Envol pour la Grèce.
La première fois que nous sommes allés en Grèce, c'était lors d'une croisière au cours de laquelle nous avons fait deux escales : Santorin et un port du pelion d'où nous sommes allés à Kalambaka.
Nous y sommes retournés deux fois avec le comité de jumelage en partant de Toulouse puis de Mérignac.
Cette fois, nous avons voyagé avec Transavia et nous sommes partis avant l'aube d'Orly. Nous avons donc passé une (trop) courte nuit dans un hôtel local, le Grand hôtel Senia dont les services étaient au top.
Nous rejoignons donc un groupe varié à 5 heures et nous entamons les formalités ; il n'y en a qu'un qui a retardé le groupe, et bien entendu c'était moi, ou plutôt mon sac qui a pris la file du contrôle. Question réthorique de l'agent de sécurité : « Est-ce que vous m'autorisez à fouiller votre sac ? » « Et si je réponds non, vous faites quoi ? » « Je ne touche à rien ». Afin de ne pas prolonger ce moment, j'ai dit oui. Et après une fouille de fond en comble, qui lui a permis de découvrir des lectures subversives telles que Siné mensuel, le gars me dit : « Je ne comprends pas pourquoi votre sac a été orienté ainsi ». Fin de l'épisode, embarquement et vol sans histoire ; bien placé, j'ai mitraillé sans arrêt dès que le jour s'est levé.
En arrivant à Athènes, direction le quartier Plaka par la porte d'Hadrien.
Et ce n'est pas fini...