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Le blog de Bernard SARLANDIE

Appel de La Cimade aux (futures) municipalités

29 Février 2020, 10:21am

Publié par Bernardoc

En France, la mise en œuvre de la politique d’immigration et d’asile est une prérogative étatique.

Mais dans les faits, les municipalités se retrouvent en première ligne concernant l’accueil des personnes migrantes qui vivent sur leur territoire.

D’une part, parce qu’elles portent des politiques publiques en matière d’accès aux droits, à l’information et au service public, au logement, à l’emploi, à la scolarisation, … qui concernent l’ensemble des habitant·e·s, dont les personnes migrantes.

D’autre part, parce qu’elles se trouvent en situation de devoir pallier les insuffisances de l’État. Le manque de moyens, d’anticipation, de volonté politique mais aussi la logique sécuritaire et la remise en cause de la solidarité entraînent des conséquences désastreuses. En matière d’hébergement par exemple, l’État fait le choix politique de ne pas assurer sa mission régalienne de mise à l’abri des plus précaires dans une logique de dissuasion des personnes exilées, quitte à les mettre en danger. De plus en plus de villes sont donc obligées de répondre à l’urgence humanitaire en proposant une prise en charge des personnes migrantes à la rue.

Enfin, parce qu’elles sont garantes de la cohésion sociale dans leur territoire. Elles sont des actrices essentielles dans la lutte contre les replis identitaires et la construction collective d’un bien vivre ensemble.

Leur action est certes soumise à des contraintes (partage des compétences avec l’État et les départements, financements restreints, opposition d’une partie des habitants…) mais elle peut être innovante grâce à leur très bonne connaissance du territoire et des ressources mobilisables ainsi qu’à leurs capacités d’adaptation.

Les nombreux exemples de politiques locales inclusives et la mise en réseau, à travers plusieurs initiatives [1], d’acteurs qui vivent des réalités sociales différentes mais qui partagent des valeurs communes sont porteurs.

Les villes sont en capacité d’agir :

  • en rappelant à l’État ses responsabilités, à partir de leur connaissance des réalités de terrain et des défaillances du système d’accueil ;

  • en apportant des réponses opérationnelles quant à l’accueil effectif des personnes exilées pour assurer le respect de leur dignité et des droits fondamentaux, notamment le logement ;

  • en incarnant et en assumant une politique d’hospitalité grâce à des mesures et des messages positifs sur l’immigration ;

  • en veillant à favoriser la rencontre et les échanges interculturels pour apaiser la méfiance et créer du lien social.

La Cimade appelle les municipalités à se mobiliser solidairement pour créer les conditions d’un accueil digne des personnes migrantes, favoriser l’inclusion, la citoyenneté et la cohésion sociale.

Et ce n'est pas fini...

 

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Cimetière Montparnasse.

28 Février 2020, 17:48pm

Publié par Bernardoc

C'était sur le chemin de l'hôtel et j'y ai donc fait un saut juste avant d'aller récupérer ma valise. Je n'ai pas pris le plan indiquant les tombes célèbres, mais j'ai juste arpenté trois allées au hasard et c'est ainsi que je sui tombé sur les tombes de deux couples cinématographiques : Yves ROBERT et Danièle DELORME et un peu plus loin Jacques DEMY – Agnès VARDA ; Maurice PIALAT, lui, repose en solitaire. Il y a des photos d'autres tombes dont les décorations m'ont ému.

Je pense que j'y reviendrai.

Et ce n'est pas fini...

Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.
Cimetière Montparnasse.

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Du douanier Rousseau à Séraphine.

27 Février 2020, 08:53am

Publié par Bernardoc

Encore une fois, juste à temps pour la fin de cette exposition au musée Maillol (qui pratique un tarif « vieux ») consacrée aux grands maîtres naïfs ou « primitifs modernes ». Des noms dont on a peu entendu parler : Louis VIVIN, André BAUCHANT, Camille BOMBOIS, René RIMBERT, Jean EVE, Dominique PEYRONNET, Ferdinand DESNOS, mais dont les œuvres ne laissent pas indifférents. Il y avait d'ailleurs foule pour cette dernière semaine dans les différentes salles qui chacune s'organisaient autour d'un thème :

    • Un bouquet pour Dina (la muse de Maillol) ;

    • Les portraits-paysages ;

    • Les tables magnétique ;

    • La mer toujours recommencée ;

    • Le plaisir des jours ;

    • Les génies de la forêt ;

    • Les fleurs de la passion ;

    • Vues sur la ville.

Quelques photos des tableaux exposés pour le plaisir de vos yeux.

A deux pas du musée, il y a une brasserie : « le Florès », très populaire apparemment et avec une serveuse qui n'a jamais perdu son sourire malgré le nombre impressionnant de convives qui n'arrêtaient pas d'arriver ; bonne adresse.

Et ce n'est pas fini...

Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.
Du douanier Rousseau à Séraphine.

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T'ES (qui) TOI

26 Février 2020, 09:20am

Publié par Bernardoc

Déjà le titre questionne : c'est celui de la dernière exposition au musée de la Franc-Maçonnerie, présentée comme « L'interprétation d'un visage : de l'anthropologie criminelle à l'art ».

Quelle a été la genèse de cette exposition : A des anonymes, la photographe Sandrine MULAS a tendu ses couleurs : noir pour les peaux blanches, blanc pour les peaux noires, pas de fioritures, un révélateur. Et sur la pellicule sensible de leur visage, leur a juste demandé de faire apparaître ce qu'ils étaient, a cet instant. D'être eux. 

Tristesse, allégresse, empressement joyeux ou panique soudaine... Sandrine MULAS a tout vu passer dans les yeux de ses "modèles". Car dans notre société accablée par les images, par l'image que l'on doit donner aux autres, par l'image que l'on veut que leurs yeux voient, images virtuelles que l'on communique a n'en plus pouvoir, image officielle qui dissimule, il n'y a plus de place pour être soi. Qui nous le demande, d'ailleurs ? Plus personne... Sauf cette artiste qui s'efface, vous demande de l'oublier et juste un instant devant le miroir, de réfléchir a ce que l'on est...

Mais il n'y a pas que cela dans l'expo : des clowns, des visages ravagés par la chirurgie esthétique, des pop stars photographiées sur le mode criminel, et des portraits divers et variés qui étaient en train de se casser la gueule : il était temps que l'expo se termine avant que toute l'installation tombe à terre.

Une expo très dérangeante de laquelle on ne sort pas indemne, mais qui était tout à fait à sa place dans ce lieu.

Trop tard, c'est terminé !

Et ce n'est pas fini...

 

T'ES (qui) TOI
T'ES (qui) TOIT'ES (qui) TOI
T'ES (qui) TOIT'ES (qui) TOI
T'ES (qui) TOIT'ES (qui) TOI

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Dîner croisière sur la Seine.

25 Février 2020, 09:07am

Publié par Bernardoc

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après une demi-journée d'échanges entre bénévoles de la Fondation de la route / MGEN, une récréation nous était proposée le soir.

Agréable repas, beau temps et beaux monuments mis en lumière.

Et tout s'est bien passé ! D'aucuns comprendront ce que je veux dire.

Difficile de prendre des photos avec la réverbération, mais tant pis, je vous joins mon album.

Et ce n'est pas fini...

Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.
Dîner croisière sur la Seine.

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Le jardin du Luxembourg.

24 Février 2020, 11:56am

Publié par Bernardoc

Mardi 18 février, il faisait beau temps, malgré un petit vent frais et je décidais de passer la matinée au jardin du Luxembourg, en suivant une conférence intitulée : « Retraçons l'histoire du Jardin du Luxembourg à travers celle de ses visiteurs illustres (de Marie de Médicis à Jean-Paul Sartre ». J'étais un peu en avance et je m'intéressais aux rues avoisinantes. C'est là que je découvris le lycée Montaigne de Paris, à priori tout aussi imposant que le nôtre et un bâtiment aux décorations orientales ; je pensais à une mosquée, mais en fait il s'agissait de l'ancienne école nationale de la France d'outre-mer, sise au 2 avenue de l'Observatoire et intégrée à l'ENA en 2002.

Une belle perspective sur le jardin et le palais depuis la place entre la rue Auguste Comte et l'avenue de l'Observatoire et je me rends au point de rendez-vous. Une jeune femme semblait attendre,, c'était la conférencière, et comme j'étais seul, donc j'ai eu droit à une conférence privée.

En fait, c'était plutôt une conteuse qu'une conférencière qui racontait l'Histoire à travers de multiples anecdotes éclairantes et peut-être enjolivées (ou enjolivantes) mais c'était revendiqué.

Nous commençons donc par la statue de Marie de Médicis, deuxième femme d'Henri IV, et maîtresse d'oeuvre du palais. Elle attendit dix ans après son mariage pour être sacrée reine, et, coïncidence ? c'est le lendemain du sacre que Ravaillac assassina le roi. Complot ? En tout cas c'est la première fois que j'entendais ce rapprochement de dates.

Le récit se poursuivit par des anecdotes qui tournaient autour de Louis XIII et Richelieu.

Puis au long de la promenade apparaissent Hemingway (a-t-il vraiment capturé des pigeons du Luxembourg pour se nourrir?), Victor HUGO, Prévert, Sartre,...

Nous nous dirigeons ensuite vers une partie peu connue du Luxembourg, le jardin à l'anglaise, le verger, reste des Chartreux, et les ruches avec une pancarte « Pelouse interdite, Danger Abeilles » ! C'est dans ce coin que Hugo a situé la rencontre entre Marius et Cosette.

Enfin, pour terminer, nous passons vers le théâtre de Guignol, en dur, pour arriver à l'Orangeraie, que je connaissais pour y avoir visité une exposition en été, quand les orangers sont sortis.

Deux heures bien remplies, je recommande !

Et ce n'est pas fini...

Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.
Le jardin du Luxembourg.

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Autour de Jacques Decour.

23 Février 2020, 10:06am

Publié par Bernardoc

Quand je suis du côté de Montmartre, je ne manque jamais de faire un pèlerinage vers le lycée où je suis entré en 6ème et que j'ai quitté à la fin du premier trimestre de 5ème pour rejoindre Jean Aicard à Hyères. Et à chaque fois je suis désolé de voir la dégradation de ce lycée, devenu cité scolaire. Je me suis même demandé s'il n'était pas définitivement fermé.

A l'époque c'était un lycée de grande réputation, et moi, fils d'ouvrier, je côtoyais les enfants de la haute pour la première fois et qui était au lycée depuis la 11ème (CP). Lorsque j'arrivais, les classes primaires venaient de fermer et si je suis par la suite devenu prof d'anglais, c'est grâce aux deux profs qui m'ont donné les bases en anglais, Mrs Torcq et M. Addes.

Qu'est-il devenu ? Apparemment il était tombé bien bas : en 2015 105/108 sur Paris et 2203/2277 en France. En 2018, il semble y avoir eu un redressement puisque les chiffres étaient 81/108 et 1174/2277. C'est loin d'être fameux pour un bahut qui peut s'enorgueillir d'avoir eu comme enseignants : Jules Michelet (1798-1874) qui y a enseigné l'histoire à partir de 1821

  • Henri Wallon (1812-1904), historien et homme politique, auteur de l'amendement Wallon de 1875, y exerça au début de sa carrière en qualité de professeur d'histoire

  •  Stéphane Mallarmé (1842-1898), poète, professeur d'anglais

  •  Édouard Branly (1844-1940), physicien et médecin, professeur de physique

  •  Henri Bergson (1859-1941), professeur de philosophie de 1889 à 1890. Prix Nobel de littérature en 1927

  • Jules Romains (1885-1972), professeur de philosophie en 1916-1917

  • Camille Lebossé (1905-1995), mathématicien (du fameux duo Lebossé-Hémery)

  • Robert Dauvergne (1908-1977), professeur d'histoire et géographie

  • Daniel Decourdemanche (1910-1942), professeur d'allemand, résistant sous le nom de Jacques Decour, dont le nom a été donné à l'établissement

  • Irène Frain (née en 1950), femme de lettres française, romancière et historienne

  • M. Lop, professeur d'arts plastiques et auteur de la fresque à la gloire de Jacques Decour dans la salle des actes.

  • M. France (anthologie Rouget-France)

  • Jean-Pierre LAZZERI, prof d'anglais, mon ami de la fac de Nice.

     

Parmi les élèves, on peut noter :

  •  Victor Duruy28 (1811-1894), homme politique et historien français, ministre de l'instruction publique de 1863 à 1869

  •  Gustave Moreau (1826-1898), peintre, graveur, dessinateur et sculpteur, élève de 1838 à 1840

  •  Francisque Poulbot28 (1879-1946), affichiste, dessinateur et illustrateur, élève de 1890 à 1896

  • Willy Ronis (1910-2009), photographe, élève de 1923 à 1929

  • Joël Le Tac (1918-2005), résistant, Compagnon de la Libération, député de Paris

  • Claude Lalet (1920-1941), résistant, fusillé comme otage au camp de Châteaubriant le 22 octobre 1941

  • Claude Nougaro (1929-2004), auteur-compositeur-interprète et poète, élève en 6e A2 en 1943

  • François Truffaut (1932-1984), réalisateur, scénariste, critique et acteur de cinéma.

  • Guy Claisse (1934-2016), journaliste, écrivain et viticulteur

  • Boris Cyrulnik (né en 1937), neurologue, psychiatre, éthologue et psychanalyste

  •  Roland Topor28 (1938-1997), illustrateur, dessinateur, peintre, écrivain, poète, metteur en scène, chansonnier, acteur et cinéaste

  • Gims (né en 1986), rappeur,

  • Philippe Chariéras, ancien secrétaire général de l'IA 33,

  • Daniel Bilalian, et bien entendu

  • Bernard SARLANDIE, 6e M7 puis 5e M7 (septembre 1959 – décembre 1960).

    Et ce n'est pas fini...

 

Autour de Jacques Decour.Autour de Jacques Decour.
Autour de Jacques Decour.Autour de Jacques Decour.
Autour de Jacques Decour.Autour de Jacques Decour.
Autour de Jacques Decour.Autour de Jacques Decour.

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Poupée gonflante.

22 Février 2020, 10:08am

Publié par Bernardoc

Petit théâtre près de Montparnasse (on nous promettait un lundi noir dans le métro), un des rares à proposer un spectacle le lundi, jour de relâche pour un grand nombre de salles.

Pièce qui allait avec l'air du temps puisqu'elle se déroulait le soir de la St Valentin. Le mari, un vrai beauf amoureux, a du mal à comprendre sa femme après quinze ans de mariage et il essaie de lui faire plaisir grâce aux conseils téléphoniques d'un de ses potes. On ne peut pas dire que ce soit une réussite.

Mais son copain n'en reste pas là et lui fait livrer un cadeau surprise : une poupée gonflable. Réaction de panique du mari, surtout lorsque la poupée se transforme en vraie jeune fille. La rencontre entre les deux femmes est pour le moins orageuse, mais finalement la poupée réussira à recoller les morceaux entre le couple routinier.

Michel BERNINI, co-auteur de la pièce, metteur en scène et acteur, était entouré de Laurence BONNET-BLANCHET (l'épouse) et Nina STRÄSSLE (la poupée vivante). Tous trois ont réussi à incarner leur personnage de façon tout à fait convaincante.

Et ce n'est pas fini...

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Au pied de la butte (Montmartre).

21 Février 2020, 11:34am

Publié par Bernardoc

Lundi après-midi, en arrivant à Paris, et comme il faisait beau, je voulais aller suivre une visite conférence dans notre « Chinatown », autour de Belleville. J'aurais dû y arriver juste à l'heure, si la ligne de métro n'avait pas été fermée entre Châtelet et Arts et métiers. Donc, changement de programme et je me rabattis sur la Halle St Pierre, opportunément ouverte le lundi. C'était la deuxième fois que j'y allais, et cette nouvelle exposition était aussi perturbante que celle que j'avais vue sur le Japon (voir plus haut sur le blog).

Le mieux est que je laisse la Halle vous présenter l'expo et que vous puissiez vous rendre compte de ce qu'elle contenait en regardant les photos que j'ai prises et qui je crois sont assez représentatives.

Et ce n'est pas fini...

Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).
Au pied de la butte (Montmartre).

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Elle revient !

20 Février 2020, 17:37pm

Publié par Bernardoc

Je veux parler de ce magnifique chant d'espoir qu'est L'Internationale. Contrairement aux deux précédentes manifestations de milieu de semaine, on n'a pas attendu d'arriver à La Victoire pour l'entonner, mais dès le départ de la place de la bourse.

On se regardait au début, car la place paraissait bien vide. Mais c'est que des cortèges s'étaient formés ailleurs et convergeaient vers le lieu de rassemblement, si bien que l'on s'est retrouvés plus nombreux que la dernière fois. Les députés qui résistent à l'Assemblée ont bien besoin de se sentir soutenus.

Les avocats étaient là en masse et une fois de plus c'est la CGT qui fournissait les plus gros bataillons. Un car de touristes était coincé sur la place, ils ont donc pu assister à l'éborgnage de Brad PITT dont le visage orne une toile cachant une façade durant des travaux.

Autre surprise, et c'était la première fois depuis des années : aucun CRS devant le rectorat, et il n'y a pas eu d'incident !

J'étais content de voir mon amie violoniste à l'ONBA marchant devant moi avec le badge CGT bien visible. Mais il faut dire que beaucoup d'artistes ont toujours été militants. N'oublions pas que le syndicat CGT les regroupant fut fondé par le géant qu'était Gérard PHILIPE.

On va continuer jusqu'au 49.3 et après on arrête tout et on fait un pas de côté ?

Et ce n'est pas fini...

 

Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !
Elle revient !

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