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Le blog de Bernard SARLANDIE

Chambre d'enregistrement ?

28 Janvier 2018, 12:56pm

Publié par Bernardoc

C'est dans Sud ouest dimanche aujourd'hui. Encore une fois la pertinence d'Iturria.

Et ce n'est pas fini...

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La télé des années '80.

27 Janvier 2018, 00:02am

Publié par Bernardoc

Très heureux d'avoir pu regarder cette émission diffusée deux vendredi de suite sur F3. Outre les courts (très, trop?) extraits des émissions phare de cette décennie, le documentaire nous a bien dépeint les soubresauts qui ont agité l'étrange lucarne pendant les premières années Mitterrand. D'abord la libéralisation des ondes se manifesta avec des émissions telle Droit de réponse, joyeux bordel organisé (?) par Michel POLAC. Puis l'arrivée de la première chaîne privée et payante, donc cryptée : Canal + dont la naissance et les premières années se vécurent dans la douleur.

A cette quatrième chaîne vinrent s'adjoindre deux chaînes privées mais gratuites, donc alimentées par la pub : TV6 et la 5 berlusconienne. Cela fait déjà pas mal en 5 ans.

1986 : la cohabitation va entraîner la privatisation d'une des trois chaînes publiques ; alors qu'Antenne 2 craignait cela, finalement ce fut TF1 qui fut attribuée, non pas à Lagardère/Hersant qui disposaient déjà d'une expérience dans les médias, mais à Bouygues, champion du BTP : nous allions avoir une télévision de maçon !

Nous assistons alors à un véritable ballet entre les six chaînes, ballet dont les danseurs sont non seulement les animateurs, mais aussi les journalistes, chacun(e) se vendant au plus offrant. La télé étant définitivement passée sous le contrôle de la finance.

Drôle de voir certaines personnes dans un micro-trottoir déclarer qu'il y avait trop de chaînes. 30 ans plus tard, moi qui n'ai que la TNT, j'en ai déjà 22.

Puis viendra Arte, symbolisant, presque trente ans après sa signature, le traité de l’Élysée entre Paris et Berlin ; le mur était déjà tombé.

Merci à Pascal DRAPIER pour ce bon moment de télévision.

Et ce n'est pas fini...

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AGPG.

26 Janvier 2018, 18:24pm

Publié par Bernardoc

Intéressante assemblée générale du Parti de Gauche hier soir à Mérignac, même si tous les comités n'étaient pas représentés. Assemblée sereine, ouverte, où le PG est apparu comme un parti loin d'être monolithique et en pleine réflexion avant son congrès quant à son positionnement par rapport à la France Insoumise. Il fut toutefois déploré que certains anciens adhérents, ayant opté pour la seule FI, dépensent beaucoup de salive pour dénigrer le parti qu'ils avaient, pour certains, contribuer à créer en Gironde.

Cette AG fut précédée par l'assemblée de gestion (pour les sous !) ; les fonds des différents comités vont remonter.

Un tour de table fut effectué où chaque comité parlait de ses actions, la plupart disant que les réunions de la FI, bien que dans le creux de la vague, drainaient beaucoup plus de participants que celles du PG. J'ai indiqué la spécificité du Haillan, qui continue de travailler avec les anciens partenaires du défunt Front De Gauche. J'ai été content quand le trésorier d'un autre comité a également dit qu'ils travaillaient avec le PCF et quand mon voisin a manifesté la volonté de voir le PG apparaître en tant que tel et non pas invisible au sein de la FI.

La réunion s'est terminée par un point qui n'était pas à l'ordre du jour, et qui fut cependant longuement débattu : le mouvement dans les prisons. Le secrétaire départemental étant un ancien de la pénitentiaire, il a pu apporter un éclairage professionnel sensiblement différent de ce que l'on entend dans les médias. Tout ceci se déroula dans une écoute et une prise de parole très disciplinées. Contrairement à certaines AG précédentes, les participants ne sont pas repartis déçus, voire avec envie de quitter le parti.

Et ce n'est pas fini...

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C'est mardi prochain.

25 Janvier 2018, 11:15am

Publié par Bernardoc

Les retraités soutiennent les personnels des EHPAD en grève !

Nous, retraités, sommes inquiets et scandalisés par la situation des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).

Alors que les dotations de fonctionnement sont en baisse, la suppression des emplois aidés va encore réduire les effectifs et augmenter les difficultés des agents en place et le stress des personnes âgées résidentes : moins de temps pour les repas, moins de temps pour la toilette, moins d’animations, etc.

Alors que la loi mettant en place le « plan de solidarité grand âge » promettait un ratio de 1 agent par résident, la moyenne est de 0,6 pour 1, voire 0,3 dans certains cas.

Alors que tout le monde, y compris à travers la « mission-flash » de Mme IBORRA pour l’Assemblée nationale, reconnait les besoins criants du secteur des EHPAD, le gouvernement met en place la « convergence des tarifs dépendance et soins », ce qui signifie en clair déshabiller Pierre pour habiller Paul, prendre un peu aux établissements soi-disant bien dotés pour donner peu aux établissements en déshérence. Et rien sur la nécessité d’avoir plus d’EHPAD publics !

NON à la réforme tarifaire !

Ce sont nos anciens qui sont ainsi maltraités !

Les personnels ne sont en aucun cas responsables !

Et alors que les équipements collectifs (écoles, collèges, lycées, terrains de sport, …) sont à la charge de la collectivité, pourquoi en matière d’hébergement, les personnes âgées doivent-elles supporter les coûts, y compris ceux de l’amortissement des prêts consentis aux gestionnaires ?

Nous ne pouvons pas admettre que dans un pays qui se prétend la 5ème puissance mondiale, on consacre moins de 5 euros au repas d’une personne âgée !

Nous ne pouvons pas admettre que nos anciens ne puissent avoir une douche chaque jour et des repas à heure régulière ! Qu’on donne aux EHPAD les moyens de fonctionner !

Devant cette indignité, les personnels des EHPAD, à l’appel de toutes les organisations syndicales de salariés et d’une association de directeurs, appellent à la grève le 30 janvier 2018.

Les 9 organisations nationales de retraités soutiennent le mouvement des salariés des EHPAD, appellent les pouvoirs publics à les rencontrer et participeront aux rassemblements et manifestations organisés au cours de cette journée.

En Gironde, l’USR-CGT, la FSU, la FGR-FP, LSR appellent les retraités à manifester leur soutien dans tous les EHPAD et à 14h devant l’Agence Régionale de Santé à Bordeaux.

Par ailleurs à l’issue des diverses manifestations, des représentants des retraités apporteront leurs cartes de revendications au préfet représentant le président de la république. RDV à 15H devant la préfecture.

Et ce n'est pas fini...

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C'est aussi simple que ça !

24 Janvier 2018, 14:04pm

Publié par Bernardoc

AUGMENTER LES SALAIRES C’EST BON POUR LE POUVOIR D’ACHAT ET LA SÉCURITÉ  SOCIALE
Le gouvernement communique depuis plusieurs semaines pour expliquer que les salariés vont voir leur salaire net augmenter dès le 1er janvier et de nouveau en octobre 2018.
En réalité, cette soi-disant augmentation de salaire d’une vingtaine d’euros – pour les plus bas revenus – n’est pas le fait d’une répartition plus juste des richesses créées par le travail, mais de la baisse – voire de la suppression – de cotisations sociales, en l’occurrence celles de la « maladie » et du « chômage ».
Les 5 millions de salariés du public ne verront quant à eux aucune augmentation sur leur fiche de paye. Pour les retraités, dès 1 200 euros, c’est la baisse de leur montant de pension perçu qu’ils peuvent d’ores et déjà constater.
C’est une attaque grave, à la fois contre le financement de la Sécurité sociale et le paiement du travail à son juste niveau. Loin d’une augmentation réelle du pouvoir d’achat, c’est en réalité une réponse aux revendications du patronat pour une baisse du coût du travail.
Faire croire qu’on pourrait augmenter le salaire net en diminuant les cotisations sociales est une illusion : c’est faire supporter au salarié un risque qu’il devrait assumer individuellement, selon ses moyens, comme cela se passe dans certains pays. C’est la fin de la solidarité,
intergénérationnelle et interprofessionnelle, telle que la Sécurité sociale l’a instituée.
Pour la CGT, le travail est à l’origine de la création des richesses. C’est un formidable atout pour l’économie française. Les salaires et les cotisations sociales sont primordiaux pour vivre, se soigner, bien vieillir. Chaque augmentation de salaires gagnée améliore l’économie du pays et la pérennité de la sécurité sociale.
1 % d’augmentation générale des salaires, c’est 2,2 milliards pour la Sécurité sociale.
Le salaire, c’est quoi ?
Le salaire ne se limite pas à ce qui est viré chaque mois sur votre compte en banque (le salaire net) mais inclut également les cotisations sociales (parts salariale et entreprise). Les cotisations entreprise dites « patronales » sont de l’argent que l’entreprise vous doit au titre de votre travail, comme votre salaire.
La CSG est en partie substituée aux cotisations sociales mais ne crée pas de droits, contrairement aux cotisations ! Par ailleurs, les entreprises ne payent pas de CSG.
Les cotisations sociales ouvrent des droits pour des prestations relatives soit à des « risques » (maladie, maternité, chômage, invalidité…) soit à la qualité de votre vie future (retraite…) ou de celle de vos enfants (famille…).
Les exonérations de cotisations sociales sont un exemple de cadeaux faits aux entreprises qui fragilisent la sécurité sociale. De plus, ces cadeaux auront leur traduction par un transfert vers l’impôt (notamment la CSG, les taxes sur le tabac et l’alcool, l’énergie, la baisse de l’allocation logement, l’augmentation du forfait hospitalier…). Un salarié payé au Smic a, du fait des exonérations, une baisse de son salaire socialisé de plus de 400 euros par mois !
Le montant total des exonérations de cotisations sociales et fiscales s’élève à plus de 200 milliards d’euros par an. C’est autant de moyens financiers en moins pour la sécurité sociale.
Les cotisations sociales (part salariale et part entreprise) représentent la majeure partie du financement de la sécurité sociale. Les attaquer, c’est la fragiliser…et c’est baisser les salaires !
Ainsi, mon salaire et mes cotisations sociales ouvrent des droits, dans certaines conditions, me permettant :
• si je tombe malade, de prendre en charge tout ou partie des frais d’hospitalisation, de médicaments ;
• si je suis en invalidité, de bénéficier d’un revenu minimum ;
• si je suis victime d’un accident du travail, de percevoir une rente ;
• si je perds mon emploi, de percevoir des allocations-chômage ;
• si j’ai un enfant, de rester avec celui-ci pendant ses premières semaines, de faire face aux charges liées à l’éducation de mes enfants, de bénéficier de certaines allocations (crèche, allocation de rentrée scolaire, etc.) ;
• après mon activité professionnelle, de bénéficier d’une pension de retraite ;
• si j’ai un proche handicapé, de bénéficier de prestations dans le cadre du maintien de son
autonomie à domicile ou de prendre en charge le coût de son hébergement en maison de
retraite ;
• si mes revenus sont insuffisants, de bénéficier d’allocations logement…
La CGT revendique :
• une augmentation générale des salaires, pour augmenter la masse des cotisations sociales et améliorer la sécurité sociale ;
• une politique de l’emploi active qui permette d’augmenter le nombre de salariés au travail et
donc le nombre de cotisants et la masse totale d’argent disponible pour la Sécurité sociale ;
• une réforme du financement de la Sécurité sociale :
−− axée sur la cotisation sociale,
−− introduisant une surcotisation pour les entreprises qui recourent de façon abusive à la
précarité,
−− faisant contribuer les revenus financiers des entreprises au financement de la Sécurité
sociale (Fillon, CICE…),
−− supprimant les exonérations de cotisations sociales,
−− prenant en compte l’ensemble des éléments de rémunération y compris l’intéressement
et la participation,
−− qui fasse de l’égalité salariale F/H une réalité (environ 5 milliards d’euros de rentrées pour
la Sécurité sociale),
−− instaurant le déplafonnement des cotisations sociales (environ 700 millions de rentrées
Sécu qui ne toucheraient que 120 000 salariés gagnant plus de 12 000 euros par mois),
−− qui transforme la CSG en cotisation salariale et patronale, ce qui ferait immédiatement une
augmentation (véritable) des salaires de 4 %.

Et ce n'est pas fini...

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Goya à nouveau menacé ?

23 Janvier 2018, 08:43am

Publié par Bernardoc

Lorsque nous sommes arrivés dans ce collège ZEP de centre ville il y a 24 ans, le collège venait de retrouver sa pleine autonomie après l'absence de principal pendant deux ans (c'était la principale de Cheverus qui cumulait la charge). C'était un collège qui avait perdu de sa splendeur d'antan et dont un certain nombre de parents étaient incités à ne pas envoyer leurs enfants dans cet établissement historique, ancienne École Primaire Supérieure qui a vu défiler des générations d'instituteurs et dont les enseignants ont compté, entre autres, Fernand AUDEGUIL, ancien maire de Bordeaux. Une fresque de Roganeau dans l'entrée rend hommage à ceux d'entre eux qui sont morts pour la France.

Contemporain de la Bourse du Travail toute proche, le collège possède une remarquable collection d'instruments scientifiques d'époque, qui certaines années ont été mis en valeur lors des journées du patrimoine.

Il n'est pas étonnant qu'un certain nombre d'anciens élèves, devenus enseignants, aient effectué quasiment toute leur carrière dans ce collège.

A l'époque où j'y officiais en tant que principal-adjoint, le pôle d'excellence était la section européenne portugais, qui a pu mener certains élèves jusqu'à la section intégrée franco-portugaise de Sciences-Po Bordeaux, tandis que d'autres élèves, qui avaient suivi les classes bi-langues anglais-espagnol sont devenus docteurs d’État. De plus, dans ce collège aux multiples nationalités (Quartier St Michel et classes d'accueil), la moitié des élèves étudiaient le latin avec bonheur et succès, et un quart des élèves de 3ème apprenaient le grec. Et en 7 ans le taux de réussite au brevet était passé de 25% à plus de 80%.

Etonnez-vous après cela que les anciens élèves, les anciens profs – dont certains étaient venus à reculons et ne sont plus jamais repartis jusqu'à leur retraite –, les anciens parents d'élèves se mobilisent pour la survie et l'expansion de ce chef-d’œuvre du XX° siècle, comme le signale une plaque apposée sur la façade. Déjà plus de 1 300 signatures pour un collège de moins de 300 élèves, pas mal non ?

Longue vie au collège Francisco Goya ! Signez la pétition sur change.org

Et ce n'est pas fini...

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Le poulet.

22 Janvier 2018, 07:54am

Publié par Bernardoc

Pour ceux qui n'auraient pas croisé ce monument su FB, bonne lecture !

Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ?
René DESCARTES --Pour aller de l'autre côté.
PLATON --Pour son bien. De l'autre côté est le Vrai.
ARISTOTE-- C'est dans la nature du poulet de traverser les routes.
Karl MARX
C'était historiquement inévitable.
CAPTAIN JAMES T. KIRK
Pour aller là où aucun autre poulet n'était allé avant.
HIPPOCRATE
À cause d'un excès de sécrétion de son pancréas.
MARTIN LUTHER KING, JR.
J'ai la vision d'un monde où tous les poulets seraient libres de traverser la route sans avoir à justifier leur acte.
MOÏSE
Et Dieu descendit du paradis et Il dit au poulet : Tu dois traverser la route. Et le poulet traversa la route et Dieu vit que cela était bon.
Richard M. NIXON
Le poulet n'a pas traversé la route, je répète, le poulet n'a JAMAIS traversé la route.
Nicolas MACHIAVEL
L'élément important c'est que le poulet ait traversé la route. Qui se fiche de savoir pourquoi ? La fin en soi de traverser la route justifie tout motif quel qu'il soit.
Sigmund FREUD
Le fait que vous vous préoccupiez du fait que le poulet a traversé la route révèle votre fort sentiment d'insécurité sexuelle latente.
Bill GATES
Nous venons justement de mettre au point le nouveau "Poulet Office 2005", qui ne se contentera pas seulement de traverser les routes, mais couvera aussi des œufs, classera vos dossiers importants, etc.
BOUDDHA
Poser cette question renie votre propre nature de poulet..
GALILEO GALILEI
Et pourtant, il traverse...
ERIC CANTONA
Le poulet, il est libre le poulet. Les routes, quand il veut il les traverse.
CHARLES DE GAULLE
Le poulet a peut être traversé la route, mais il n'a pas encore traversé l'autoroute !
Jacques CHIRAC
Parce que je n'ai pas encore dissout la route..
L'ÉGLISE DE SCIENTOLOGIE
La raison est en vous, mais vous ne le savez pas encore. Moyennant la modique somme de 10000 Euros par séance, plus la location d'un détecteur de mensonges, une analyse psychologique nous permettra de la découvrir.
Bill CLINTON
JE JURE sur la constitution qu'il ne s'est rien passé entre ce poulet et moi.
Albert EINSTEIN
Le fait que le poulet traverse la route ou que la route se déplace sous le poulet dépend de votre référentiel.
ACCENTURE (ex ANDERSEN CONSULTING)
La dérégulation du côté de la route où se trouvait le poulet menaçait sa position dominante sur le marché. Le poulet était donc confronté au challenge significatif de créer et développer les compétences requises pour ce nouveau marché compétitif. Andersen Consulting, en partenariat avec le client, a aidé le poulet à repenser sa stratégie de distribution physique et ses processus d'implantation. En utilisant le nouveau Poultry Integration Model (PIM), Andersen a aidé le poulet à mettre à profit ses talents, méthodologies, connaissances, fonds et expériences de manière à aligner le personnel, les processus et la technologie du poulet avec sa stratégie globale au sein d'un Program Management Framework. Andersen Consulting a réuni pendant un tour de conférence de deux jours un large panel constitué d'analyse des routes et des meilleurs poulets avec des consultants Andersen possédant de grandes connaissances dans l'industrie du transport afin de profiter au maximum de leur capital de connaissances personnelles, implicitement et explicitement, et de leur permettre d'entrer en synergie les uns avec les autres de manière à parvenir au but implicite de sortir, d'architecturer et d'implanter avec succès un framework d'entreprise au travers du continuum des processus de trans-médiane de la gent gallinacé. La réunion a eu lieu dans un endroit ressemblant à un parc, ce qui a permis de créer un environnement plein de sens, en ce qu'il véhiculait un message stratégique pour l'industrie, construit sur une vision cohérente et claire du marché, et qu'il était en adéquation avec les valeurs fondamentales, la mission et la vision du poulet. Cela nous a guidé tout au long de la solution d'intégration de l'entreprise. Andersen Consulting a participé à la réussite de la migration du poulet. Merci pour votre attention.
ZEN
Le poulet peut vainement traverser la route, seul le Maître connaît le bruit de son ombre derrière le mur.
LE PREMIER MINISTRE
Le poulet n'a pas encore traversé la route, mais le gouvernement y travaille.
Jean ALESI
Je ne comprends pas, théoriquement, le poulet il avait le temps de passer.
Nelson MONTFORT
J'ai à côté de moi l'extraordinaire poulet qui a réussi le foooormidable exploit de traverser cette superbe route : " Why did you cross the road ? "
" Cot cot ! "
" Eh bien, il dit qu'il est extrêmement fier d'avoir réussi ce challenge, ce défi, cet exploit. C'était une traversée très dure, mais il s'est accroché, et..."
Richard VIRENQUE
C'était pas un lapin ?
Jean-Claude VAN DAMME
Le poulet, la road il la traverse parce qu'il sait qu'il la traverse, tu vois la route c'est sa vie et sa mort, la route c'est Dieu c'est tout le potentiel de sa vie, et moi, quand je me couche dans Timecop quand le truck arrive, je pense à la poule et à Dieu et je fusionne avec tout le potentiel de la life de la road ! Et ça c'est beau !
FORREST GUMP
COURS POULET COURS !!!
ERNEST HEMINGWAY
Pour mourir. Sous la pluie.
Charles DARWIN
Les poulets, au travers de longues périodes, ont été naturellement sélectionnés de telle sorte qu'ils soient génétiquement enclins à traverser les routes.
John RAMBO
Colonel ? J'en ai raté un !
Philippe SEGUIN
Il n'arrivera jamais à traverser la route.
LES TEMOINS DE JEHOVAH
Parce que la fin du monde aura bientôt lieu de son côté.
Arlette LAGUILLER
Poulettes, poulets, ne vous laissez plus spolier par le patronat qui vous oblige à traverser les routes.
Alain MADELIN
Parce que c'est la loi du marché.
Francis BOUYGUES
Il fallait bien justifier la construction de cette route à péage.
Charles PASQUA
Qui critique les poulets ?
Isaac ASIMOV
La Troisième Loi des Poulets stipule qu'un poulet doit traverser toute route sauf si ce passage le force à désobéir à un ordre humain ou à blesser un humain.
CONFUCIUS
Le poulet qui d'abord regarde des deux côtés, vivra assez pour voir une autre journée.
MURPHY
Le poulet traversera systématiquement la route au plus mauvais moment.
William SHAKESPEARE
Traverser ou ne pas traverser... Là est la question.
ORANGINA ROUGE
PARSKEEEEEEUUUUUHHHH.
STALINE
Le poulet devra être fusillé sur le champ, ainsi que tous les témoins de la scène et 10 autres personnes prises au hasard, pour n'avoir pas empêché cet acte subversif.
George W. BUSH
Le fait que le poulet ait pu traverser cette route en toute impunité malgré les résolutions de l'ONU représente un affront à la démocratie, à la liberté, à la justice. Ceci prouve indubitablement que nous aurions dû déjà bombarder cette route depuis longtemps. Dans le but d'assurer la paix dans cette région, et pour éviter que les valeurs que nous défendons ne soient une fois de plus bafouées par ce genre de terrorisme, le gouvernement des États-Unis d'Amérique a décidé d'envoyer 17 porte-avions, 46 destroyers, 154 croiseurs, appuyés au sol par 243000 G.I. et dans les airs par 846 bombardiers, qui auront pour mission au nom de la liberté et de la démocratie, d'éliminer toute trace de vie dans les poulaillers à 5000 km à la ronde, puis de s'assurer par des tirs de missiles biens ciblés, que tout ce qui ressemble de près ou de loin à un poulailler soit réduit à un tas de cendres et ne puisse plus défier notre nation par son arrogance. Nous avons décidé qu'ensuite, ce pays sera généreusement pris en charge par notre gouvernement, qui rebâtira des poulaillers suivant les normes de sécurité en vigueur, avec à leur tête, un coq démocratiquement élu par l'ambassadeur des États Unis. En financement de ces reconstructions, nous nous contenterons du contrôle total de la production céréalière de la région pendant 30 ans, sachant que les habitants locaux bénéficieront d'un tarif préférentiel sur une partie de cette production, en échange de leur totale coopération. Dans ce nouveau pays de justice, de paix et de liberté, nous pouvons vous assurer que plus jamais un poulet ne tentera de traverser une route, pour la simple bonne raison qu'il n'y aura plus de routes, et que les poulets n'aurons plus de pattes. Que Dieu bénisse l'Amérique.
MULDER
Le poulet est contrôlé à distance par les extra-terrestres.
Jean-Pierre BACRI
Putain ! Y fait chier c'poulet ! Pourquoi y fait ça ? Y peut pas faire autrement, ce con ?
EPICURE
Pour rigoler.
Alain JUPPÉ
J'ai pas fait Normale Sup et l'ENA pour me soucier de ces abrutis de poulets qui traversent les routes sans raison. N'est-ce pas ?
Neil ARMSTRONG
Un petit pas pour le poulet, un grand pas pour le poulailler !
Alain DELON
Alain Delon est grand
BISON FUTE
Le week-end prochain évitez la RN 12 pour cause de traversée de poulet.

Et ce n'est pas fini...

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Patient, usager, mais pas client !

21 Janvier 2018, 10:21am

Publié par Bernardoc

NON ! La santé ne doit pas être une marchandise ! Nos aînés du CNR créateurs de la sécu doivent se retourner dans leurs tombes !

Et ce n'est pas fini...

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LETTRE OUVERTE A MONSIEUR EMMANUEL MACRON, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

20 Janvier 2018, 09:24am

Publié par Bernardoc

Calais, le 15 janvier 2018

Parce qu'une lettre ouverte doit être diffusée.

 Monsieur le Président de la République,

Nous avons appris votre venue à Calais le 16 janvier prochain. La situation alarmante dans laquelle survivent les hommes, femmes et enfants exilés bloqués à la frontière franco-britannique mérite toute votre attention, et votre venue est une marque d’intérêt évidente. Mais celle-ci ne saurait avoir de sens que si elle avait pour objectif d’impulser une politique d’accueil radicalement différente.

Aujourd’hui, à la frontière franco-britannique, plus de 900 personnes survivent dans des conditions diverses, mais toutes plus indignes les unes que les autres.

Il est déplorable que dans un pays aussi riche que le nôtre, où « plus personne ne devait dormir à la rue à la fin de l’année dernière », nous ayons besoin de la solidarité et de la mobilisation de dizaines d’associations et de centaines de bénévoles pour que des personnes accèdent à un repas et à de l’eau potable, ou à un duvet, une bâche et une couverture de survie pour ne pas mourir de froid. Il est encore plus intolérable que dans un pays comme le nôtre ces mêmes personnes soient pourchassées, leurs abris et effets personnels détruits. Il est insupportable qu’elles aient, en plus de cela, à subir de la violence physique, parfois de la part des passeurs et autres trafiquants d’êtres humains, mais trop souvent de la part des forces de l’ordre.

Monsieur le Président, porter une autre politique, c’est, d’abord et avant tout, regarder la réalité en face. La politique d’inhospitalité que vous menez actuellement n’est pas différente de celles de  vos prédécesseurs. Elle s’en distingue simplement par sa  dureté et prolonge 25 années d’échec.

Pourquoi cet échec ? Parce que les gouvernements successifs, et y compris le vôtre,  persistent à ne pas voir que Calais et plus largement le littoral de la Manche et de la Mer du Nord, verront toujours arriver des personnes souhaitant pour de bonnes ou de mauvaises raisons se rendre en Grande Bretagne. Vous persistez à penser que rendre les conditions de vie plus dures dissuadera ces personnes de venir à Calais, comme si elles ne venaient que pour quelques douches ou un abri de fortune. Vous persistez à ne pas voir que de nombreuses personnes ont des raisons valables de se rendre en Grande Bretagne, qui les empêcheront de changer leur projet migratoire ; et que d’autres, perdues, cherchent une échappatoire aux règles iniques du règlement Dublin.

Votre venue, Monsieur le Président, est une occasion pour faire cesser les situations indignes qui règnent à cette frontière, pour redonner force et vigueur à nos valeurs, pour impulser une politique d’hospitalité.

Un gel des démantèlements

Cette nouvelle politique ne sera crédible que si un gel des démantèlements de camps, campements et squats est prononcé tant que des solutions pérennes et adaptées ne sont pas mises en place.

L’objectif principal de cette politique doit être de promouvoir des solutions d’accueil dignes dans tous les lieux où (sur)vivent des exilés de passage, en prenant en considération les spécificités locales et en s’engageant à soutenir les élus locaux hospitaliers. Ces lieux d’accueil peuvent éventuellement et très ponctuellement prendre l’aspect de camps de réfugiés pour répondre à l’urgence humanitaire et mettre à l’abri l’ensemble des personnes présentes. Cependant, des solutions d’accueil à long terme doivent être enfin soutenues et mises en œuvre. Les associations intervenant sur les camps d’exilés de passage proposent depuis longtemps un projet d’accueil digne appelé « Maison du migrant ». Votre venue est l’occasion de vous proposer de relancer un dialogue entre les associations et les pouvoirs publics interrompu au printemps 2014 en raison de la destruction violente de  campements.

Une politique respectueuse des droits des personnes

Plus largement, c’est le respect du droit qui est nécessaire.

Il n’est pas  admissible que quotidiennement les associations en contact direct avec les exilés reçoivent des témoignages, quand elles n’en sont pas témoins directs, de violences des forces de l’ordre. La lutte contre ces violences doit être une priorité. Cela passe par des sanctions contre leurs auteurs.

Il n’est plus admissible de laisser des mineurs vivre seuls sans une protection adaptée.

Il n’est pas admissible que les effets personnels (couverture, duvet, etc.) des exilés soient systématiquement détruits ou confisqués.

Monsieur le Président, vous devez mettre fin aux violences à la frontière franco-britannique.

Une autre politique migratoire

Mais la présence d’exilés bloqués à la frontière ne cessera que si la Grande-Bretagne, la France et l’Union européenne remettent enfin en cause les politiques migratoires actuelles.

Votre venue à Calais, alors que votre Ministre de l’intérieur va, dans quelques jours, rencontrer son homologue britannique, doit être une occasion de dénoncer les accords du Touquet et l’ensemble des accords franco-britanniques de la gestion de la frontière. Il faut revenir sur l’externalisation des contrôles migratoires britanniques sur le territoire français. Ces accords enferment des milliers de personnes dans une nasse et les condamne à la violence des conditions de vie, des passeurs et des forces de l’ordre. Ces accords empêchent les personnes qui souhaitent demander une protection aux autorités britanniques de le faire sans risquer leur vie.

Votre venue doit aussi être l’opportunité de proposer un moratoire sur le règlement Dublin III qui condamne trop de personnes à l’errance et rend illusoire leur intégration en les empêchant de demander l’asile dans le pays de leur choix.

Enfin, votre venue à Calais pourrait être l’occasion d’un geste fort en faveur de la liberté pour tous de circuler et de ne pas dépérir aux frontières de l’Europe.

Cela fait plus de 20 ans que des associations locales et nationales et des citoyens alertent les pouvoirs publics sur les résultats désastreux des politiques mises en place, et qu’ils proposent d’autres politiques migratoires et d’accueil. Il y a aujourd’hui urgence à changer de politiques.

Dans l’attente, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de notre haute considération.

Signée entre autres par les organisations nordistes : ATD-Quart Monde, Emmaüs, Cimade, LDH, MM, MRAP, MFPF, SPF,...

Et ce n'est pas fini...

 

 

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Le saviez-vous ?

19 Janvier 2018, 15:19pm

Publié par Bernardoc

Micro-ondes : une pollution aussi néfaste que celle des voitures ?

(Article tiré de radins.com)

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l'université de Manchester, en Angleterre, les micro-ondes représentent une véritable menace pour l’environnement. Explications. 

Au sein de l’Union européenne, on recense pas moins de 130 millions de fours à micro-ondes. Ces appareils, très utiles au quotidien, seraient cependant très polluants. C’est ce que révèle une étude publiée dans la revue Science of the Total Environment. Selon ces travaux, les émissions de CO2 des fours à micro-ondes seraient équivalentes à celles de 6,8 millions de voitures. Cela vous paraît impensable ?

Les auteurs de cette étude ont calculé que l’ensemble des fours à micro-ondes présents au sein de l’UE émettaient 7,7 millions de tonnes de gaz carbonique et consommeraient 9,4 térawatts-heure par an, ce qui correspond à l'énergie produite par trois grosses centrales à gaz. L’appareil ne pollue pas directement quand il est utilisé mais si on prend en compte la pollution qu’il génère de sa fabrication à sa fin de vie, alors on est étonné du résultat.

Très peu de consommateurs pensent par exemple à débrancher leur four à micro-ondes quand ils ne l’utilisent pas. Les auteurs de ces travaux recommandent également aux personnes qui ont un four à micro-ondes chez eux de ne le remplacer que lorsque ce dernier est parfaitement hors d’usage. Changer d’appareil uniquement quand ce dernier n’est plus à la mode ou pas assez perfectionné serait irresponsable pour l’environnement.

« Les équipements électriques que l’on jette, tels que les micro-ondes, sont l'un des flux de déchets à la croissance la plus rapide au monde », notent les chercheurs. Au sein de l’UE, en 2005, 184 000 tonnes de déchets provenaient de micro-ondes abandonnés, et d'ici 2025, le poids de ces déchets pourraient atteindre les 195 000 tonnes. Il y a 20 ans, un four à micro-ondes restaient entre 10 à 15 ans dans un foyer, contre 6 à 8 ans aujourd'hui.

Raison de plus de ne pas accentuer cette pollution en refusant les compteurs Linky.

Et ce n'est pas fini...

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