du 24 février 2021
«Définir la tournée d’un facteur par des algorithmes est un moyen brutal de couper à toute discussion»

Trois heures, quarante-trois minutes et cinquante-neuf secondes, c’est la durée d’une tournée de facteur, calculée par un logiciel.

Tous les deux ans, on vise à une hausse de la productivité. Ce qui se traduit à chaque fois par une augmentation de la charge de travail et par une diminution des effectifs. Des tournées sont supprimées pour être réparties sur les tournées restantes. Il arrive aussi qu’on fragmente le travail. Alors que traditionnellement, un facteur fait d’abord, au bureau de poste, le tri du courrier qu’il doit distribuer avant de partir en tournée, de plus en plus de réorganisations divisent le travail, certains postiers ne font plus que du tri et d’autres que de la distribution, c’est une perte d’autonomie et de responsabilité dans son travail. Avant, il pouvait y avoir une transmission d’expérience entre deux collègues qui se succédaient sur une même tournée. Aujourd’hui, c’est plus difficile car les tournées sont plus fréquemment renouvelées. On ne peut ni mémoriser pour le long terme ni transmettre.

 

C'est sans doute une explication au fait que le facteur préfère laisser un avis de passage dans ma boîte aux lettres plutôt que de sonner à ma porte.

Et ce n'est pas fini...

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Un vaccin disponible pour toutes et tous le plus tôt possible

24 Février 2021, 10:24am

Publié par Bernardoc

Dans le contexte particulièrement anxiogène généré par la pandémie, la découverte et la production de vaccins, surs et efficaces, contre la Covid 19 sont vécues comme le seul espoir de voir la situation s’améliorer. Au-delà des débats sur la nature et l’efficacité de chacun des vaccins, c’est la campagne de vaccination qui nous inquiète gravement. Il semble que la stratégie de « vaccination progressive » annoncée par le gouvernement, masque une situation dramatique de pénurie d’approvisionnement des vaccins. Nos organisations nous rapportent en effet les difficultés rencontrées par les salariés assurant des missions essentielles de service public et les retraité·e·s âgés de plus de 75 ans qui le souhaitent, pour obtenir des rendez-vous et à fortiori pour se faire vacciner.

¥ Il est de la responsabilité du gouvernement de créer les conditions d’un approvisionnement suffisant en vaccins pour l’ensemble de la population.

¥ Il nous paraît également indispensable de multiplier les centres de vaccination et de les doter de personnels qualifiés suffisants afin que l’accès soit possible pour les personnes âgées isolées et éloignées des lieux de vaccination. Face à une épidémie mondiale qui ne pourra être surmontée que si l’ensemble des pays bénéficient de la vaccination, il apparaît que les pays les plus riches ont préempté 90 % de la production des vaccins agréés de l’année 2021.

¥ Le gouvernement doit agir afin que les brevets attachés aux vaccins contre la Covid 19 soient considérés comme des biens publics internationaux afin qu’ils puissent être produits en France et dans tous les pays où cela est possible et répartis équitablement. Par ailleurs, il n’est pas acceptable qu’une société comme Sanofi, qui a largement bénéficié de subventions de l’État pour développer la recherche et vu ses profits augmentés de 340 % en 2020, annonce en pleine pandémie la suppression de 1700 emplois, dont 400 de chercheurs. Et ce, après avoir reçu la visite et les félicitations du président de la République et distribué généreusement des dividendes à ses actionnaires. ¥ Le gouvernement doit intervenir pour préserver le potentiel de recherche de cette société en l’obligeant à revenir sur cette décision.

¥ Nous demandons qu'un Pôle public du médicament soit mis en place. Dans cette situation de pénurie les différentes générations sont mises en concurrence et les retraité·e·s sommés de renoncer à leur espérance de vie. C’est inacceptable, insoutenable moralement et dangereux pour la cohésion sociale. Pour éviter cette perspective dramatique, la pénurie de vaccins et les dysfonctionnements de l’organisation des campagnes de vaccination doivent être surmontés au plus vite.

Signé à Montreuil, le 16 février 2021 par les 9 organisations de retraités

Et ce n'est pas fini...

 

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Pour ne pas oublier...

23 Février 2021, 11:35am

Publié par Bernardoc

Comme je n'ai pu aller à Pont Lasveyras la semaine dernière, quelques documents qui rappellent la Résistance dans le nord-Dordogne.

 

Et ce n'est pas fini...

Pour ne pas oublier...Pour ne pas oublier...Pour ne pas oublier...

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Je suis un « racisé » blanc.

22 Février 2021, 09:47am

Publié par Bernardoc

Si j'avais imaginé qu'un jour je sois obligé de me définir ainsi !...Je n'en tire ni gloire ni fierté. Je n'ai jamais fait d'analyse ADN pour savoir quelle était la part africaine dans mes gènes, mais je suis sûr qu'elle existe. Eh oui, j'ai du sang noir (rouge ?) dans mes veines, tout ça autour de mes os blancs (on ne nous a pas proposé d'autre couleur encore pour notre squelette).

Occitan, je me suis élevé entre Barbès et Château-rouge, quartier cosmopolite s'il en est. Et à l'époque il n'était pas question de participer à des réunions « racialisées ». Je me souviens d'avoir été invité chez un copain qui avait la télé pour assister à un match Sochaux-Le Havre (je crois que c'était une finale de coupe de France), et nous étions là, joyeusement mélangés, juifs, musulmans, baptisés-athées,...sans aucune discrimination et sans aucun problème.

J'ai toujours fait abstraction de la couleur de peau ou de l'origine, et c'est ainsi que nos enfants ont été élevés : notre fille aînée nous montrait un de ses copains de maternelle en le qualifiant par la couleur de ses chaussettes, pas de sa peau.

Je me souviens une fois avoir dit à un élève soupçonné de racket, que si l'accusation se révélait fausse, il serait blanchi. Je me suis rendu compte après qu'il était noir ; mais comme il maîtrisait la langue française il n'y a rien vu de sous-entendu.

En revanche j'ai dû défendre une élève qui portait un prénom arabe et à qui des élèves musulmans voulaient interdire de manger ce qu'elle souhaitait.

Même si cela fait vieux jeu, je crois encore à la lutte des classes et je me souviens de ce slogan du siècle dernier : « Travailleurs français, immigrés, même patron, même combat ». Eh oui, un syndicat c'est ça aussi et organiser des stages dans lesquels une partie des syndiqué(e)s n'est pas admise, soit à cause de son genre, soit à cause de son aspect physique, est une aberration qui, n'en doutons pas, réjouit le patronat : « tant que les syndicats s'occupent de créer du racisme au sein de la classe ouvrière, on a de beaux jours devant nous pour continuer à les exploiter.»

Et ce n'est pas fini...

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Syndicalisme étudiant.

21 Février 2021, 10:07am

Publié par Bernardoc

Lorsque j'étais étudiant (vers la fin des années '60), l'Unef n'était déjà plus le seul syndicat, elle était concurrencée par la Fnef (droite), mais elle était encore majoritaire, ce qui n'est plus le cas. D'aucuns ont déploré qu'elle se fasse représenter par des étudiantes mettant en avant leurs convictions religieuses de façon ostentatoire. Les cathos du PSU étaient moins tapageurs à l'époque. Maintenant c'est la Fage qui est le syndicat majoritaire et qui, vu de l'extérieur, me paraît faire son boulot corporatiste. Quant à l'Unef, son avenir est aussi brillant que le fut celui de la Mnef.

Il y a environ deux ans, j'allais à une réunion à la Bourse du Travail et le hall était occupé par le congrès fondateur d'un nouveau syndicat, la Fédération Syndicale Etudiante. Je pensais qu'il s'agissait d'une scission de gauche d'anciens militants de l'Unef, lassés de ses compro/soumissions. Si l'on peut regretter l'émiettement syndical, si dommageable, faire revenir un syndicat de gauche au sein de l'université pouvait cependant être acceptable. Il aurait pu être universaliste et laisser de côté décolonialisme et fantasmes « racisés ». Or je viens de voir la composition du bureau élu (?) le mois dernier. Apparemment la secrétaire générale n'hésite pas à twitter ce genre de messages : « Je m'en fiche de notre Dame de Paris car je m'en fiche de l'histoire de France » ou bien « On devrait gazer tous les blancs cette sous race ». Une autre membre du bureau (avec deux membres masculins sur sept) est chargée des « oppressions systémiques ».

C'est bien que la CGT ait proposé son accueil à des étudiants, mais dommage qu'il en soit sorti des responsables avec lesquels il me semble que nous avons quand même nous, de la grande maison, quelques différences.

Si Campus Vox, média de la « conservatosphère » (donc pas encore de la fachosphère?) ment, je suis prêt à retirer ce billet.

Et ce n'est pas fini...

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Ma lycéenne.

20 Février 2021, 13:48pm

Publié par Bernardoc

Rien qu'un dimanche au bout d'la semaine
Et de l'encre bleue plein les mains
Et des récréations qui traînent
Au milieu des journées sans fin
Parfois tu m'écris une lettre
Où tu ne signes que d'un point
Ça met du soleil à ma fenêtre
Mais pour toi ça ne résout rien

Refrain
Je te réponds ma lycéenne
Moi qui ne suis plus lycéen
Tu veux quelqu'un qui te comprenne
Je te comprends j'essaie au moins


Derrière un maquillage timide
Un peu de noir autour des yeux
Vient se cacher la peur du vide
Tu penses " nous " mais tu dis " je "

Bien sûr tes parents tu les aimes
Mais tu dis qu'ils n'comprennent rien
Ce n'est pas l'avenir qui t'entraîne
Mais c'est l'ennui qui te retient


 

Refrain


Même si ta vie commence à peine
T'as déjà plus envie de rien
Et ce frisson que tu étrennes
N'est qu'une larme sans chagrin
Ta chambre est une grande scène

Mais les héros sont en photo
Et la voix qui te dit " je t'aime "
N'est qu'une chanson à la radio


 

Refrain


Dans tous les disques et tous les livres
Qui sont le décor de tes nuits
Tu cherches une raison de vivre
Comme un écho à ton ennui
Je n'ai de toi que quelques lignes
Quelques mots écrits à la main
Mais à mon tour je te fais signe
Même si tu m'oublies demain

Refrain

Le temps qui passe me fait de la peine
Et il nous sépare déjà
Mais tes angoisses et puis les miennes

Viennent à se ressembler parfois


Je te réponds ma lycéenne
J'aimerais être lycéen
J'attends quelqu'un qui me comprenne
Si c'était toi ce serait bien

Philippe CHATEL 1978

Et ce n'est pas fini...

 

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La Sécurité sociale au Panthéon

19 Février 2021, 18:52pm

Publié par Bernardoc

Parce que la Sécurité sociale est un bien commun qui nous accompagne tout au long de notre vie, une pétition demande que son bâtisseur, Ambroise Croizat, entre au Panthéon. Un symbole face aux attaques qu'elle subit. Un point d'appui pour la développer et la renforcer afin de répondre aux enjeux économiques et sociaux du XXIe siècle.

Le 17 février 1951, plus d’un million de Français défilaient, sous la pluie, dans les rues de Paris, derrière le cortège funéraire d’Ambroise Croizat. Ministre du Travail et de la Sécurité sociale à la Libération, « il a fait plus en deux ans pour les travailleurs que les autres en cinquante ans » témoignait un anonyme lors de cet hommage populaire. Soixante-dix ans après, une large majorité de citoyens ignore qui se cache sous les quelques plaques de rue qui honorent ce patronyme.

Ouvrier métallurgiste à 13 ans, il adhère très vite à la CGT et sera de toutes les luttes pour les droits sociaux de la première moitié du XXe siècle. Secrétaire de la fédération CGT des métaux et député, Croizat est nommé ministre du Travail et de la Sécurité sociale à la Libération. Il donne très vite le sens de son combat en imposant une multitude de réformes progressistes.

Au cours des dix-huit mois de son mandat, il va mettre en place l’attribution, pour la première fois au monde, d’une prime prénatale, instaurer la médecine du travail, soutenir les centres d’apprentissage, généraliser les retraites, créer les comités d’entreprises… La liste est longue !

La mise en place de la Sécurité sociale symbolise la portée novatrice de l’œuvre sociale de Croizat.

Il se battra avec acharnement pour la concrétiser. Ainsi, il imposera la cotisation sociale comme moyen de financement et organisera sa gestion par les travailleurs eux-mêmes.

Il mobilisera le corps militant de la CGT pour créer les structures nécessaires pour en faire bénéficier la population au plus vite. Ces avancées sociales, arrachées en faveur d’un rapport de forces favorable aux travailleurs et à leur famille, n’ont jamais été acceptées par le patronat et les libéraux.

La mise à l’écart du ministre des Travailleurs dans le récit national tient avant tout à la portée de son action

Depuis soixante-quinze ans, le patronat, revanchard, organise méticuleusement son détricotage en s’attaquant principalement à son financement et à son mode de gestion. Ce travail de sape a été favorisé par une législation qui a répondu aux sirènes patronales.

Mais même fragilisé, le système de protection social français a su montrer sa pertinence dans le contexte de la crise sanitaire de la Covid, comme lors de la crise financière de 2008.

Considérant que la « Sécurité sociale fait partie du patrimoine vivant de tous les Français » et « est un pilier indispensable à notre République sociale », élus, syndicalistes et intellectuels ont interpellé le président de la République afin qu’Ambroise Croizat entre au Panthéon.

L’objectif de cette démarche, qui s'accompagne d'une pétition, n’est pas de réparer une injustice.

Par ce geste symbolique, il s’agit d’« entretenir et développer » ce bien commun qu’est le système français de protection sociale.

Quand je fais visiter la Bourse du Travail de Bordeaux dont la salle principale (à l'époque la plus grande salle de spectacles de la ville) porte son nom, tous les visiteurs (groupes de lycéens, d'étudiants, visites lors des JEP) savent très bien qui fut Ambroise CROIZAT et quelle fut son œuvre.

Et ce n'est pas fini...

 

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