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Le blog de Bernard SARLANDIE

La Gironda occitana.

24 Décembre 2011, 08:52am

Publié par Bernardoc

          Enfin la Gironde se réveille ! Quand on voit les efforts faits par le Conseil régional et la Dordogne, cela fait plaisir de voir, qu’enfin, la Gironde REdécouvre son occitanité, et la met bien en valeur dans une exposition qui va rester aux archives départementales (72/78 cours Balguerie-Stuttenberg à Bordeaux) jusqu’au 29 février prochain avant de partir en itinérance dans le département en suivant.

archives départementales 011

         Dès l’entrée du bâtiment un totem triangulaire nous annonce l’exposition qui se trouve dans « la salle des voûtes » et qui mêle exposition de livres et documents anciens et plus récents ainsi que, et c’est bien normal puisqu’il s’agit d’une langue, témoignages oraux enregistrés.

         Pour les réactionnaires qui pensent que la langue occitane serait une atteinte aux fondamentaux de notre République, un tour à cette exposition leur révèlerait qu’à la fin du XVIII° siècle, l’avocat bordelais Pierre BERNARDAU a traduit en gascon la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen afin de contribuer à la diffusion des idées révolutionnaires dans toutes les couches de la population, y compris celles dont la langue maternelle était encore la langue des troubadours.

         Un peu plus de deux siècles plus tard, le conseil régional a procédé à une enquête concernant la langue occitane. A la question : « Etes-vous favorable à des actions conduites par les collectivités publiques pour maintenir ou développer la langue occitane ? », 82% des sondés ont répondu : « OUI ». D’ailleurs, les réflexions ultérieures du CESER vont dans le même sens.

         Donc, précipitez-vous à cette exposition, il reste deux mois et le catalogue reprend l’ensemble des étapes ; en plus vous découvrirez un lieu fort agréable où vous serez accueillis par des gens aimables et compétents.

Et ce n’est pas fini…

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Archives départementales.

23 Décembre 2011, 12:39pm

Publié par Bernardoc

         L’IHS-CGT 33 avait reçu une invitation pour la remise du prix Gironde à Estelle NOLLET aux archives départementales. J’ai donc décidé d’y aller à ce titre. Ce que j’ignorais, c’est que depuis un an les archives avaient déménagé dans un superbe bâtiment flambant neuf cours Balguerie Stuttenberg.

         Comme nous étions en avance, nous en avons profité pour visiter une exposition sur La Gironda occitana, mais ce sera l’objet de mon article de demain.

         La remise du prix (plus de 7 500 € ) avait lieu dans la magnifique salle de lecture et de consultation des documents. Je n’avais jamais pénétré dans l’ancien bâtiment rue d’Aviau mais sans aucun doute le personnel a vu une immense amélioration de ses conditions de travail.

         Donc après le discours du Président MADRELLE et d’autres éminents participants au choix du roman, Estelle NOLLET, provisoirement handicapée, a remercié avec humour et profondeur le Conseil général puis nous a lu trois extraits de son œuvre (c’est son deuxième roman). Si la salle était belle, l’inconvénient était que l’on ne pouvait pas la voir, mais on l’entendait suffisamment bien.

         Ensuite, nous descendîmes à un petit hall pour la dédicace et pour partager un buffet abondant, mais qui eut un succès relatif malgré sa qualité. Les langues allaient bon train mais pour des discussions plutôt que pour des dégustations !

         En partant, je discutais avec certains membres du personnel qui nous ont invités à venir, en groupe, visiter ce magnifique outil de mémoire. Je ne manquerai pas de le suggérer à notre « groupe archives », et ce sera un beau complément après notre stage de Courcelle-sur-Yvette.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Archives?authuser=0&authkey=Gv1sRgCP7Ht7bSkc7ncw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Merci ARTE.

22 Décembre 2011, 00:31am

Publié par Bernardoc

          Hier soir en début de soirée la chaîne nous proposait une émission réalisée par William KAREL, consacrée à la vision qu’avait la presse étrangère de Sarkozy. Quel beau morceau de télévision, qui n’est pas perdu puisque le DVD est déjà en vente à la boutique de la chaîne. Looking for Nicolas Sarkozy faisait intervenir des journalistes européens (allemands, anglais, espagnol, italien), américains et une seule journaliste africaine.

         Première remarque de ces professionnels : comment les journalistes français peuvent-ils faire correctement leur métier en restant si déférents face au président ? Le fait que ce dernier nomme ou supervise l’ensemble des médias n’y est sans doute pas étranger.

         Plusieurs extraits de discours (Dakar, Latran, Grenoble,…) entrainaient chez ces correspondants étrangers en France des termes tels que : « mépris », « ignoble », « dégueulasse ». Le cultissime « Casse-toi pov’con ! » avait provoqué la réprobation générale de ces étrangers habitués à une autre tenue de la part d’un président de la République Française.

         De même les mises en scène familiales n’étaient pas ce qui passait le mieux à l’étranger.

         La réflexion unanime de ces experts en politique était que Sarkozy n’avait aucune vision de l’Etat et qu’il gérait la France au jour le jour, tentant de rattraper ses bévues, comme par exemple lors des printemps arabes qu’il n’avait pas vu venir, par des actions guerrières comme en Lybie ; là encore il fallait se dédouaner de l’accueil du bédouin à Paris trois ans plus tôt.

         En revanche, une autre unanimité s’est faite pour admettre que la présidence française de l’Europe avait été un succès. Le reportage était parsemé de couverture ou d’articles des différents journaux pour lesquels travaillaient nos journalistes, et qui donnaient une bien piètre image de la France à l’étranger.

         Parmi les mots gentils, le président sortant a été comparé à « un bateleur de foire », et donc tout à fait capable de gagner à nouveau les prochaines élections. Pourvu qu’ils se trompent !

Et ce n’est pas fini…

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Formation syndicale.

21 Décembre 2011, 14:11pm

Publié par Bernardoc

         Au début du mois, nous étions trois de l’Institut d’Histoire Sociale de la CGT33 à participer à un stage de formation sur les archives, qui constituent la base de nos recherches. En tout, 19 stagiaires venus de toute la France ont pendant ces deux jours et demi accumulé force connaissances, qui nous ont montré qu’en Gironde nous étions en avance par rapport à ce qui se passe dans d’autres départements, sûrement parce que nous avons la chance d’être pilotés par une archiviste professionnelle.

         Nous eûmes droit à des interventions de très haut niveau, même si des appréciations différentes furent émises en fonction des intervenants.

         Mais pour moi, la découverte fut incontestablement le centre Benoît FRACHON, à Courcelle sur Yvette, l’endroit où se déroule une bonne partie des stages nationaux de la CGT. Ce qui est frappant, c’est la très visible présence culturelle dans ce centre de formation syndicale, et celui qui avait été l’initiateur de l’entrée de la culture durant ces stages ouvriers, Marius BERTOU, est mort pendant que nous y étions. Hommage lui a été rendu par le directeur du centre, juste avant la représentation théâtrale. En effet, outre les statues réparties un peu partout dans le parc, il existe un lieu d’exposition, une bibliothèque où se déroule chaque semaine un café littéraire, un centre de documentation,…

         Quelques photos légendées devraient vous faire découvrir ce magnifique outil syndical. Suivez le lien !

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/BenoitFrachon?authuser=0&authkey=Gv1sRgCL-J2rPy7aSWcg&feat=directlink

 

Et ce n’est pas fini…

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Ou la connerie ne va-t-elle pas se nicher ?

20 Décembre 2011, 15:38pm

Publié par Bernardoc

         Deux infos de Marianne qui montrent qu’on marche vraiment sur la tête.

         Une compagnie aérienne cubaine veut réserver des chambres au Hilton d’Orly. Refus de la direction : cause : BLOCUS américain ! Quand je pense qu’il y en a certains qui clament que c’est à cause des Castro que tout va mal à Cuba…Savent-ils que dans notre république sarkozyenne certains petits chefs qui aspirent à l’oligarchie inventent leur propre loi en contradiction totale avec nos lois ? J’espère que la compagnie trouvera des avocats qui arriveront à faire condamner le plus lourdement possible celui qui propage et applique le plus abject des chantages qu’OBAMA s’est bien gardé de remettre en cause, ce qui ne l’empêchera pas, comme Sarkozy d’être battu l’an prochain.

         Deuxième connerie, en Italie cette fois. Une gamine de 16 ans qui venait d’être dépucelée, a accusé des Roms de l’avoir violée, déclenchant une opération punitive aux relents de fascisme. « Arrêtez-vous, ma sœur a menti » s’est exclamé son frère. Trop tard, le camp rom avait disparu sous les flammes. Mais pourquoi ce mensonge ? Eh bien pour trouver une excuse à la perte de sa virginité, régulièrement contrôlée par sa famille.  Voilà, ce n’était pas la charia qui avait guidé cette famille, juste la connerie basse et crasse de gens sous influence. On parie qu’ils votaient BERLUSCONI ou Ligue du Nord ?

         Pas envie d’en dire plus, sinon, « Vite, la révolution citoyenne ! » et une grande entreprise d’éducation populaire afin de construire un monde qui nous éloignera de ces absurdités criminelles.

Et ce n’est pas fini…

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Citoyenneté européenne.

19 Décembre 2011, 07:46am

Publié par Bernardoc

         Je viens de participer à Bordeaux à deux demi-journées organisées par l’A.F.C.C.R.E. sur le thème : Placer les jeunes au cœur des initiatives locales. Nous étions plus d’une quarantaine de participants venus de toutes les régions de France, élus ou responsables de services municipaux.

         La première demi-journée, jeudi après-midi, nous a apporté beaucoup de connaissances techniques par des « pros » des outils institutionnels : Catherine DE NADAI pour le Programme Européen Jeunesse en Actions (PEJA), Valérie LOIRAT pour l’OFAJ (Office Franco-Allemand pour la Jeunesse) et Didier FERRASSE pour les programmes d’éducation et de formation tout au long de la vie accessibles aux collectivités territoriales (à travers l’agence 2e2f, sise à Bordeaux).

         Le soir le pub St Aubin, place de la Victoire, nous accueillait pour une « Happy Hour », c’est-à-dire un apéro-tapas animé par de jeunes européens (français !) qui nous avaient préparé un quiz sur l’Europe. Malheureusement avec notre équipe « L’arc atlantique », nous ne finîmes que 3ème.

         Le lendemain matin, c’est l’Athénée qui nous accueillait pour deux tables rondes, en fait assez peu interactives, chaque participant ayant à cœur de nous faire partager ses réussites, facilitées par les fonds européens. Et les salons de la mairie de Bordeaux nous accueillaient à nouveau comme la veille, mais pour un cocktail cette fois.

         Vais-je arriver à faire démarrer quelque chose au Haillan dans les deux ans qui viennent ? Ca serait bien.

         Comme d’habitude, quelques photos en suivant le lien ci-dessous.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Europe?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKDzhKC5iff4oAE&feat=directlink

 

Et ce n’est pas fini…

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Hommage à Zamenhof.

18 Décembre 2011, 17:00pm

Publié par Bernardoc

         Les espérantistes girondins n’ont pas dérogé à la tradition. Comme chaque année, lors du week-end le plus proche de la mi-décembre, ils se sont réunis pour fêter la naissance de l’initiateur de l’Esperanto, le docteur Louis Lazare ZAMENHOF. Partout dans le monde, cette célébration est nommée : la Zamenhof tago.

         Cette année nous nous sommes réunis à Margueron pour fêter les 80 ans de Sabine, une militante de longue date. Mais l’esperanto n’était pas son unique engagement : étaient venus se joindre à nous le maire de la commune, qu’elle avait accompagné pendant deux mandats ainsi que des représentants du groupe de Ste Foy d’Amnesty international. En effet, il n’était pas une rencontre girondine sans que Sabine arrive pour nous inviter à signer une pétition pour la libération de tel ou telle emprisonné(e) dans le monde, à l’extérieur de la France.

         Nous avons profité de cette réunion pour affiner notre préparation pour le congrès international des cheminots et le congrès d’Esperanto-France en mai 2013 à Artigues-près-Bordeaux, pour lesquels nous avons sollicité la présence de la sénatrice-maire lors de la séance d’ouverture, sans réponse à ce jour. Mais peut-être à cette époque-là, il y aura une ministre venue d’Artigues au gouvernement !

         Et après le repas pris en commun la journée s’est poursuivie par des chants, des lectures, une conférence,…le tout dans la langue a-nationale bien sûr.

         Ce Zamenhof tago est l’occasion de rappeler l’existence de la pétition pour l’esperanto à l’école, signable en ligne sur :

www.esperanto-au-bac.fr

         Quant au lien ci-dessous, il vous conduira vers quelques photos de cette journée.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/SabineTago?authuser=0&authkey=Gv1sRgCPzM9azMkryNEw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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3%

17 Décembre 2011, 21:27pm

Publié par Bernardoc

         Bizarre comme titre, non ? En fait c’est la part du budget consacré à la culture dans notre petite ville du Haillan. Quand on pense aux décennies pendant lesquelles nous nous sommes battus pour réclamer 1% à la culture au niveau national, on ne peut qu’être fiers de ce que nous, ici, nous proposons à notre niveau. Et c’est sur cette constatation que j’ai terminé mon intervention hier soir lors du conseil municipal au cours duquel a été voté le budget 2012, non pas à l’unanimité mais à une très large majorité, ce qui le rend incontestable. Il est désormais patent que c’est mentir que de propager l’idée que Le Haillan serait une ville dortoir. Seulement, il est très rare de voir la droite se déplacer aux nombreuses manifestations culturelles qui sont proposées aux Haillanais.

         Si vous avez lu mon billet d’hier, il était consacré à l’intervention de la patronne du Medef, le matin à la radio. Eh bien, curieusement, même si cela ne nous étonnera pas, la droite a posé oralement une question se rapportant au même thème : la taxe sur les enseignes. J’ai fait allusion à cette conjonction, que je veux croire fortuite, au début de mon intervention qui ensuite a été une défense du budget présenté par la majorité municipale.  Les chiffres parlaient d’eux-mêmes. Alors que l’inflation sera au minimum de 2%, la dotation globale de fonctionnement (c’est-à-dire la somme d’argent qui est reversée par l’Etat aux communes) est en baisse, comme un certain nombre d’autres subventions, quand elles ne disparaissent pas complètement. Et malgré cela, malgré les nouvelles embauches qui permettront de faire vivre les structures que nous avons construites ou rénovées, de façon à offrir à la population les services qu’elle est en droit d’exiger d’une municipalité, eh bien, nous arrivons à nous désendetter NOUS, preuve que ce n’est pas en proposant un budget d’austérité que le sort des populations s’améliorera, bien au contraire.

         Nous sommes donc fiers de mener une politique à l’opposé de celle qui est menée au niveau national : « Nous on peut ! »

Et ce n’est pas fini…

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Pour ceux qui auraient encore des doutes...

16 Décembre 2011, 16:53pm

Publié par Bernardoc

         Ce matin, sur une radio nationale, Madame PARISOT, présidente du Medef, était interrogée. Pour elle, c’était clair : la crise de l’emploi et des entreprises ne provient pas de la désastreuse politique du gouvernement (puisqu’il ne fait qu’obéir aux ordres du Medef), mais bien de ces vilaines collectivités territoriales qui n’arrêtent pas de mettre des bâtons dans les roues des gentils entrepreneurs.

         Ainsi s’en est-elle prise, entre autres, aux taxes, établies d’ailleurs d’après une loi votée au parlement par une certaine majorité, sur les annonces publicitaires des commerçants. Si le commerce marche si mal, c’est la faute à ces mairies qui vont pressurer les PME et les TPE, les empêchant d’investir et de se développer.

         Mais de qui se moque-t-elle ?

A-t-elle évoqué la suppression de la taxe professionnelle et le manque à gagner qui va s’ensuivre pour les communes ? Que nenni !

A-t-elle évoqué le maintien, voire la diminution de la dotation générale de fonctionnement reversée par l’Etat ? Que nenni !

A-t-elle évoqué l’augmentation future du gaz qui va grever le budget des communes pour le chauffage des locaux ? Que nenni !

A-t-elle évoqué le retrait de l’Etat dans de nombreux domaines, que les collectivités territoriales sont bien obligées de suppléer pour le bien-être de leurs administrés ? Que nenni !

Non, pour Madame PARISOT, il faudrait sans doute augmenter la taxe d’habitation, afin de pénaliser davantage les familles les plus modestes ; il faudrait sans doute poursuivre encore la casse des services publics vendus, ou plutôt bradés, pour le plus grand malheur des usagers et le plus grand bonheur des actionnaires.

Comme disait Denis KESSLER, ancien militant de la Gauche Prolétarienne (maoïste) devenu un temps n° 2 du Medef : la guerre de classe existe toujours, et nous la gagnerons, puisque « Nous sommes le peuple, nous sommes le nombre, nous sommes l’intelligence ».

Et ce n’est pas fini…  

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Concurrence libre et non faussée.

15 Décembre 2011, 09:31am

Publié par Bernardoc

         Au premier janvier le gaz augmente de 4,4%. On nous raconte que l’Etat n’y peut rien, alors qu’il avait prétendu vouloir en bloquer  le prix. C’est vraiment nous prendre pour des imbéciles (remarquez le vocabulaire châtié) !

         Première chose à rappeler : la privatisation de GDF. En vendant l’entreprise publique, dont personne ne se plaignait, au groupe Suez, l’Etat était bien conscient qu’il n’aurait plus la maîtrise de la distribution : contrairement à l’Etat qui doit un service aux usagers, une boîte privée pressure les clients pour augmenter les profits des actionnaires.

         Deuxième chose : les règles européennes imposent à chaque pays membre de l’union la concurrence libre et non faussée. Avec la fin du monopole, plusieurs autres distributeurs sont venus sur le marché afin de profiter gratuitement des infrastructures mises en place depuis des dizaines d’années par le service public.

         Ce sont donc ces compagnies « financières » et non professionnelles qui ont attaqué la décision de blocage, et elles étaient obligées de gagner, donc les atermoiements du gouvernement sont nuls et non avenus.

         Il en est de même pour l’électricité, et les deux compagnies privatisées se lancent dans de la publicité agressive avec l’argument d’une seule facture pour essayer de débaucher les anciens usagers du service public.

         Quand le candidat du Front de Gauche indique que, lorsqu’il sera Président de la République, la France refusera d’appliquer les directives européennes qui accroissent le mal-être des Français, on ne peut que l’approuver. Il est temps que l’on sorte des contraintes qui aggravent les difficultés chez toute une frange de la population à qui l’on fait payer les effets d’une crise qui leur est tout à fait étrangère.

Et ce n’est pas fini…

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