Lundi 31 : on entre dans le dur.

Le premier échange auquel nous avons participé concernait les jumelages. Ils pouvaient fonctionner lorsqu'il y avait des groupes espérantistes dans les deux villes, et, bien entendu, la volonté de construire ensemble. Mais UEA nous encourageait à travailler de notre côté avant de faire appel à eux.

Ensuite, comme dans tous les congrès, il y avait une initiation à la langue du pays hôte, en l'occurrence, l'italien. Ce « cours » fut dispensé par un professeur de linguistique générale de l'université de Parme : brillant, même si on pouvait lui reprocher sa façon désordonnée d'utiliser le tableau. Hélas, ce fut la seule leçon à laquelle nous avons pu assister.

S'ensuivit l'assemblée générale d'INOE : tout ce qui concerne cette association naturiste fut discuté et voté ; je n'ai pas candidaté pour le bureau !

Un autre concert dans l'après-midi : deux bardes connus dans le milieu espérantiste : Mikaelo BRONSTEJN et Georgo HANDZLIK : deux styles différents mais qui se complétaient bien.

Enfin, ce fut le banquet et le bal dans les jardins du Palais Reali : le bal était animé par Jomo et Kimo (ce dernier, une découverte pour nous). Le repas était bon, mais le service laissait largement à désirer : visiblement ils n'avaient pas prévu le personnel suffisant pour le nombre de convives.

Et ce n'est pas fini...