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Le blog de Bernard SARLANDIE

Il fait chaud !

30 Juin 2019, 12:56pm

Publié par Bernardoc

« Pour survivre au réchauffement climatique, les grandes villes vont devoir s'adapter »

Titre trouvé sur l'infolettre de Marianne.

N'en voilà une trouvaille ! Dès l'école primaire on m'avait parlé de la fonction chlorophyllienne. Voici ce que cela signifie : les forêts rééquilibrent le milieu en oxygène (un hectare de futaies fixe chaque année 6 à 10 tonnes de carbone et libère dans le même temps 12 à 20 tonnes d’oxygène).

Or, à quoi assistons-nous depuis des décennies ? A une déforestation massive, ce qui, non seulement est une atteinte à notre atmosphère, mais également à la vie sauvage dont le milieu disparaît, ce qui conduit à brève échéance à la disparition de dizaines (centaines?) d'animaux.

On célèbre en ce moment les 50 ans de l'arrivée de Pompidou, dont il est bon quand même de se souvenir qu'il a oeuvré pour aménager Paris vers le tout-voiture. Et on voit les protestations réactionnaires de tous bords quand la municipalité actuelle essaie de transformer cela et de rendre Paris aux piétons et aux modes de déplacement doux.

La plupart des lignes de tramway se trouvent au milieu de pelouses plantées lors de la construction ; cela suffit-il pour que ces voies soient appelées « espaces verts » ? Heureusement des arbres ont été aussi plantés le long des voies.

Lorsque nous sommes arrivés au Haillan il y a 13 ans, on parlait d' « une ville à la campagne », avec 1/3 consacré à l'habitat, 1/3 consacré aux activités économiques et 1/3 aux espaces verts : joli portrait. Mais depuis cette date, j'en ai vu disparaître des arbres, des champs. Je me demande où on en est dans la répartition maintenant. Bien sûr, il faut loger les habitants de la métropole, bien sûr nous nous sommes opposés à la construction de bâtiments de plus de deux étages, bien sûr nous avons créé le magnifique parc du ruisseau, mais maintenant que notre population a augmenté d'environ 50%, ne serait-il pas temps de maintenir les espaces verts qui restent ? Je me souviens d'avoir vu traverser dans le quartier du bicentenaire, il y a quelques années, un troupeau de moutons entre deux pâturages : image bucolique qui m'avait émerveillé. Ce ne serait plus possible maintenant : le chemin n'existe plus. Je me demande s'il reste des moutons au Haillan où s'ils ont fait comme les vaches que j'avais connu à La Buttinière lorsque nous sommes arrivés sur la CUB il y a...bien longtemps !

Et ce n'est pas fini...

 

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Grèves dans l'E.N.

29 Juin 2019, 21:54pm

Publié par Bernardoc

Article tiré du site Questions de classe(s) du 25 juin 2019

L’appel à la grève des examens lancé à partir du lundi 17 juin par une grande partie des syndicats, des organisations lycéennes et différents collectifs enseignants est l’occasion d’un petit retour historique. De 1905 à 2019, en passant par 1927 et 2003, rappel des faits et réflexion sur le sens de la grève des enseignant.es et sur leur fonction sociale...

Aux origines du syndicalisme enseignant

Au début du xxe siècle, rompant avec les Amicales, les premiers syndicalistes enseignant se revendiquent du syndicalisme révolutionnaire et de l’action directe. Pourtant, ils ne comptent pas utiliser la grève comme moyen d’action (1)...
Deux raisons expliquent ce rejet. La première concerne son efficacité dans le système scolaire : les enseignant.es ne « produisant rien » leur mouvement ne saurait paralyser le pays, selon l’idéal de la grève générale :

« La grève des instituteurs est un moyen si faible de pression sur les pouvoirs publics que rien n’en justifierait l’emploi. Est-ce que les classes ne sont pas fermées deux mois chaque année ? La vie nationale n’en est même pas suspendue. » (article du dirigeant syndical Émile Glay, 10 décembre 1905).

La seconde insiste sur le fait que, en cas de grève générale, le rôle des instituteurs et des institutrices est d’être fidèle à leur poste, en classe, auprès des enfants des insurgé.es, pour éviter au plus jeunes de jouer les gavroches sur les barricades mais aussi pour préparer, en classe, la société de demain qui naîtra de la grève générale expropriatrice (voir le chapitre consacré à l’école par Émile Pouget et Émile Pataud dans leur roman « d’anticipation syndicale » Comment nous ferons la révolution).

« En cas de grève générale, nous estimons que le plus grand service que nous puissions rendre à la classe ouvrière ne serait pas de descendre manifester dans la rue. La place des enfants n’est pas au milieu des mouvements ouvriers : ils constituent un danger pour les uns et pour les autres. Dans une période agitée comme celle-là, notre devoir impérieux serait d’être à notre poste, gardant les enfants pour les soustraire aux dangers de la rue. »
Manifeste du syndicat du Morbihan, en 1907.

1920 - Premier recours à la grève

Le premier fait avéré de grève dans l’EN date de 1920 et ne concerne pas directement les questions scolaires puisqu’il s’inscrit dans un cadre interprofessionnel et politique (pour la « socialisation des moyens de production et d’échanges, le respect de la journée de 8 heures, l’amnistie générale des soldats et détenus politiques et la paix avec la Russie »). Le Conseil fédéral de la CGT invite les instituteurs et institutrices à participer à la grève générale du 1er mai… Face à l’afflux des protestations émanant des AG syndicales, l’appel à la grève est annulé. Seul le syndicat des Bouches-du-Rhône maintient sa consigne de cessation du travail qui est suivie par deux cents instituteurs marseillais. Les grévistes payent un lourd tribu...

1927 - la grève des examens

En 1927, dans le 2nd degré, est organisée la première « grève du bac » : « des professeurs de lycées refusent en juin 1927 de participer aux jurys du baccalauréat (ce qui, à l’époque, était facultatif). . Ce mouvement a contribué à démontrer l’importance sociale des professeurs de l’enseignement secondaire, puisqu’à l’époque, le baccalauréat constituait une “porte d’entrée dans la bourgeoisieˮ » (2)… Mais, à l’époque, enseignant.es du primaire et enseignant.es du secondaire appartiennent à deux mondes totalement différent...

Inspirée probablement par cette action, la Fédération unitaire (CGT-U), qui regroupe les enseignant.es du 1er degré, lance un mot d’ordre d’abstention aux commissions d’examens… Soutenu du bout de lèvre par la CGT réformiste (le SN) qui, à quelques jours de l’échéance suspend son appel, ce mouvement de protestation contre la baisse des salaires des fonctionnaires échoue. Finalement, l’action se limite à un appel à l’abstention aux conférences pédagogiques du mois d’octobre – une grève « à rebours » puisque les instituteurs seront invités ce jour-là à faire classe comme d’habitude.
1933 - 30 minutes de grève...

Novembre 1932, dans un contexte de rigueur budgétaire (crise de 1929) un décret-loi annonce que les instituteurs et les institutrices ne font plus partie du cadre des fonctionnaires actifs et ne peuvent donc plus prendre leur retraite à 55 ans. Les salaires sont autoritairement baissés. Le 20 février 1933 a lieu la première grève enseignante : l’arrêt de travail prend la forme d’une rentrée retardée d’une demi-heure l’après-midi. Psychologiquement, pour la profession, c’est une victoire… revendicativement, un échec !

1965, 1968, 2003… Le tabou de la grève des examens

Après guerre, depuis que le droit de grève est reconnu aux fonctionnaires (3), la puissante Fédération de l’Éducation nationale (FEN) cadre les mobilisations qui se limitent à des journées d’action de 24 heures (avec quelques exceptions, comme la grève parisienne de 1947). Même si, lors du congrès du SNES d’avril 1965, une consultation individuelle des adhérents est organisée sur la poursuite de l’action en cours (à savoir une « grève administrative » contre la mise en place du système des filières ABCDEFG voulue par le ministre de l’Éducation nationale Christian Fouchet). Le mouvement avorte (4)... l’idée est abandonnée. Le mouvement de 68 ne débouche pas, lui non plus, sur une grève du bac, même si celui-ci est particulièrement désorganisé.

En juin 2003, alors que des AG de grévistes se réunissent quotidiennement depuis des semaines, voire des mois, la question de la grève le jour du bac est tabou. Dans ce mouvement contre la réforme des retraites mais aussi contre la décentralisation de l’Éducation nationale, les personnels enseignants sont en pointe et très fortement mobilisés. Mais l’idée de perturber les épreuves du bac est rejetée par une grande majorité des grévistes. Rares sont les villes, comme à Perpignan, où des actions sont conduites pour empêcher la tenue des examens…
Dès lors, l’échec du mouvement de 2003, pour les militant.es les plus radicalisés, sera régulièrement imputé à ce refus d’aller jusqu’au bout . Analyse qui ne fait pas non plus l’unanimité. Par exemple pour Gérard Aschieri, alors secrétaire national de la FSU,

« Une telle décision [la grève du bac] était en rupture avec la culture professionnelle des enseignants qui s’étaient exprimée dans la grève elle-même. » « La grève de 2003, leçon d’un traumatisme », La grève enseignante en quête d’efficacité

17 juin 2019 – Un tournant ?

L’ambiance est toute autre en 2019. Sans présager du succès de la mobilisation le 1er jour des épreuves du bac, force est de constater que les plus engagé.es portent de manière radicale et sans état d’âme l’idée que la grève des examens est l’ultime arme qui pourra faire plier le gouvernement. Un tournant dans la représentation (consciente ou inconsciente) que la profession se fait de son rôle d’agent de tri social.

Grégory CHAMBAT, collectif Questions de classe(s)

Et ce n'est pas fini...

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Macron peut dormir tranquille.

28 Juin 2019, 09:29am

Publié par Bernardoc

J'avais un peu plus haut mentionné l'appel de neuf organisations de retraités (CGT, FO, CFTC, CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR et Ensemble) à un rassemblement devant le conseil départemental hier matin. Nous étions bien une bonne douzaine représentant CGT, FGR et LSR. Bon d'accord, c'était la canicule, mais à 11 heures la chaleur était encore supportable.

Heureusement (?!) il y avait au même endroit, au même moment, un rassemblement des auxiliaires de vie et aides à la personne à domicile qui étaient venus réclamer des moyens, scandant bien qu'eux n'étaient pas des bénévoles (contrairement à nous les retraités).

Nous avons donc formé un petit cortège sur la dalle de Mériadeck jusqu'à la Tour Solidarité où une délégation a été reçue.

Rendez-vous à la rentrée maintenant.

Et ce n'est pas fini...

Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.
Macron peut dormir tranquille.

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C'est demain !

27 Juin 2019, 08:55am

Publié par Bernardoc

N'hésitez pas à partager...et venez nombreux !

Et ce n'est pas fini...

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Les révélations d’un technicien Linky

26 Juin 2019, 10:50am

Publié par Bernardoc

C'est un vieil article (Publié le Jeudi 04 Octobre 2018 : 11h54 sur planet.fr) mais restons toujours vigilants.

Pression, coups de téléphones incessants, quotas à respecter... Votre compteur Linky est probablement mal posé, compte tenu des consignes reçues par les techniciens qui l'ont installé. C'est ce qu'explique Thierry, électricien de 53 ans qui a été embauché en 2016 par Energy Dynamics, un prestataire privé, pour poser des compteurs Linky dans les foyers d’Aix-en-Provence. Au pure player Reporterre, il dit ne pas avoir eu de formation.

"Nous avons eu seulement de la théorie pendant un mois. Comment voulez-vous que les gens fassent bien leur boulot si on ne leur explique pas les différences entre les compteurs et toutes les installations électriques possibles ?"

Si certains tiennent la cadence, motivés par une prime de 2 euros brut pour chaque compteur posé qui s’ajoute à un salaire de 1 600 euros mensuel, Thierry, lui, n’a pas tenu plus d’un an. "J’en arrivais à un point où je posais un compteur, quoi qu’il arrive, allant même jusqu’à 18 ou 19. Que l’installation électrique soit mauvaise ou pas", explique un poseur anonyme à Reporterre.

Le quinquagénaire a été nommé référent au début de son embauche et avait sous sa houppe "des maçons, des informaticiens, ou encore des étudiants qui n’avaient jamais travaillé." Chargé de "contrôler le boulot de [s]es collègues", Thierry ne tient pas un mois à ce poste. "Ils savent parfaitement où on est et combien de temps l’intervention est censée nous prendre", raconte-t-il.

"Parfois les fils sortent de partout, ils sont abîmés, mais on doit toujours poser le Linky", déplore-t-il. Il poursuit qu'un jour, il envoie une photo montrant un compteur dont l'installation a été mal faite à ses supérieurs : "Je voulais leur montrer que c’était dangereux, mais j’avais toujours la même réponse : tu poses."

Et ce n'est pas fini...

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Radioactifs ?

25 Juin 2019, 09:51am

Publié par Bernardoc

Article tiré de L'actu radins.com du 24/6/19

Le fleuve majestueux aurait-il perdu de sa splendeur ? Des analyses menées par l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (Acro) a mis au jour des résultats étonnants, notamment concernant le taux d’hydrogène radioactif dans la Loire, bien plus élevé qu’à la normale.

Une vingtaine de prélèvements ont été effectués dans la Loire, à hauteur de Saumur (Maine-et-Loire). Les résultats indiquent une concentration de tritium dans l’eau jusqu’à 310 becquerels par litre (Bq/L), en aval des cinq centrales nucléaires qui bordent le fleuve. En temps normal, le taux de tritium est compris entre 20 et 30 Bq/L.

« Ce sont les conséquences des rejets des centrales dans les cours d’eau », indique Guillaume ROUGIER, chargé d’étude au sein de son association agréée par l’Autorité de sûreté nucléaire, qui est en charge des centrales en France. Cependant, d’après l’association, peu de chance qu’il existe un risque sanitaire pour la population

Mais les risques sont difficiles à évaluer. « On peut quand même se poser la question de l’absorption de façon régulière d’une eau contaminée par du tritium », s’interroge l’Acro. L’eau de la Loire alimente les communes du Maine-et-Loire et de la Loire-Atlantique. L’Acro compte bien demander des comptes à l’exploitant des centrales nucléaires, à savoir EDF.

Mais par chez nous, en Gironde, on n'a pas quelque chose qui est sis à Braud & St Louis (la centrale du Blatais) ? Les mêmes mesures ont-elles été effectuées dans la Gironde ?

Et ce n'est pas fini...

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Un rendez-vous jeudi soir.

24 Juin 2019, 07:54am

Publié par Bernardoc

C’est maintenant à portée de main : un référendum, enfin. Un référendum sur la vente des Aéroports de Paris. Un référendum pour ne pas faire un cadeau de plus à Vinci qui a déjà emporté nos autoroutes.

Fabriquer la démocratie avec le peuple

Ce référendum, bien sûr, va au delà du bitume de l'aéroport, il est l’occasion d’un coup d’arrêt, d’un « non » franc et massif à ces politiques qui vendent notre patrimoine à la découpe au privé et creusent notre tombe écologique. Nous aspirons au contraire à une bifurcation, à fabriquer la démocratie avec le peuple et à garder entre nos mains les outils qui nous permettrons de faire la transition écologique au service de toutes et tous.

Nous avons 9 mois pour signer et faire signer, pour trouver parmi nos collègues de bureaux, nos familles, nos amis, nos voisins 4,7 millions de personnes qui feront une contagions de signatures !

Que faire ?

En Gironde, toutes les forces politiques, syndicales, associatives, citoyennes peuvent s'unir pour alimenter cette frénésie, cette épidémie ! Des comités locaux aux formes diverses peuvent et vont se lancer.

Aussi le journal Fakir, la radio La Clé des Ondes et le Comité de Défense des Services publics invitent toutes celles et tous ceux qui souhaitent participer à cette mobilisation générale à venir le jeudi 27 juin à 19h dans le hall de la Bourse du travail de Bordeaux.

Cette réunion départementale se fera en présence d'élus signataires du projet de loi pour sauver ADP et d'organisations et personnalités signataires de la tribune parue dans le Monde le 11 juin dernier (1). On espère qu'elle se fera avec vous .

Comme le dit Fakir : Sans vous on ne peut rien, mais avec vous on peut beaucoup ! Et à la fin c'est nous qu'on va gagner !

D'ici là, toutes les informations sur le référendum sont ici : http://nous-signons.org/

Et l'événement Facebook à partager par ici :

https://www.facebook.com/events/635310023617055/

Et ce n'est pas fini...

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Réserve écologique des Barails.

23 Juin 2019, 00:41am

Publié par Bernardoc

C'était la dernière sortie avant les vacances proposée par le comité de jumelage avec Kalambaka. Nous y étions venus vers Pâques mais les roses n'étaient pas encore écloses. Et hier, elles commençaient déjà sérieusement à se faner.

Nous avons fait à notre rythme de vieux une balade d'un peu plus de 9 km, arrivant sur place alors que le brouillard venait de se lever et nous avons pu déambuler avant qu'il ne fasse trop chaud.

Nous avons commencé par nous diriger vers le bois de Bordeaux (je me souviens des petits arbres à la fin des années '70 : ils ont bien poussé!). Ensuite nous avons arpenté les allées au milieu des jardins des villes jumelles ; ils manquent sérieusement d'entretien.

Avant d'atteindre la roseraie, nous sommes passés au dessus du torrent à l'endroit où il se jette dans le lac, mais nous ne sommes pas montés à sa « source ».

De joyeuses agapes ont réuni 21 personnes à L'Amarillys et je pense que c'est vraiment un endroit que nous pourrons faire découvrir à nos amis grecs.

Et ce n'est pas fini...

Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
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Réserve écologique des Barails.
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Réserve écologique des Barails.
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Réserve écologique des Barails.
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Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
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Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
Réserve écologique des Barails.
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Spectacle camarguais.

22 Juin 2019, 18:47pm

Publié par Bernardoc

Les organisateurs du congrès de La Grande Motte avaient bien fait les choses en prévoyant pour nous une soirée en Camargue. Nous nous attendions à une soirée musicale et dansante, mais pas à une démonstrations proposée par les gardian(ne)s dans une arène qui ne servit non pas à une corrida mais à un exercice de conduite des chevaux et des taureaux, séparés ou ensemble. Le spectacle s'est achevé alors que les premières gouttes de pluie commençaient à tomber.

Et c'est alors, en nous dirigeant vers l'apéro, que nous eûmes droit à un accueil musical gipsy.

Le repas était effectivement dansant, mais la plupart des congressistes se précipitèrent vers le premier car qui rentrait aux hôtels : le lendemain à 9 heures commençait l'assemblée générale.

Cet article, chronologiquement, aurait dû se situer avant Béziers. Mea culpa.

Et ce n'est pas fini...

Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
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Spectacle camarguais.
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Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
Spectacle camarguais.
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Appel à rassemblement.

21 Juin 2019, 07:35am

Publié par Bernardoc

Les 9 organisations de retraités (CGT, FO, CFTC, CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR, Ensemble), réunies le 29 mai 2019 se sont alarmées de la situation dramatique des services hospitaliers des urgences.

Les personnes âgées sont tout particulièrement concernées :

- Compte tenu du manque de lits de gériatrie qui, de plus, risque de faire l’objet de nouvelles coupes budgétaires,

- Compte tenu du manque de place dans les EHPAD et du coût des restes à charge demandés aux personnes âgées et à leurs familles.

Dès lors, les personnes âgées n’ont bien souvent pas d’autre solution que de recourir aux services d’urgence.

Aussi, les 9 organisations soutiennent l’appel à la grève des personnels hospitaliers et les assurent de leur solidarité.

Elles sont également soutiens des luttes des personnels de soins et d’aide à domicile. Ces personnes ont décidé d’une action le 27 juin.

Les organisations de retraités de la Gironde appellent à un rassemblement le 27 Juin à 11h devant le siège du conseil départemental de la Gironde avec elles.

Une délégation ira à la rencontre de la préfecture pour lui remettre des procès-verbaux du nombre de cartes pétitions que nos délégués sont allés porter aujourd’hui au président de la République et celles qui continuent à nous arriver.

Venez nombreux car nous voulons toujours :

- la suppression de la hausse de la CSG et des exonérations de cotisations sociales,

- le respect des droits acquis à pension et le refus de transformation des pensions en allocations sociales,

- la revalorisation de toutes les pensions en fonction de l’évolution des salaires, le rattrapage des pertes subies depuis 2013,

- un minimum de pension à hauteur du SMIC revalorisé pour une carrière complète ;

- le maintien et l’amélioration des pensions de réversion ;

- la prise en charge de la perte d’autonomie à 100 % par la Sécurité sociale et l’ouverture d’un droit universel dans le cadre d’un grand service public de l’aide à l’autonomie.

 Aujourd’hui des retraités vont apporter à M. Macron des milliers de cartes pétitions représentatives du mécontentement et porteuses de nos revendications. Le 27 nous continuons et tout l’été la colère ne retombera pas.

Bordeaux le 20 juin 2019

Et ce n'est pas fini...

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