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Le blog de Bernard SARLANDIE

Père Lachaise.

28 Mai 2018, 09:36am

Publié par Bernardoc

Pour me rendre à l'assemblée générale de l'AMOPA à Compiègne le 5 mai, le seul train Bordeaux-Paris le vendredi 4 était à 7h02. J'allais donc passer une bonne journée dans la capitale, et j'en profitai pour aller au cimetière du Père Lachaise, trois jour après le 1er mai, moment de recueillement au mur des Fédérés. Cela faisait longtemps que je n'étais plus venu en ce lieu, et donc de nouvelles tombes étaient apparues ; elles apparaîtront d'ici quelques jours.

Mais en me dirigeant vers cette section, j'ai traversé le carré dédié aux déportés et résistants. Comme je venais de participer à la correction du Concours National de la Résistance et de la Déportation, j'ai accordé une attention toute particulière aux monuments dédiés à cette tragédie barbare, et donc voici l'album que je leur ai consacré.

Impossible d'ajouter cette image, elle fait plus de 8 Mo (taille maximale). Quelqu'un peut m'aider ?

Et ce n'est pas fini...

Père Lachaise.

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Quelles soirées !

27 Mai 2018, 08:40am

Publié par Bernardoc

Jeudi soir, à Mérignac Ciné, dans le cadre de la commémoration des 170 ans de l'abolition de l'esclavage, j'ai assisté à la projection du film : Twelve years a slave. C'est l'histoire d'un afro américain, libre, cultivé et musicien, marié et père de deux enfants, vivant avec sa famille dans l'état de New York. Un soir deux aigrefins le font boire et le vendent à des trafiquants qui le feront partir vers le sud, états où l'esclavagisme est encore la loi.

Nous assistons à l'effacement de sa vie antérieure, jusqu'à prétendre ne savoir ni lire ni écrire. Le sadisme des maîtres est très bien décrit et face à cela, Solomon (Platt de son nom d'esclave) gardera la force de résister jusqu'à ce qu'un Canadien accepte de prévenir ses proches. Et c'est en 1853 qu'il retrouvera sa liberté et sa dignité et qu'il écrira un livre pour raconter son calvaire.

Vendredi soir, c'est devant la télé que j'ai passé ma soirée en face d'un téléfilm sur Arte : Le temps des égarés. Qui sont ces égarés ? Des réfugiés que l'on voit sortir d'un conteneur en direction vraisemblablement de Calais ; mais c'est Abdul, Irakien et professeur de français, que l'on suivra dans ses efforts pour s'intégrer dans le pays des lumières. Un autre couple, un père et sa fille, déjà arrivés du Mali d'où il l'a kidnappée pour lui éviter l'excision, seront un autre exemple de ce qui arrive à ces réfugiés. Cependant le personnage central est la traductrice de l'Ofpra, qui raconte ce qu'elle veut, moyennant finances, et en toute impunité. Tous ces personnages, ainsi qu'une jeune avocate algéro-bretonne, évolueront différemment, mais en mettant en lumière les incompétences agissantes et les obstacles que le pays des droits de l'Homme se plaît à dresser devant eux.

La fin, avec Abdul, assis au bord de la mer, regardant s'éloigner les ferries vers l'Angleterre, n'est pas à la gloire de l'accueil que le pays qu'il admirait lui a réservé.

Dans ce film aux multiples oscars, comme dans ce modeste téléfilm, on ne peut qu'être enthousiaste devant le jeu d'acteurs exceptionnel dans la justesse et la sincérité des rôles qu'ils interprétaient.

Deux soirées que j'ai ressenties comme deux coups de poing et qui montrent que la Fraternité, qui figure sur notre devise nationale, est loin d'être une évidence, quel que soit le lieu.

Et ce n'est pas fini...

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Fin de notre semaine marocaine.

26 Mai 2018, 09:35am

Publié par Bernardoc

Il y a exactement un mois nous prenions l'avion de retour. Aucun problème, si ce n'est que la paire de petits ciseaux avait la bonne taille sur le vol aller, mais était devenue trop grande pour le vol retour. Kafka pas mort !

Nous avons profité de notre dernière journée pour traîner encore dans les souks, faire encore des photos de portes (que vous avez vues hier), tester un restaurant où, alors qu'au début nous étions les deux seuls clients, le repas s'est éternisé pendant presque deux heures, avant de terminer par une séance hammam/gommage/massage, histoire d'être en forme le lendemain.

Cette ville, les visites et les excursions nous ont bien plu. Nous pensons à un circuit maintenant : les villes impériales et le grand sud, ou Marrakech et les oasis (que nous n'avons pas vues). J'en profiterai alors pour compter le nombre de minarets que l'on aperçoit depuis la piste de décollage, et il y en a beaucoup !

Et ce n'est pas fini...

Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.
Fin de notre semaine marocaine.

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Quelques portes de Marrakech.

25 Mai 2018, 09:14am

Publié par Bernardoc

Fascinantes !

Et ce n'est pas fini...

 

Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.
Quelques portes de Marrakech.

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Les portes d'Essaouira

24 Mai 2018, 09:05am

Publié par Bernardoc

...Et un peu plus, au hasard de nos déambulations.

Et ce n'est pas fini...

 

Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira
Les portes d'Essaouira

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Fiers d'être fonctionnaires.

23 Mai 2018, 09:01am

Publié par Bernardoc

Du soleil, du monde, de l'unité syndicale et intergénérationnelle. Alors, on continue ?

Et ce n'est pas fini...

Fiers d'être fonctionnaires.
Fiers d'être fonctionnaires.
Fiers d'être fonctionnaires.
Fiers d'être fonctionnaires.
Fiers d'être fonctionnaires.
Fiers d'être fonctionnaires.
Fiers d'être fonctionnaires.

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C'étaient "les cogitations".

22 Mai 2018, 18:16pm

Publié par Bernardoc

L'an dernier j'avais eu droit à deux dédicaces ; cette année : trois !

Et ce n'est pas fini...Et ce n'est pas fini...

Et ce n'est pas fini...

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Le 22 mai les retraités exigent des services publics de qualité

20 Mai 2018, 09:30am

Publié par Bernardoc

Toutes les organisations syndicales représentatives de la Fonction publique et des services publics appellent à des manifestations pour rejeter le projet d’un démantèlement inédit de la Fonction Publique.

Les retraités à qui on vient de réduire un pouvoir d’achat déjà bien contraint, avec la hausse de la CSG, ont besoin de services publics de qualité, accessibles à tous.

Un rejet unanime

Neuf organisations syndicales, CGT, CFDT, CFTC, CGC, FA-FP, FO, FSU, SOLIDAIRES, UNSA, ont exprimé à plusieurs reprises leur refus des mesures prises et envisagées à l’encontre des fonctionnaires, des agents des fonctions publiques. Comme à son habitude le gouvernement a fait longtemps la sourde oreille, espérant ainsi décourager les opposants à ces mesures. Il a dû récemment faire quelques concessions, notamment abandonner le projet de différencier le point d’indice entre les trois versants de la Fonction Publique, premier volet de son entreprise de démantèlement.

Le risque d’une dégradation rapide des services publics

Mais il maintient son plan de suppression de 120 000 postes. Chacune et chacun d’entre nous sait quelles en seront les conséquences : une dégradation des conditions d’accueil et de traitement des difficultés dans les domaines de l’administration, des structures sanitaires, hôpitaux, EHPAD, urgences, de la Poste, du logement, des transports avec la désorganisation et à terme la privatisation de la SNCF et l'abandon des petites lignes, les exigences de rentabilité dans tous les secteurs publics au détriment des usagers. Et les retraités sont des usagers particulièrement attachés aux services publics, notre bien commun, et à la qualité de leurs missions.

Les retraités concernés au premier chef

La méthode est toujours la même : réduire les effectifs, dénigrer les fonctionnaires, limiter au minimum les investissements, désorganiser les services, susciter le mécontentement des usagers et préparer ainsi le terrain à l’arrivée de services privés payants et de plus en plus coûteux. Au détriment de celles et ceux qui n’auront pas suffisamment les moyens de se soigner, de se déplacer, de s’éduquer et pour les retraités de vivre une retraite paisible comme ils et elles le méritent.

Oui les retraités se sentent concernés par les actions de défense des services publics.

Ils seront présents dans les manifestations du 22 mai et ils seront nombreux.

Car notre modèle social nous y tenons et nous voulons même l’améliorer, en convergence avec tous les personnels qui le font vivre.

BORDEAUX : 13H30, République

Et ce n'est pas fini...

 

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Fantasia.

19 Mai 2018, 11:45am

Publié par Bernardoc

C'était au programme du mardi ; départ prévu à 18h45. Nous avions donc toute la journée devant nous et nous avons encore zoné dans les souks ; plus la semaine avançait, moins on se perdait, et comme nous n'avions pas l'intention d'acheter quoi que ce soit, c'était juste pour le plaisir des yeux, sous un beau soleil.

Départ pour la fantasia : personne à 19 heures ; retour au riad, confirmation de l'heure : c'était 19h45 ! Finalement le chauffeur se pointe à 20h25. Nous angoissions pas mal car le repas était prévu avant le spectacle. Nous avions tort car nous étions loin d'être les derniers, accueillis par des guerriers à cheval et toute une palanquée de groupes folkloriques plus ou moins naturels.

Le repas « Chez Ali » se déroulait sous de grandes tentes et la nôtre était loin d'être remplie. Curiosité (?) : la boisson était payante (même l'eau !), mais le menu était copieux.

Nous passons ensuite sur les gradins pour assister à la cavalcade. D'abord, des exercices de voltige semblables à ceux que réalisent les cosaques, puis les assauts avec les tirs au fusil. C'est lors de la troisième attaque qu'un incident se produisit : au lieu de tirer en l'air, l'un des cavaliers a tiré sur un cheval qui s'est effondré et qui a refusé de quitter l'arène une fois qu'il s'est remis sur pattes. Donc nous avons attendu une vingtaine de minutes avant de retourner prendre notre taxi, un peu frustrés cependant. Apparemment, c'était la première fois que ceci se produisait ; avec mon esprit mal tourné je me suis dit qu'il devait y avoir une rivalité entre deux cavaliers et que le fait de tirer sur un cheval était un avertissement. J'espère que non quand même, car sinon les touristes ne seraient pas à l'abri non plus d'un fusil détourné. Bon ce n'était pas le bon jour.

Et ce n'est pas fini...

 

Fantasia.
Fantasia.
Fantasia.
Fantasia.
Fantasia.
Fantasia.
Fantasia.
Fantasia.
Fantasia.
Fantasia.
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Fantasia.
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Essaouira.

18 Mai 2018, 12:06pm

Publié par Bernardoc

Nous avions choisi de faire l'excursion à la journée. Et le choix fut le bon : nous avons eu un temps splendide alors qu'il a plu ce jour-là à Marrakech. D'ailleurs au retour, nous pu constater qu'un oued qui était à sec le matin s'était transformé en torrent.

Départ vers 9 heures le matin avec Abdou, fort sympa mais maîtrisant assez mal le français ; dommage.

Premier arrêt : l'arbre aux chèvres. On nous a dit que les chèvres adoraient le fruit de l'arganier et laissaient le noyau qui sera ensuite récolté. En fait, les chèvres sont attachées à l'arbre et le soir, quand nous sommes repassés devant l'arbre, on voyait les cordes pendre le long des branches, désertées par les cabris.

Second arrêt : une « coopérative » qui travaillait l'argan. Nous avions vu cela lors de notre première excursion, donc rien de nouveau : les trois femmes en train de casser les noyaux se mettent à chanter deux minutes dès qu'un groupe de touristes arrive.

Nous atteignons Essaouira vers midi, juste au moment où les pêcheurs rentraient au port. Spectacle intéressant juste au pied des remparts que nous gravirons peu après. On dit qu'Essaouira fait penser à St Malo ; qu'en pensez-vous d'après les photos ?

Il était temps de déjeuner et nous nous sommes dirigés vers des cabanes qui proposaient bien entendu tout un assortiment de poissons frais grillés sous nos yeux. Moi qui ne suis pas vraiment un fanatique du poisson, j'ai beaucoup apprécié.

Ensuite, balade dans la médina où nous avons pu, entre autres, remarquer les ateliers de marqueterie.

Nous avons terminé notre visite par un tour sur la plage, où certains jeunes se baignaient. J'ai trempé les pieds dans l'eau : elle ne paraissait pas très froide.

Nous sommes repartis vers 17 heures, et c'était bien. Certains repartent vers 15 heures et là nous aurions été très frustrés.

Et ce n'est pas fini...

Essaouira.
Essaouira.
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Essaouira.
Essaouira.
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Essaouira.
Essaouira.

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